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 Yué Yasashii

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Yué Yasashii
Professeur de lettres
Yué Yasashii


Nombre de messages : 23
Âge du personnage : 25
Orientation sexuelle : Aucune idée.... hétéro il ne se voit pas autrement
Petit(e) ami(e) dans le rpg : Cela induit l'Amour? Malheureusement c'est un concept révolu
Date d'inscription : 30/09/2006

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MessageSujet: Yué Yasashii   Yué Yasashii EmptySam 30 Sep - 22:04

Nom:

Yasashii

Prénom:

Yué

Sexe:

Masculin

Âge:

25 ans

Signe astrologique:

Vierge (absolument aucun commentaire)

Sexualité:

Il n’y a jamais songé, sûrement hétéro selon lui, il ne voit pas comment cela pourrait être autrement pour sa petite personne même si cela l’importe peu en fait, tout ce qui se trouve être en rapport avec le sexe l’inintéressant.

Qui êtes vous au lycée:

Professeur de lettres (de français en fait)

Famille:

Plus aucune, son père et toute sa famille étant mort dans d’étranges circonstances, personne ne sait exactement s’il s’agit d’un incendie, d’un acte criminel ou autre...

Description physique:

Yué possède une peau aussi pâle que la lueur de la lune, une pâleur exceptionnelle qui contraste merveilleusement avec ses cheveux gris cendrés. De beaux cheveux fins et lisses, toujours en bataille encadrant son visage de ses mèches sombres, quelques une d’entres elles s’échappant pour faire une légère frange. Ses yeux en amande ne sont pas pour déplaire à la gent féminine (comme masculine d’ailleurs) de part leur éclat si sincère et doux en toute circonstance, d’un bleu profond assez déstabilisant. Assez bien bâtit, il semble néanmoins assez fragile malgré la force dont il peut faire preuve, et se à cause de sa naissance précoce. Mesurant dans les un mètre quatre-vingt cinq, il se trouve être assez grand et dépasse souvent ses demoiselles d’une tête! Pour aller avec son visage d’ange où un doux et énigmatique sourire est toujours présent, un torse finement sculpté ne déplaira à personne, s’accordant parfaitement avec ses mains fines d’artiste.
Côté vestimentaire il n’est pas bien compliquer, il met ce qui lui tombe sous la main ni plus ni moins mais sa garde robe étant constituer de chemises blanches ou noires et de jeans ou pantalons noirs, on ne peut pas dire que cela change grand-chose. Heureusement sa grâce naturelle lui évite à avoir à faire attention à son apparence, du coup il embellit de lui-même ses vêtements!

Description psychologique:

