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 Eky Misora

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2 participants
AuteurMessage
Eky Misora
Lycéen(ne)
Eky Misora


Nombre de messages : 21
Date d'inscription : 21/06/2007

Eky Misora Empty
MessageSujet: Eky Misora   Eky Misora EmptyJeu 21 Juin - 23:36

Nom: Misora

Prénom: Eky

âge : 15 ans

Signe astrologique : Lion

sexualité : Non, Eky n’est ni homosexuel, ni bisexuel, il est trisexuel (Ai-je besoin de préciser que c’est ‘selon lui’ ?)

Qui êtes vous au lycée ? : simple élève

Famille: Haëdan Misora, le père d’Eky est bel et bien japonais malgré la consonance occidentale de son prénom. C’est un producteur très respecté dans la profession pour ses films à l’ambiance macabre. Ses films s’inspirent de son idole de toujours, Tim Burton, et lui valent parfois une réputation d’homme étrange, chose assez réaliste. Et cette même touche de « folie » comme il en parle, lui a valut l’amour de Tari Eloror, journaliste américaine de talent. Leur rencontre s’est déroulé lors d’une l’avant-première. Ils avaient alors 32 ans, pour Monsieur Misora et 33 ans pour sa compagne. Le temps de franchir la barrière des langues et de faire plus ample connaissance, il faudra trois ans pour que naisse Eky. Il sera leur seul enfant car le couple divorce l’année suivante.
Par la suite, Eky aura une demi-sœur, de deux ans sa cadette. Le père sera simplement l’aventure d’une nuit et il laissera Tari avant même d’apprendre sa grossesse.

Histoire : Le coup de foudre du couple ne fut pas si enchanté de ça. Très vite, Tari trouva son époux lassant. Sa célèbre « folie » ne semblait plus si revigorante, la lueur dans ses yeux semblait se ternir. Mais la journaliste continua de jouer l’amoureuse pour cet être qui commençait à grandir dans son ventre.

Mais, un an après la naissance d’Eky, le manège ne pouvait plus durer. Haëdan ne l’y aidait plus, lui aussi s’était apparemment lassé. Après une longue discussion, les deux jeunes gens décidèrent du divorce et la garde du petit fut laissée à son père.

Haëdan obtint la maison de campagne. Surtout que Tari n’appréciait pas vraiment cet endroit isolé et glauque sur les bords. Mais il était parfaitement aux goûts de son ex-mari et son fils.
Ambiance glauque, macabre, humeur à tendance noir, forêt autour de la maison, tous les ingrédients étaient réunis pour que Eky ressemble à son père mentalement. Le producteur profita du divorce pour mettre une courte pause à sa carrière et se reposer sur le succès de son dernier film. Il fut un père très présent pour son fils. C’est vers lui qu’il s’était lancé lors de ses premiers pas, c’est à lui que s’adressa son premier mot [C’était « poulpe » pour les curieux…] et c’est dans ses bras qu’il pleurait quand « le lapin zombie sous le lit y veut pas jouer au loup ! »

Et puis, Eky souffla sa troisième bougie. Le garçon dut aller rentrer en maternelle. Et là-bas, se promener avec une chauve-souris dessinée sur le visage n’était pas au goût du directeur. Les pseudos pendus mangés par les araignées inquiétaient l’institutrice. Les histoires d’horreur ne plaisaient pas aux autres élèves. Et les robes et jupes du petit amenaient le directeur a appelé le père. Mais tous les appels ne changèrent rien, Eky s’aimait beaucoup. Très vite, ses camarades s’éloignèrent de lui et l’isolèrent. Ca ne posait pas de problème au garçon qui s’asseyait sagement en ‘lisant’ les « Fleurs du Mal », de Charles Baudelaire. Bien sûr, il ne savait pas lire et il n’y avait pas d’images mais parfois, en se concentrant, les mots formaient quelques dessins.

Et tous les jours avec son papa étaient aussi joyeux et amusants que les précédents et toutes ses années de maternelles se passèrent de la même manière.

