Nom:
Bonra
Prénom :
Ayaka
âge :
17 ans
Signe astrologique :
Serpent - Balance (21 octobre 1989)
sexualité :
bisexuelle
Qui êtes vous au lycée ? :
élève
Famille :
Roxy Bonra : la mère d’Ayaka, japonaise aux origines espagnoles de 42 ans. Une femme au sang froid terrifiant. Elle ne voit sa fille que 10 minutes le samedi. Roxy naît à Barcelone de père inconnu car sa mère est une prostituée qui arrive du Japon. La jeune femme y reconduit le corps de sa mère morte 21 ans après, comme le voulait la fille de joie et finit par y rester.
Matthew Bonra : ‘père’ d’Ayaka, américain de 35 ans. Un homme froid mais plus qu’attaché à s a ‘fille’. ‘Fille’ qu’il n’a jamais vu. Mais il était raide dingue amoureux de Roxy, qu’il rencontrera et épousera à Las Vegas. Il est né dans la banlieue de Detroit mais malgré sa future fortune, il y restera. Sa fortune s’est fondée sur la drogue puis son boulot de tueur à gages.
Yannis Lralen : Père biologique d’Ayaka, japonais aux origines marocaines. Il fut à la tête d’une immense marque de vêtement au Maroc. Il aimera Roxy au-delà de toutes raisons, sans que Matthew le sache et mourra à 22 ans.
Aaron Kilaru : oncle d’Ayaka, japonais aux origines espagnoles de 37 ans. A l’âge de 4 ans, sa mère mourra et c’est Roxy, sa sœur, qui l’éduqua au Japon. Il grandit, comme sa sœur, dans les quartiers mal fréquentés d’Osaka et y résidera. La drogue lui rapporta de quoi vivre mais c’est le testament de Yannis qui put lui permettre sa vie de rêves. Pour remercier sa sœur de l’avoir élever, il prendra en charge Ayaka lorsqu’elle naîtra.
Histoire :
« Et k’sooo… Avec qui je suis mariée ?…. C’est l’Italien ou le Russe… Peut être bien l’américain ? »
Cette question perturbait Roxy depuis quelques jours déjà. La seule fois dont elle se souvenait concernant son mari, c’était qu’il était plein de frics…
La question fut réglée quelques semaines plus tard, quand Roxy apprit que son mari était emprisonné du côté de Los Angeles à perpétuité pour meurtres. Alors c’était bien l’américain…
Un problème persista… Lorsqu’elle avait reçu l’appel, ce fut Yannis, son amant, qui avait décroché…
« Et k’sooo… J’pourrais plus leur tirer de fric… Ni à Matthew, ni à Yannis… Enfin, si j’ai pas son fric, personne ne l’aura… »
La jeune femme décida donc de mettre fin aux jours de son amant. Sa pensée en l’achevant fut juste « Dommage, un si bon amant… »
Après le coup de grâce, la police débarqua de suite… C’était la vieille voisine du dessus, énervée du bruit de leurs ébats, qui les avait prévenus.
C’est ainsi qu’Ayaka naquit un peu moins de neuf mois plus tard, en prison. La garde de l’enfant, ne pouvant pas être élevée en prison, fut confiée à sa famille la plus proche, c’est à dire Aaron, le jeune frère de Roxy.
Malgré ce que l’on aurait pu croire, l’enfance de la petite fille fut baigné de rose. Enfin, plutôt de bleu, car elle grandit entouré de garçons. Des amis d’Aaron. Des amis assez louches d’accord… Car ce qui faisait vivre son cher tonton, c’était la vente de drogue.
L’enfant était choyée, et même plus encore, par son père et ce, part l’intermédiaire de son grand-père. Somme faramineuses à chaque fois de mois, les dernières technologies, les dernières fringues à la mode et toutes autres sortes de présents gâtaient Ayaka depuis le berceau.