Malgré tous ses démons, il n’en reste pas moins un jeune homme équilibré mentalement qui se trouve être toujours droit dans ses actions. Pour un bourgeois, il se trouve être de nature plus que serviable, toujours près à aider quiconque pourrait avoir besoin de son aide. Gardant en mémoire les conseils de sa mère, Yué n’en reste pas moins un adulte responsable toujours en train de chercher à séparer la vérité du mensonge. Son côté moralisateur d’adulte domine amplement sur sa personnalité, chose qui a le don d’en énervé plus d’un, surtout qu’il garde en toute circonstance son calme, ne semblant jamais pouvoir être atteint que cela soit par les mots ou par des coups. D’un naturel plutôt calme, il se trouve être fort discret et tente de toujours de s’effacer pour ne pas se faire trop remarquer bien que son physique ne l’aide guère à passer inaperçus. Pourtant son passé l’influence encore beaucoup et suite à son enfance passé enfermer sans être en contact avec les autres il se trouve être assez renfermer sur lui-même. Cependant il n’est pas timide, chose qui aurait pu être logique vu son passé, mes ses études lui ont permis de rester abordable en toute circonstance, voila pourquoi il ne panique jamais en société.
Une des choses qui se dit à son propos, souvent bas derrière son dos bien qu’il en ait conscience c’est qu’il est secret. Yué n’apprécie pas de parler de lui, de son passé, en toute logique, et reste souvent assez distant avec les autres bien que cela soit pour une bonne raison: il s’attache facilement aux gens. De par ce fait, il s’en éloigne et évite de créer des liens de peur de les perdre ou de les faire souffrir.
Il a oublié certaines parties de son passé, effacer et recouvert par tous les maux qu’il garde au fond de lui sans en parler à personne.
Qui plus est c’est quelqu’un d’affreusement poli. Il n’appellera jamais quelqu’un part son prénom tout court, sauf en cas d’extrême affinité avec quelqu’un et de ce fait, il n’accepte guère qu’on l’appelle Yué même venant de personne de son âge. Il appellera toujours ses élèves ou connaissance par leur nom ou parfois par leur prénom précéder d’un "mister" des plus poli. Cela peut paraître stupide, mais sa mère l’ayant élevé de la sorte dans sa bourgeoisie, il ne comprend pas comme l’on peut être aussi familier sans se connaître.
De ce fait, il possède aussi bon nombre de jugement qui son typique des petits bourgeois, et de certaines idées préconçut, car même s’il les trouve stupide et songe que les gens peuvent faire ce qu’ils veulent, il ne supporte pas l’idée de lui enfreindre certaines règles.
Une idée stupide à germer dans son esprit depuis son adolescence comme quoi l’acte d’amour envers lui ne peut se faire qu’avec violence, n’ayant eut l’habitude que de cela. De même l’idée d’amour lui semble bien abstraite et le terme de "faire l’amour" lui semble assez stupide. Il n’a pas vraiment peur de l’acte en lui-même mais de "l’après" pour tout dire. Aussi se trouve-t-il être assez réticent lorsque les gens tente de l’approcher d’un peu trop près. Il peut comprendre le sens du mot amour, mais pas dans tous les termes si l’on puis dire.

Ce qu'il aime:

Il aime tout d’abord la littérature, cela va de soit, étant un véritable passionné de poésie. Il aime lire, s’instruire et dessiner en toute tranquillité dans le calme. Il apprécie être seul, avoir son petit coin à lui où personne ne peu venir, son jardin secret en quelque sorte. Un espace vital dont il a besoin pour ne pas se sentir oppressé. Il aime le printemps et ses fleurs, les fleurs magnifiques qui lui rappelle le prénom de sa mère qu’il a finit par comprendre avec le temps. Il ne tient d’ailleurs aucune rancune envers elle. Les étoiles et les astres sont des choses qu’il aime aussi par-dessus tout, un peu comme tout ce qui à rapport avec la nature ou la vie. Il aime pouvoir parler de littérature avec ses élèves et les aider à progresser, c’est d’ailleurs pour cela qu’il donne en parallèle des cours particuliers.

Ce qu'il n'aime pas:

Il déteste l’alcool! Pour tout dire, Yué ne supporte pas du tout l’alcool, pouvant partir dans les vapes à la moindre gouttes. Il se tiens donc assez loin de ses liqueurs aux essences qui l’écoeure. Il a une sainte horreur des gens trop surexcité, et a du mal à accepter l’hystérie ou les comportements trop gamins, trouvant que cela ne peut que nuire dans certain cas. Evidemment, il n’en tient pas forcément compte, car garder une âme d’enfant doit être tout de même agréable, lui qui n’en a jamais eu. Il hait son père malgré sa mort, et ne supporte pas qu’on tente de fouiller dans son passé sans lui demander son autorisation. Il n’aime pas le feu, se sentant assez fébrile lorsqu’il est en présence de cette source de chaleur. Il n’aime pas qu’on le critique sur ses valeurs. Il déteste qu’on se moque de son signe astrologique.