Mais, arrivé en primaire, ce fut une autre histoire. Haëdan fut obligé de quitter le Japon pour s’installer provisoirement en Amérique pour un nouveau film. On avait prévu un long tournage, pour des journées chargées. Impossible donc d’emmener l’enfant, qui dut retourner vivre avec sa mère. Le choc de la nouvelle fut assez dur à encaisser pour Eky, mais il finit par s’y résigner. Et après tout, si elle était sa maman, c’est qu’elle avait été l’amoureuse de son papa et donc une gentille femme. Et cette théorie était d’ailleurs vérifiée par toutes les histoires que son père lui avait racontées sur Tari.

Et le petit eut une grande désillusion. La Tari de son père n’était plus là. Elle avait laissé place à une femme austère, distante, froide et amoureuse de son argent. Eky le comprit dès son arrivée. Alors qu’il s’élançait vers sa mère dans sa plus jolie robe noire, normal après 4 ans loin d’elle, le bruit de la baffe résonnait dans le grand hall. Tari lui résuma brièvement les choses. Ici, il n’était plus question de bisous et autres câlins, plus de tenues féminines –son visage était déjà bien assez androgyne-, plus de familiarités, plus de distractions futiles. Eky devait oublier tout ce qu’il avait appris avec son père et faire l’opposé.
Il fit la connaissance de Ery, enfant non voulue mais qui faisait la fierté de sa mère en étant son reflet parfait. Nouvelle déception pour Eky qui comptait s’en faire une amie.

C’est avec cette éducation sévère que Eky grandit durant sept ans. Sept années où il se fit baffer à chaque marque d’affection, taper sur les doigts à chaque excentricité –chose très courante dans les premiers temps-, où il subit les messes basses de sa demi-sœur. Le plus dur pour lui fut certainement que sa mère ne l’aimait pas. Visage trop androgyne, et trop angélique pour être vrai, manières de « tapette » mais comme Tari n’était pas là la plupart du temps, partie pour des reportages, c’était une nourrice, sévère il faut s’en douter, qui s’occuper de le remettre à sa place, quand elle ne chouchoutait pas la plus jeune. Oui, Ery était la favorite, normale c’était un être si distingué, intelligent et poli, aux dires de la journaliste.

A l’école, Eky n’avait toujours pas d’amis, les préjugés semblant bien se maintenir. Ca ne dérangeait toujours pas le garçonnet qui, pour compenser, se rattrapait sur les études, sortant ainsi de la moyenne des élèves, sans être pour autant le premier de la classe. Durant les pauses, il ne pouvait pas commencer à lire ses « Fleurs du Mal », que sa mère lui avait confisquées. « Tu ne peux pas t’intéresser un peu à la culture de ton pays avant ! » lui avait-elle simplement dit.

Mais après sept années où toutes les ‘bonnes’ manières s’étaient gravées dans sa mémoire, Haëdan son retour, avec son nouveau petit bijou. Dès que Tari en fut informé, elle lui rendit son fils, soit le soir même.

Le changement fut plus brutal que la première fois. A douze ans, il n’avait plus la même capacité d’adaptation. Et lorsque son père vint l’embrasser au soir avant qu’il ne s’endorme, Eky se mit à pleurer, à hurler. Le retour précipité dans le pavillon isolé et ce soudain retour aux contacts étaient trop brusques. Le père abandonna l’idée d’une nouvelle tentative pour ce soir et laissa son enfant se calmer, ne sachant pas comment s’y prendre. Eky se calma de longs instants plus tard, son père s’inquiétant dans la chambre voisine.
Le lendemain matin, le père d’Eky retenta l’expérience et le résultat fut identique. C’est en usant de nombreuses blagues de sa confection que Haëdan finit par le calmer. Inquiet, il préféra l’envoyer chez une psychiatre. Celle-ci ne trouva rien d’anormal, excepté cette phobie du contact, phobie dont il fut un bon mois pour en comprendre l’origine.

