Des souvenirs de toi [pv]

Hiruka venait d’arriver au salon, il était un peu en avance, il n’avait pas vu Daiki de toute la semaine, et il avait souvent fait des crises où des images sans cesse lui revenait. A travers ça, il avait retenu certaines choses, et l’image de ses parents, c’étaient un peu graver en lui. Cela lui permettait d’être moins stressé à la vue de ses gens. En plus, cela faisait quelques temps qu’il ne les avait pas vu.
Il entra dans le salon, personne n’était là, il alla s’asseoir tranquillement dans un fauteuil. Il se perdit dans ses pensées, et réfléchit à ses derniers jours au lycée, il était inquiet, il n’avait pas vu Daiki depuis une semaine, il lui manquait et se sentait tout vide. Et les images qu’il voyait, commençait à sérieusement lui faire peur, il n’était plus vraiment sur de vouloir se rappeler. Il n’avait pas l’impression d’être quelqu’un de bien. Cela l’inquiétait, il aurait voulut voir Daiki pour lui en parler. Mais il n’avait pas osé trop le chercher.
L’horloge du salon venait de sonner l’heure du rendez-vous, et il entendit frapper à la porte, il se leva, et ouvrit la porte à ses parents. Il savait que c’était eux, Daiki serait entré directement.

« Bonjour papa maman. »

Il hésita un peu, car même s’il les avait un peu reconnut, il restait quand même inquiet. Sa mère le prit dans ses bras pour lui faire un gros bisous. Hiruka était un peu gêné, amis se laissa faire. Son père entra tout de suite dans le vif du sujet. Il voulait savoir ce qui se préparait.

Papa :« Pourquoi ton professeur veut nous voir ? »

Hiruka ne savait pas trop quoi répondre, il devint rouge coquelicot et heureusement il vit le professeur à ce moment là entrer. Il allait le sortir de cette situation en parlant lui-même à ses parents.

Papa :« Pourquoi ton professeur veut nous voir ? »

daiki était un peu en retard mais il avait fait de son mieux pour semblait le plus alaise possible malgré son épaule.

"oui je voulais vous voire a propos de votre fils. madame monsieur!"

il s'inclina légèrement pour les saluer, il ressenti la douleur dans son épaule.

"je pense que pour la santé de votre fils, il est important q'il retrouve la mémoire. et je pense que c'est vous qui êtes sans les personnes qu'ils l'aiment le plus au monde, qui peuvent lui venir en aide. si il est encore dans cet état c'est que vous n'avez pas agit alors qu'il fallait le faire des sa sortit."

daiki était très sérieux les parent devait prendre leur responsabilité et aider hiruka puis ce que lui ne pouvait pas le faire. daiki les invitait a s'asseoir et il fit de même. il devait aussi faire attention a ce qu'hiruka ne trahisse pas leur secret. ça allait être sinon très difficile. L’état physique de daiki laissait a désiré mais il tenter de faire de son mieux pour que hiruka ne s'aperçoive de rien.

"je pense qu'il faut lui expliquer comment tout es arriver ce qu'il a fait durant les année de sa vie. Même si ça ne lui fait pas plaisir vous devez le faire. Comprenez mon inquiétude de voire cet enfant perdre régulièrement connaissance et d’en souffrir par dessus le marché."

Hiruka écoutait son professeur, et même s’il n’avait pas tout comprit, il remarquait que celui-là prenait les choses en main. Hiruka avait l’impression que celui-ci n’allait pas bien, quelque chose clochait chez Daiki, il ne savait pas trop ce que c’était, mais Hiruka cherchait. Il avait envie de lui demander, mais craignait la réaction de ses parents, surtout que ceux là avait l’air furibond devant els paroles de leur professeur, c’est sa mère qui prit la parole.

Maman : « Vous vous prenez pour qui, si on en lui a rien dit, c’est parce que le médecin a dit qu’il ne fallait en plus, on fait comment pour raconter ça à quelqu’un qui ne comprend pas la moitié de ce qu’on lui dit. »

Hiruka voyait que sa mère était en colère, son père restait calme, il ne savait pas trop quoi dire.

« Vous savez, je revois des images ses derniers temps et puis j’ai pas mal appris, Daiki m’aide beaucoup. »

Et voilà, Hiruka avait mis les pieds dans le plat, mais il ne s’e était même pas rendu compte, il regardait son père qui le regardait bizarrement.