Autre chose:

Il joue divinement bien du violon mais se trouve être nul dans tous les autres exercices de musique. Yué se trouve être un très bon masseur, et aime particulièrement le dessin. Par contre, il est assez long à la détente dans certain cas, chose qui désespère assez souvent les gens, quand ils savent comme il peut être rapide d’esprit.
Lorsqu'il ne sait comment s'exprimer, que cela soit pour montrer ses sentiments ou pour s'excuser d'une maladresse ou d'autres choses, il utilise le langage des fleurs qu'il connaît par coeur. Aussi, si ce dernier vous offre une fleur ne vous étonnez pas mais veillez bien à ce qu'il n'y est pas un reproche caché selon la nature et la couleur de la fleur en question.
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Yué Yasashii
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Yué Yasashii


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MessageSujet: Re: Yué Yasashii   Yué Yasashii EmptySam 30 Sep - 22:05

Histoire:

N’y avait il pas en ce monde suffisamment de pauvres et d’autres personnes dénigrés de toutes attentions, mourrant à petit feu sous les coups répétés et sadiques d’une société où seul la richesse et la renommé prime? Pourtant, chaque jour durant s’annonçait de nouvelles guerres, de nouvelles maladies mortelles, de nouveaux dangers, de nouveaux drames oppressants, sanglants, meurtriers. Et malgré tout ses malheurs des gens continuaient dans l’insouciance la plus illégitimes de vivre en écrasant les autres.
C’était le cas de Kaoru Yasashii, riche entrepreneur Japonais.
Après de longues études ce jeune homme avide de pouvoir et de richesse était devenu l’un des plus grands noms des enseignes japonaises. Hommes d’affaires hors pair, il dirigeait sa société d’une main de maître, son seul intérêt étant les chiffres d’affaires qui faisait de lui et de son nom, un tout plein de convoitise et d’admiration.
Très vite une alliance fut faites entre deux familles, un mariage de convenance pour lier les Yasashii et les Shinjiru. C’est ainsi qu’à trente ans, il épousa une demoiselle d’à peine vingt ans nommée Hana. Aussi belle que les fleurs qu’évoquaient son prénom, aussi pure et douce que la rosé du matin qui se déposait sur les pans de ses kimonos, elle ne semblait pas très heureuse de se mariage de convenance. Néanmoins, pour le bonheur de sa famille, et soit disant le sien, elle épousa cet homme qui n’avait apparemment que faire d’elle.
Pourtant, elle devint vite aimante envers cet homme qui, apprenant à la connaître entre deux réunions, en vint à éprouver de vrais sentiments à l’égard de sa femme. C’est ainsi que naquirent plusieurs enfants, pousser par le désir de l’homme d’avoir une descendance digne de son nom et du rang qu’il s’était formé. Suzuki fut leur premier fils, suivit d’une petite Chö.
Ils vécurent ainsi pendant cinq années, heureux de ses deux enfants.
Cependant le désir d’Hana d’avoir des enfants se faisait grandissant et c’est ainsi qu’un nouvel enfant fut mit au monde et ce avec difficulté.
Cet enfant, tant attendu par la mère qui avait désormais vingt-huit ans, semblait bien pressé de venir au jour et ce fut dans leur demeure familiale, en pleine nuit que le petit garçon vit le jour, aider par le médecin de famille qui n’avait put amener la jeune femme à l’hôpital. Ce fut la lune pâle qui éclaira le premier sommeil de Yué, qui dans la confidence de la nuit, s’était paisiblement endormis après avoir exténué sa pauvre mère, entourés de deux aînés qui l’observaient en silence, se demandant quelle était cette petite boule de vie qui venait bouleverser leur existence.
Yué grandit paisiblement, s’émerveillant de beaucoup de choses, apprenant tranquillement chaque chose qui se devait être appris, sans rien dire des attentes qu’avait son père pour lui.
Il était l’espoir du père qui portait en lui beaucoup d’espérance. Il comptait faire de son fils son successeur direct, le petit Suzuki n’ayant apparemment qu’un seul talent pour la musique, alors que lui, né par une nuit de croissant de lune, semblait doué pour bien plus de chose. L’enfant du donc apprendre bien vite à lire, écrire et compter pour pouvoir satisfaire mister Kaoru Yasashii. Les deux aînés, se tenait fort à l’écart de lui, ne l’incluant pas dans leur petit duo qu’il avait formé dans leur enfance. Yué grandit donc seul, ne pouvant faire autrement.
Deux ans plus tard Ino et Ako naissaient, lui offrant ainsi deux petites sœurs jumelles à chérir, lui qui n’avait pas l’impression d’avoir de frères ou de sœurs. Il s’attela à cette tache tout en continuant à étudier les arts, la littérature, les mathématiques si bien qu’à ses dix ans il se trouvait être déjà très intelligent et précoce pour son âge. Et malgré qu’il ne soit pas forcément heureux, il suivait son petit bout de chemin, apprenant les règles de la haute société que lui enseignait sa mère tout en lui inculquant des principes tels que la tolérance, le calme, et le contrôle de soit.
Pourtant son petit cadre paisible se brisa suite à l’accident de sa mère qui frôla la mort. Il pensait que suite à ce drame elle redeviendrait forte comme avant, souriante et heureuse mais ce miracle ne se produisit pas pour la simple et bonne raison que sa tentative de suicide avait échouée. Elle avait voulut cesser de vivre et ne l’avait put.
Sa mère sombra dans la folie, cessant de l’entourer de son affection, ne supportant plus sa présence, lui hurlant dessus comme une hystérique qu’elle aurait préféré mourir. Durant deux années il se rendit à l’évidence. Il n’avait vécut que dans le mensonge car selon les dires de sa mère, elle ne l’avait jamais aimé, elle le haïssait. Il l’a cru, ne comprenant pourtant pas tous ses mots blessants qui n’étaient que des appels au secours. Yué ne les comprit pas car, bien qu’étant en avance pour son âge, il n’en restait pas moins un enfant. Un sentiment de culpabilité était né en lui, se portant responsable de l’état de sa mère, ses deux aînés ne l’aidant pas à se sentir mieux le rabrouant et ramenant la responsabilité à sa personne.
Alors il tenta de protéger ses sœurs, entourant Ako et Ino de douceur, celle qu’il avait put recevoir de sa mère dans sa petite enfance alors que les deux petites ne connaissaient elle, que les crises d’hystérie de leur mère qui malgré sa beauté semblait s’enlaidir dans ses instants.
Un matin, Chö vint lui expliquer la décadence de leur bien aimer mère, tandis que leur père s’enfermer tous les soirs dans la chambre conjugale. Elle lui expliqua sans douceur que leur mère avait été battue par sa faute. Alors la douleur de sa mère provenait de lui? Il ne comprit pas, et se fut quand l’aînée lui expliqua en détail qu’il se sentit mourir pour la première fois.
Battue tous les soirs depuis désormais trois ans, Hana n’avait pas supporté cette situation, ne comprenant pourquoi son mari la battait de la sorte pour la naissance de Yué. N’était ce pas lui qui avait voulut placé tant d’espoir en son fils? Après sa tentative de suicide, elle avait sombré dans la folie, hurlant dès que Yué ou son mari approchait, refusant leur présence.