Au fur et à mesure du temps qui passait, les vieilles habitudes d’Eky lui revenait et s’amplifiait. Il commença par brûler les habits trop conventionnels porter chez sa mère et se mit à coudre. Rapidement, l’adolescent perfectionna son piqué, jusqu’à créer des modèles uniques en leur genre. Après un an avec son père, sans aucun contact avec sa mère, il commençait même à se prendre pour ces créatures fabuleuses qui prenaient vie dans la plupart des films d’horreur. Vampires, sorcières, anges et parfois mêmes fées, tout y passait. Eky était redevenu celui que son père avait connu. Il partageait même à nouveau des contacts, mais dorénavant par un tout autre moyen, une idée astucieuse de la psychiatre. Toutes les marques d’affections, contacts du quotidien étaient reçus par Monsieur Tea et celui-ci les « retransmettait » à Eky. Monsieur Tea, c’était un ours en peluche souple, noir, aux yeux rubis, à la bouche recousue et à l’oreille arrachée. Bon, au début, il s’agissait qu’une sympathique grenouille verte, aux joues rouges mais après que le jeune garçon est expliquée à sa psychiatre que le contact passait mieux entre ce Monsieur Tea ci que l’autre, la spécialiste fit abstraction de ce changement.

Depuis, Eky est presque normal, sa relation avec son père est redevenue ce qu’elle avait été mais dans son nouveau collège, toujours personne ne lui tenait compagnie. Il y avait bien Monsieur Tea mais c’était lui qui maintenant l’éloignait des autres. Ils se mettaient à le trouver gamin, puéril de ramener une peluche stupide alors qu’il était au collège. Mais, comme depuis tout petit, Eky s’en fichait éperdument. Il avait retrouvé son cher Baudelaire. Le défunt écrivain devait être un porte bonheur pour il car ses résultats grimpèrent en flèche et il se mit à trouver les cours ennuyeux, trop simples. Et c’est pour cela qu’on lui fit passer une classe. Eky se sentit plus à l’aise, autant pour les cours que parmi ses aînés. Il était mieux accepté. Il y eut bien sûr quelques contacts au cours de l’année mais rien de bien méchant. Après la première fois et une explication, les contacts furent souvent involontaires. Bon, finalement ses camarades n’étaient pas vraiment des amis, mais plutôt une bonne bande de personnes adorables, prêtes à la protéger, bien qu’il n’en voit pas trop l’utilité. Mais il fallait croire qu’il avait vraiment un visage d’ange, comme les filles de la classe lui répétaient.
La seule chose qui le titillait encore dans cette école, c’était bien l’uniforme. Les élèves étaient trop identiques, impersonnels, et il fallait de l’originalité à Eky.

C’est comme ça que l’adolescent changea de collège. Dans le nouvel établissement, l’ambiance n’était plus du tout la même. Il n’y avait pas d’agressivité, pas murmures dans son dos mais c’étaient une école des petites villes. Tout le monde se connaissait, les bandes étaient formées depuis le jardin d’enfants. Et c’est dans une certaine sérénité qu’Eky lisait son bouquin fétiche, bien usé par le temps, et commençait à l’apprendre sur le bout des doigts. Toute sa scolarité de collégien se passa rapidement dans cette ambiance.

Et puis, vint l’arrivée au lycée et le bonhomme se fit exigeant. Il souhaitait une école réputée, sans être trop stricte et intolérante et surtout, aucun uniforme.
C’est ainsi que Haëdan puisa dans les bénéfices phénoménales de ses films qu’il avait jusque là économisait pour payer l’inscription à une école qui répondait parfaitement aux critères de son fils : Saint Antoine.

Description physique : Une jeune fille étrange est assise à vos côtés. Vous êtes habitué, mais cette personne dégage quelque chose de spéciale. Comme une aura attirante. Pourquoi elle ressemble à toutes les autres : pas des plus grandes, aux cheveux décolorés. Il s’agit peut être d’Eky. Jetez un discret coup d’œil. Ses cheveux sont décolorés et on le voit à la racine laissées noires, pas coupés très régulièrement jusqu’aux omoplates. Une frange en biais, coupée de la même manière, vous cache presque entièrement son œil gauche et un semblant de frange le haut du deuxième. Plus bas, un petit nez mutin se montre discrètement, suivi de fines lèvres beiges. Le tout est entouré de deux mèches qui se dégagent du tout par leur longueur.
La jeune fille pianote inlassablement pâles de ses longs doigts sur ses jambes fines. Ses ongles ne sont pas très longs mais très bien entretenus.
On pourrait la croire toute petite et elle l’est, comme la plupart des japonaises. Mais elle n’est pas de ces minettes anorexiques obsédées par leur physique. Elle pèse cinquante jolis kilos pour son mètre cinquante six.
Elle est bizarrement habillée: courte robe d’un blanc immaculé, sandalettes de la même couleur et il vous semble même apercevoir de l’autre côté une aile de plumes noires. Vous n’auriez pas remarqué l’attache et été raisonnable que vous auriez réellement cru avoir affaire à un ange déchu.
Et vous continuez de la détailler jusqu’à en oublier votre discrétion et là, oups. L’adolescente vous a remarquez et vous vous noyez dans ses grands yeux pétillants et expressifs. Et ses yeux, sont-ils bien d’un bleu glacier ? Oui, alors ce n’est pas elle. Les yeux d’Eky sont souvent cernés et couleur chocolat. Le même chocolat que celui qui vous incite à le croquer. Et puis, elle baisse les yeux vers vos jambes. Elle ne vous ferez quand même pas une demande silencieuse de ce que vous pensez en regardant là où vous pensez ?! Et une voix douce, sûre d’elle, un peu grave mais pleine de vie à la fois vous tire de vos pensées.