Papa : « Tu appelles ton professeur par son prénom maintenant. »

Hiruka rougit violement même un champ de coquelicot ne lui faisait pas concurrence et ne savait plus quoi dire, il avait fait une grosse bêtise, et c’est Daiki qui allait avoir des problèmes à cause de lui. Il le regardait et ne savait plus quoi dire, on aurait dit un enfant pris au piège. Il attendait que son chéri vole simplement à son secours.

« Tu appelles ton professeur par son prénom maintenant. »

la situation dérapait trop vite. Daiki devait vite agir.

"Désolé mais j'ai fait mon travail et j'ai tenter d'aider votre enfant. je lui ai permit de m'appeler ainsi car c'était plus simple pour lui a son stade."

Daiki s'adressa alors a la mère de hiruka.

"Madame! le cerveau humain est une chose trop complexe. on ne sais jamais ce qui faut faire pour que la personne guérisse entièrement. Surtout d’une amnésie. et votre fils a besoin de vous. Répétez les choses autant de foie qu'il le faut. Un être humain a la capacité d'apprendre et votre fils ne fait pas exception a la règle."

Daiki reprit son souffle.

"Allait plus loin pour c'est dépasser mes fonctions c'est a vous de l'aider. je ne peux que aperçu votre fils. Si vous ne le faite pas vous allez le perdre. Malgré lui."

il était devait se contenir rester calme face a des parents qui était complètement perdu face a leur fil. et hiruka qui semblait pas êtres a 100% du côté de ses parents.

"S’il te plait hiruka, il faut comprendre t'es parent ce n'es pas facile pour vous tous. mais je ne pourrait pas t'aider sur ton passé. Et tes crise son peu être dangereuse pour ta santé physique et mentale."

Hiruka était content que Daiki ait trouvé une solution, il fallait maintenant qu’il fasse attention à ce qu’il disait. Il regardait Daiki et sans savoir ce qui se passait, il recommença à avoir mal au cœur, il y avait quelque chose qui n’allait à propos de son professeur, et cela le terrifiait. Sa mère avait commencé à raconter certaines choses de sa vie.

Maman : « Tu asa été dans les meilleures écoles, et tu as toujours été très bien classé, tu est quelqu’un de très sociable. »

Ce n’était que des banalités, des détails, ce n’est pas ça qui l’intéressait, et puis il voulait savoir ce que son prof avait, il était inquiet pour lui, il avait envie de se jeter sur lui pour lui demander, il se retenait simplement. Son père arrêta sa mère.

Papa : « Hiruka tu veux savoir quoi exactement ? »

Ce prénom, il ne l’aimait pas, il lui faisait dresser les cheveux sur la tête, il avait arrêter de regarder son prof et maintenant essayait de trouver une réponse à son père.

« D’abord, ne m’appelle pas comme ça, c’est Hi. »

Il venait de se rendre compte qu’il n’aimait pas ça non plus, il était perdu, il venait de se rendre compte que son prénom était Hiruka, il s’appelait Hiruka, c’était pas si moche, c’était lui.

« Hiruka, c’est moi, finalement si je suis Hiruka. »

Il s’amusait à prononcer son prénom, son identité, il ne la refusait plus, il était en train d’accepter d’être Hiruka. Il regarda Daiki avec un grand sourire.

« Je m’appelle Hiruka, Daiki, c’est bien, c’est moi, tu pourras m’appeler comme ça maintenant Hiruka, ça te plait ? »

daiki avait laissé les parents tenter d'améliorer la situation, mais ce que disait la mère semblait aux yeux de daiki, bien trop flou réveiller en lui un souvenir précis.
daiki avait le regard qui partait dans le vague, sont épaule était moins douloureuse quand il se trouvait ainsi. C’est hiruka qui le fit revenir par mis eux.

« Je m’appelle Hiruka, Daiki, c’est bien, c’est moi, tu pourras m’appeler comme ça maintenant Hiruka, ça te plait ? »

"Ton prénom m'a toujours plus hiruka."

Il regarda vers les parents.