Le monde qui entourait la petite l’obligeait à ne pas se laisser marchez sur les pieds, ce qu’elle faisait à merveille. Chaque samedi, quand elle allait voir sa mère en prison, Roxy ne pouvait s’empêcher de féliciter sa fille, qui était, selon elle, un modèle de perfection.
Il était vrai de la jeune adolescente qu’elle était devenu avait un caractère bien trempé et un physique bien agréable à regarder.
Malgré les amis plus que cramés d’Aaron et tous ses prostitués et prostituées qui passaient dans leur petit appartement, jamais Ayaka n’avait touché à la drogue ou même au plaisir de chair. Son oncle le lui interdisait formellement ! Il manquerait plus que Roxy l’apprennent ensuite et il n’était plus de ce monde.
La seule chose qui manquait à Ayaka, ce serait l’intelligence. Elle n’était une idiote de première, mais depuis le collège, elle n’y allait plus que l’envie lui prenait, c’est à dire, pas souvent. La jeune adolescente préférait de loin s’amuser avec sa bande de potes et leur faire découvrir le rap US.
Au alentour de ses 15 ans, tandis qu’Ayaka s’éclater à faire du hip hop dans la rue, un photographe remarqua la brune.
La carrière de la jeune métissée venait d’être lancée. Durant une année, elle posa pour des magazines, des pubs etc… Elle y prenait un plaisir fou, mais, comme pour beaucoup de choses, elle finit par se lasser et abandonna tout du jour au lendemain.
La vie de l’adolescente reprit tranquillement son cours.
Jusqu’à l’arrivée d’un notaire dans l’appartement d’Aaron. En effet, après 17 ans, un nouveau testament avait été trouvé dans les affaires personnelles de Yannis Lralen. Celui-ci léguait la totalité de sa fortune à Roxy. Mais celle-ci ne pouvant pas en profiter, car elle est en prison, rappelons-le, Ayaka en avait l’usufruit. Mais celle-ci était mineure, la somme fut versé sur un compte bloqué. Compte où Aaron pouvait se servir du moment que c’était pour le bien d’Ayaka.
Jusque là, tout était parfait. Sauf qu’Ayaka rentra chez elle à ce moment… La question fatidique fut posée « Et l’école Mademoiselle ? »
A partir de là, le notaire farfouilla un peu dans les dossiers de l’école et se rendit compte de toutes ses absences injustifiées, bagarres et autre.
A partir de là, Aaron avait un mois pour rattraper l’éducation de sa nièce, sinon la garde lui serait reprise. Si Ayaka partait en famille d’accueil, Aaron était sûr que sa sœur l’achèverait.
Une conversation avec un mec, shooté vous vous en douterez, lui revint en tête pour la suite.
« Hé bah moiiiiiii, je serais roiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii du monde terrestreeeeuh et je niqueeeerais toutes les écooooles de péteuuuux! Et Saint Antoine d’abbbbbooorrrrrrrrrd »
Saint Antoine… Si c’était une école de bourges, Ayaka devrait y être bien entourée ? C’était décidé, elle irait à Saint Antoine. Et, à la grande surprise de son tuteur, la jeune fille n’y opposa aucune résistance.
Description physique :
Souvent, on considère Ayaka comme une invitation ambulante au viol. Du haut de son mètre 64, pour 49 petits kilos, émane une sensualité entêtante. Mais ce n’est pas parce qu’elle a un petit gabarit que la jeune fille ne sait pas se défendre. Elle sait cogner bien, et fort.
Sa peau parfaitement dorée est d’une douceur extrême. Sa poitrine paraît un peu trop grosse à Ayaka, mais elle ne s’en plaint pas. Mieux faut trop, que pas assez, comme on lui répète souvent.
Ses cheveux d’un brun presque noirs sont, malgré ses origines marocaines, lisses, mais sans être trop raides. Une fois détachés, ils s’étendent en un voile soyeux autour de son visage fin. Ils lui arrivent alors au milieu du dos. Mais, la plupart du temps, ils sont attachés et deux mèches plus courtes continuent d’encadrer son visage.