Il dut accepter cette vérité, montant dans sa chambre apprendre, apprendre, et toujours apprendre... Dans la soirée de cette triste journée où il se sentait responsable du malheur de sa famille, Yué entendit un bruit étrange. Il se retourna pour voir son père, une lueur démente dans son regard qui lui déplu aussitôt. Il se leva, reculant par automatisme en le voyant, le saluant poliment restant assez calme. Il n’y avait rien à craindre? Pourtant, la poigne forte de son père lui agrippa ses fins cheveux pour le projeter contre le mur. Il perdit conscience pour se réveiller sur son lit, son père sur lui le regardant d’un air mauvais. Cette nuit là, ce ne fut que hurlement silencieux et pleurs incolores qui furent versés car, bâillonné il n’avait pu rien dire face à la violence de son père à son égard durant ce viol qui le marqua.
A l’aube, seul et nu dans sa chambre, le corps marqué de coup et en sang, il pleura silencieusement ne pouvant rien dire de l’horreur qu’il avait vécut. La nuit suivante le bruit se reproduisit, et la violence de son père se décupla, et ainsi de suite pendant plusieurs nuits, son père semblant aimer souiller son propre fils de la sorte, le brutalisant et lui arrachant des larmes de douleurs et de désespoirs. N’était il donc qu’une marionnette? Apparemment oui car chaque soir ces visions qui le hantaient le jour revenaient l’assaillir la nuit pour de nouveau le déchirer intérieurement dans le silence traître de la nuit.