"Vous voyez je pense que cet enfant peut vite comprendre. Et je pense aussi qu'il ne faut pas hésiter à lui dire aussi des choses déplaisantes. Hiruka tu peux croire tes parents, même si c'est pas une bonne nouvelle tu dois les écouter."

Daiki après avoir fini de parlait tenta de repartir dans ses pensés pour soulager la douleur qui était insupportable a cause de mouvement trop brusque qu'il avait effectué avant de venir.
Il finit par se lever.

"Vous avez je pense des chose a vous dire qui ne me regarde pas ce sera plus facile que je vous laisse tranquillement discuter."

Alors qu'il parlait avec la voie la plus claire possible, il avait instinctivement mi sa main sur son épaule douloureuse qui une foie debout lui augmenta la douleur.

Hiruka ne voulait pas que Daiki parte. Il savait bien qu’il était important pour lui qu’il reste, et en l’écoutant parler, il avait été pris de panique en plus, il n’allait pas entendre quelque-chose d’agréable. Il se doutait que cela correspondait aux images qui lui arrivaient constamment dans la tête. Il vit que son père prenait encore une fois la parole.

Papa : « Euh, je crois que c’est mieux pour Hiruka si vous restez, vous avez raison. Aujourd’hui, Hiruka va entendre ce qu’il était et ce qui faisait qu’il était lui et je pense qu’il vaut mieux que vous rester. »

Son père avait exactement exprimé ce que voulait Hiruka, mais cela n’empêcha pas le professeur de se lever. Hiruka ne voulait pas, il ne voulait pas le laisser parti et ne se focalisait que la dessus. Sans se rendre compte de se bêtise, il se rapprocha de Daiki, et l’enserra dans ses bras et en chuchotant, il lui dit.

« Ne pars pas stp. »

Sa mère émit juste un petit cri de surprise, son père regardait Hiruka. Il avait comprit, voir son fils comme ça le surpris, mais il était content pour lui, inquiet car la personne que Hiruka avait choisit était plus vieux que lui, et surtout professeur dans ce lycée. Voilà, Hiruka avait vendu la mèche, il n’avait pu s’empêcher de laisser ses sentiments s’exprimer. Il aimait Daiki, c’est tout ce qui comptait pour lui, il venait de comprendre qu’il ne voulait pas retrouver la mémoire, il voulait rester ce garçon pour ne pas le perdre, car est ce que Daiki aimera l’autre Hiruka ?

« Ne pars pas stp. »

Daiki était piégé cette sensation l'insupportait, il ne pouvait pas reste comme ça plus longtemps. Il écarta doucement hiruka. Dans son mouvement qui était quand même involontairement nerveux ses cheveux partir en arrière et le bandeau qui cachait son oeil blessé venait d'apparaître.


"Je crains ne mettre fais comprendre par personne ici. Au moins je suis sur que vous êtes belle et bien de la même famille. si j'ai fais appel a vous c'est que je ne suis pas qualifier pour aider votre fils, je suis payé pour être prof de math. de plus avant que quelque chose de regrettable arrive je préfère le confier a des personne qu'il l'aime sans retenue. Je ne suis pas conçu pour soutenir les malheur de ce garçon et je ne veux pas en faire une victime qu'on protège a tout prit."

Daiki était énervé cette situation devenait grotesque, il n'avait pas a se justifier face a des parent. Même si tout avait était découvert, il ne pouvait pas avouer ça en publique, car il n'appartenait pas a hiruka. Il n’avait pas envie de se montrer faible à ce point.

"Je ne veux pas avoir un enfant sur le dos, je suis un adulte et je ne peux pas!"

daiki montra alors distinctement ses blaissures.

"votre fils comme beaucoup d'enfant icic n'ont jamais eu a s'inquietté pour leur avenir. moi je suis aprtit de rien et j'accepte mon passé de pouilleux. si hiruka tu as peur de ton apssé ou que tu préfère tout ignoré, c'est que tu n'est pas digne de mon hestime. "

Hiruka comprit enfin pourquoi Daiki avait l’air de ne pas aller bien, il avait été blessé physiquement, il se demanda tout de suite si c’était de sa faute, c’était vrai qu’il y avait toujours la fille un peu folle qui les avait agressé plusieurs fois. Il s’inquiétait réellement pour lui, mais surtout il s’était retourné pour écouter son père qui avait commencé à parler de lui, de son passé.