« Monsieur, vous êtes assis sur la patte de Monsieur Tea. »

Vous vous calez docilement d’un rang, bafouillant un petit désolé alors que vous vous fichez éperdument de ce Monsieur Tea. Non, cette fille n’est pas comme les autres.
Et vous repartez, finissez par oublier cette fille et le fait que vous êtes une nouvelle personne trompée sur le sexe d’Eky.

Description psychologique : Ce qui fait d’Eky qu’il est lui, c’est bien son attitude extravagante. Les cris d’hystérie lui vont aussi bien que les coupures avec l’extérieur, comme quand il lit. Mais malgré ses quelques passages calmes, Eky se fait toujours remarqué par sa simplicité et sa sempiternelle joie de vivre. Aussi, le blond peut parait assez sauvage et impulsif sur les bords –ce qui est tout à fait vrai- mais il reste tellement naturel qu’il est rare qu’on lui en tienne rigueur.
L’adolescent par contre pas un homme de négociations. On peut déjà reparler de son impulsivité, mais aussi de sa manie à s’exprimer de manière assez gestuel et sans gène, bien qu’il reste poli.
Et ce qu’il fait qu’Eky reste lui-même, c’est son amour propre. Pas vraiment narcissique, mais disons qu’il se plaît bien et n’aime pas être remis en questions. Dans ces moments-là, il a d’ailleurs tendance à se replier sur lui-même. Et c’est cet isolement qui fait qu’il encaisse si bien. Mais comme tous être humain, Eky a quand même ses limites, tracées par un lien très solide avec ses proches, un véritable respect pour ses convictions et celles des autres. Mais n’allons pas penser que le blond ne s’engagerait pas dans une grande lutte pour soutenir Dracula face au dernier Boys Band. Dans tous les cas, le seul point où Eky ne sait pas trancher, c’est s’il préfère les œuvres de son père, ou celles de Tim Burton.
Et un dernier point, mais pas des moindres, les goûts, et une partie de l’humour, d’Eky sont assez… spéciaux dirons-nous.

Ce qu'il/elle aime : L’originalité, Monsieur Tea, ce que les gens ‘normaux’ n’aiment pas en général, son père, les films d’épouvante, Charles Baudelaire, coudre, Tim Burton

Ce qu'il/elle n'aime pas : Sa mère, l’humidité, le manque de personnalité, sa demi-sœur, les chiens, qu’on le touche, les étroits d’esprits, les critiques, les ragots

Autre chose ? ; Eky a un rêve pour l’avenir : mourir (ou se suicider) à l’âge de 46 ans –comme Baudelaire- pour se changer en vampire et pouvoir se donner corps et âme à Dracula ou BeetleJuice, au choix, et vivre heureux parmi les chauves-souris avec Monsieur Tea, ou ce qu’il en reste.
Et il suce son pouce et ne quitte jamais Monsieur Tea aussi.
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Hiro Eiri
Membre des hôtes Isis/ Admin
Hiro Eiri


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Eky Misora Empty
MessageSujet: Re: Eky Misora   Eky Misora EmptyVen 22 Juin - 14:52

Rien à redire sur la fiche, Fiche validée! Bienvenue
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Eky Misora
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