Les yeux de la demoiselle, finement bridés, sont d’un vert émeraude profond. Des sourcils fins et impeccablement épilés surmontent ceux-ci, rendant son regard encore plus beau.
Ayaka a un nez fin et droit et des lèvres rosées et fines, parfaitement tracées.
Son déhanché est plus de ravageur, certainement grâce à ses origines marocaines, et sa démarche silencieuse et féline. Ayaka a une souplesse extraordinaire.
Niveau vestimentaire, soit Ayaka est gelée et s’emmitoufle dans des pulls en laines, écharpes et jeans trop larges. Ou alors, elle crève de chaud et se rapproche de l’exhibitionnisme avec des minis tops et toujours ses jeans trop larges descendu au maximum.
Description psychologique :
Ayaka… Le noir et le blanc. Avec la jeune fille, il y a deux possibilités. Soit vous ne la provoquer pas et dans ce cas elle est souriante, sympathique. Mais si vous avez le courage, ou plutôt l’inconscience, de la contrarier ou la chercher, vous allez la trouver. Une vraie peste bagarreuse qui n’aurez peur de rien.
Pour trouver Ayaka, rien de plus simple. Mais c’est s’en compter que c’est une tête de mule et une fille fière, alors imaginez bien qu’elle est très susceptible. Une remarque mal placée ou même un simple regard de travers et elle vous a déjà plaquez contre le mur à vous demander une explication. Une jeune fille bien impulsive et directe, vous pouvez voir. Se laisser marcher sur les pieds ? Jamais ! Restez à terre ? Pas avant sa mort.
Elle a aussi la fâcheuse tendance de se mêler de tous, surtout les bagarres, en prenant vite parti, souvent avec le plus faible.
Mais Ayaka reste tout de même en général une jeune fille souriante et un peu fofolle. Enfin, peut être plus insouciante que fofolle. Une chose très importante à ne pas oublier, elle est sans gène et pudique n’est pas de son vocabulaire.
Rien en fait peur à cette jeune métisse.
L’anti-cerne devient vite le meilleur allié de cette fêtarde incontestée. La fête, c’est sa vie, et tant pis pour les cours ensuite !
Si Ayaka se met à pleurer, c’est vraiment que rien ne va. Depuis toujours on lui a appris qu’un sourire rendait bien plus riche que des larmes.
Ce qu'elle aime :
Ayaka aime sa famille si originale, dont elle est fière. Elle est aussi fan de rap (Rohff, 50Cent, Sinik, tous ceux aux textes engagés) et surtout Eminem. Même si elle raffole d’Eminem, la J-pop et ses textes pleins de peps l’attirent aussi. Ayaka aime aussi la bagarre, le hip hop et la gym (elle a pratiqué le hip hop et la gym en club quelques années)
Sinon, elle adore, la fête, l’alcool (qu’elle ne tient pourtant pas très bien), son anti-cerne, Hello Kitty et Winnie l’Ourson et avoir du crédit. Ayaka a de nombreux plaisirs simples
Ce qu'elle n'aime pas :
Chose détesté par Ayaka, qu’on la critique. Mieux faut éviter d’ailleurs. Elle déteste encore plus que ça, qu’on s’en prenne à ceux qu’elle aime.
Sinon, elle n’aime pas les bimbos obsédée par leurs apparences et les mecs qui ceux la pètent et qui pense qu’à coucher. Pire encore ? Ceux qui se disent tolérants mais qui critiquent pourtant ses goûts.
Et puis, que son ipod n’est plus de piles, passer une journée sans rire, la cigarette et les gens trop sérieux ou qui ont un boulot sérieux (genre les notaires…)
Autre chose ? : Elle est polyglotte (japonais, français, anglais, et un peu d’espagnol) Elle ne se sépare jamais de son Ipod et de son portable.
Elle a l'air parfois d'une marocaine, plus souvent d'une américaine, mais presque jamais d'une japonaise.
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