Yué, à l’aube de ses seize années, fut inscrit à un cours d’art sur l’estampe tandis que ses deux cadettes apprenaient la danse. Il revenait ainsi tous jours en fin d’après midi chez lui, dans ce petit quartier bourgeois qu’il haïssait plus que tout. Il observait les enfants de dix ans qui jouaient insouciant avec leurs jeux d’enfants, à la balle, au loup, et à tout ses jeux qu’il n’avait jamais connu, ayant passé son enfance et sa pré-adolescance enfermé dans sa prison doré à étudié sans en voir le mal, supportant les crises de sa mère, les viols de son père, et l’isolement dont il était victime de ses deux aînés. Il ne vivait plus que pour ses cadettes qui lui sautaient dans ses bras en rentrant de la danse.
Et chaque soir la même histoire, il rentrait chez lui, s’occupait de ses sœurs, de sa mère malgré ses hurlements, et passait la nuit à retenir ses hurlements de douleurs face à son père qui lui faisait bien comprendre son impuissance. Mais il ne disait rien, absolument rien, conscient de sa stupidité et de son incapacité à faire bouger les choses. Il n’avait rien à redire sur tout ce qui régissait sa vie. Rien. Et c’était ainsi, il n’avait rien à redire.

Pourtant quelque chose vint casser la monotonie douloureuse de sa vie.
Une silhouette enfantine qu’il observait en rentrant de son cours d’art. Un enfant qui toujours à cette heure, regardait la rue où des enfants joués. Il ne fit que l’apercevoir, avant de s’intéresser à ce petit garçon à sa fenêtre. Furtivement, il jetait des coups d’œil en sa direction, pouvant voir ses grands yeux mordorés par derrière sa fenêtre, des grands yeux où une sorte de tristesse insondable était présente. Alors pendant un an, chaque soir, il l’observait passant devant sa demeure des quartiers riches, se demandant ce qu’un enfant qui ne devait pas avoir plus de dix ans faisait à rester ainsi cloîtré chez lui. Il chercha à en savoir plus, lisant son nom de famille sur sa boite aux lettres, s’intéressant à sa famille, comme pour combler le vide et l’ennui qui l’habitait mais aussi, l’aidant à assouvir sa curiosité à l’égard de ses deux grands yeux intrigants.
Ses souvenirs se perdirent dans sa mémoire en grandissant, n’ayant plus l’occasion de l’observer à partir de ses dix sept courtes années d’existences, si futiles lorsque l’on a conscience des douleurs qui nous attendent encore.
Rentrant après ses quelques minutes à observaient cet enfant, il se rendit compte qu’il n’avait pas à son arrivé les deux cris plein d’amour d’Ino et Ako. Inquiet il les chercha dans la demeure, abandonnant son sac et son matériel à l’entrée. Yué se stoppa de la vision qu’il eut, ses yeux s’écarquillant de surprise et de douleur en voyant ses deux raisons de vivre en train de retenir leur larmes sous les coups de leur père. Il ne lui en fallut guère plus pour pousser l’homme d’âge mur qui le gifla avec grande violence tandis que les cadettes s’étaient enfermés dans leur chambre. Il passa de longues heures à les consoler avant de les abandonner dans leur petite chambre, tandis que haineux, son père l’attendait une ceinture en main près de son futon.

Il était un beau jeune homme de vingt ans, protégeant ses sœurs de la folie de miser Kaoru quand sa vie bascula pour de bon. Rentrant de son travail qu’il venait d’obtenir, une odeur acre lui fit accélérer le pas pour rejoindre son chez soit. Une fumée noire et épaisse s’échapper des ardentes flammes qui engloutissaient la demeure où il avait vu le jour et où sa vie s’était déroulée. Il ne réfléchit pas bien longtemps avant d’y pénétrer malgré les flammes, appelant désespérément ses frères et sœurs et sa mère. Cette dernière se trouvait dans la pièce centrale de la maison, assise en tailleur le visage noyer par les larmes, le briquet encore dans sa main, venant de mettre le feu à la demeure Yasashii. Un hurlement se fit entendre de sa part quand Yué tenta de la sortir des flammes, lui ordonnant de ne pas s’approcher, lui criant d’une voix stridente qu’il n’était pas son fils. Il s’enfuit de cette pièce, impuissant ignorant la présence de son père dans la demeure, et cherchant ses frères et sœurs, regroupés ensemble prisonniers des flammes.
Le drame se termina dans tout fut brûler et qu’il se réveilla une semaine plus tard dans un hôpital.

" Où suis-je? Ou son mes sœurs? .... le feu? "

Une demoiselle, infirmière compatissante devant l’air perdu et égaré de Yué, lui apprit le drame. Toute sa famille avait périt dans l’incendie et il se trouvait être le seul survivant. Il se retrouver donc seul, seul dans ce monde rempli de haine et d’injustice, n’ayant put sauver sa famille, les ayant laissé mourir, impuissant fasse à eux qui l’appelait à l’aide à travers le rideaux de flammes qui s’étaient dressé entre eux. La fait que la police le suspecte d’avoir mit le feu intentionnellement à sa demeure ne l’aida d’ailleurs pas à ce remettre de se drame et de la culpabilité qui l’affligeait continuellement. Il se sentit d’ailleurs plus fautif lorsqu’il se rendit compte que la mort de son père était un grand soulagement pour lui, se sentant sale de songeait cela d’une personne qui lui avait tout de même apporter la vie malgré toute la douleur qu’il lui avait infligé. On le prit en charge dans une sorte d’hôpital où il bénéficia de soutient psychologique et d’autre aide qui l’enfonçait un peu plus car malgré tout, certaines personnes semblaient prendre un malsain plaisir à le torturer encore un peu car durant ses quelques années faite pour le remettre sur pied, ses compagnons de chambres se succédèrent ayant tous la même idée. Il fut violé plusieurs fois pendant ses années d’hôpital, dans une violence qu’il le détruisait toujours.

A 24 ans, enfin remit du drame de l’incendie et des souvenirs d’hôpital, il ne se sentait plus de vivre mais, s’étant promit de vivre pour ses frères et sœurs, Yué entreprit de trouver un sens à sa vie tout en suivant les principes inculqués dans sa jeunesse.
Ses études l’amenèrent dans la littérature, fleur qui lui permettait de s’épanouirent enfin, aimant les lettres et toutes ses suites de mots qui tentaient de retranscrirent les émotions des Hommes et à travers les siècles. Par la lecture, il tentait d’oublier toutes les fois où il s’était fait souillés, moralement, physiquement, que cela soit lentement ou avec violence. Passionné par ses études, il entreprit de passer un examen pour devenir professeur, s’étant découvert une véritable passion pour la littérature.

C’est ainsi qu’à 25 ans il rentre au lycéen Saint Antoine pour enseigner le français, portant le lourd fardeau de son passé, de ses douleurs et cicatrices profondes qui auront souillés son âme torturé, les sachant ouvertes et saignantes à jamais, ancré pour l’éternité dans son esprit égaré...
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Ritsuka Sade
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Ritsuka Sade


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MessageSujet: Re: Yué Yasashii   Yué Yasashii EmptySam 30 Sep - 22:13

guh

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