Papa : « Hiruka tu as toujours été sérieux que ce soit à l’école ou en sport, premier dans tout ce que tu faisais, tu aimais beaucoup lire, et ainsi tu suivais l’école, on t’a toujours donné tout ce que tu voulais puisqu’il est vrai que nous avions assez d’argent pour cela, c’est peut-être pour cela que tu es devenu ainsi. »

Le père s’arrêta un instant, il regarda Hiruka pour voir si celui-ci comprenait, Hiruka écoutait et comprenait pas tout bien sur, mais sûrement le principal, il ne tenait plus Daiki dans ses bras, mais seulement sa main, il se sentait tellement responsable de son état. Son père se décida à continuer.

Papa « En fait, vu que ta mère et moi on était très heureux ensemble, on pensait que toi aussi tu tomberais amoureux et tu serais heureux de la même façon, sauf que j’ai eu l’impression que tu ne croyais pas à ça, et tu as commencé à t’amuser avec ça, en fait tu draguais simplement pour les faire craquer, puis quand tu les avais tu t’en débarrassais, on a appris ça après ton accident, car de nombreuses filles sont venus s’en plaindre en fait. »

Hiruka avait comprit le sens des images qui arrivaient constamment en lui, c’était simplement ça, la drague et le rejet, il voyait encore les larmes de ces filles et surtout le fait qu’il s’en foutait, il comprenait plus ce qu’il était. Il lâcha doucement la main de Daiki, il savait maintenant qu’il ne méritait pas son amour à lui, il n’était pas quelqu’un de bien. Son père et sa mère le regardait, lui ne regardait plus que le sol.

*Je suis vraiment quelqu’un de mauvais, je ne mérite même pas l’amour de Daiki, en plus il a entendu ce que j’étais, je n’aurais pas du le laisser entendre ça, ce n’est pas possible que je sois ça.*

Hiruka reculait doucement au fond de la pièce perdu dans ses pensées, il sentit la porte contre lui, il n’avait qu’un envie c’était de partir, il ne pouvait même plus regarder Daiki en face, il lui avait fait croire qu’il était un garçon gentil, il lui avait mentit, Daiki avait raison, il n’était qu’un sale gosse trop gâté par ses parents avec un avenir déjà tout tracé.

Les aveux de son père n'étonna pas daiki il avait depuis le départ catégorisé les homme de cette établissement comme des erreurs de la nature. Mais il ne pouvait laisser hiruka comme ça, il se devait de l'aider après tout, il c'était attaché a cet être. Daiki prix ses connaissances en matière psychologique.
Il alla voire hiruka qui semblait vouloir fuir.
Il commença par une bonne baffe.

"Je t'interdis de fuir! Pas devant moi!"

Puis il se calma et le prit dans ses bras. Il commença alors a expliquer a hiruka comment il aurait du agir ou penser.

"Hiruka, ce que a était et ce que tu es aujourd'hui ne forme qu'une seule personne. Je pense que monsieur avait trop peur de souffrir en donnant trop d'amour a un être, qu'il faisait souffrir les autres. Mais tu m'as bien montré que tu peux être gentil. Hiruka il faut souffrir pour pouvoir être vraiment fort. Je peux comprendre que quelqu'un comme toi protéger depuis tout petit a peur de souffrir."

Daiki se retourna vers les parents et le adressa la parole.

"Vous auriez du lui dire ça des le départ qu'il ne le découvre pas en route ou pire, tout seule!"

daiki passa sa main sur son épaul douloureuse. et tenta de faire de son mieu pour que hiruka ne comprenne pas ce qu'il lui était arriver. il devait garder sa dignité devant des adultes. il aavit l'impression de tenir une espèce de vengeance fasse au riche, la classe qu'il l'a toujorus rejeter. donner des leçons à ces gens bouré de fric incapable d'éduque leurs enfants.

Hiruka regardait Daiki, il ne le rejetait pas cela le surprit vraiment, tout de façon il n’était pas cette personne du moins pas encore. Ses parents le regardaient un peu paniqué, en plus ce que le prof disait était assez méchant.

« Daiki, mes parents ont cru bien faire, ils m’aiment et c’est ce qui compte, du moine je crois, ne leur dit pas ça, Stop. »

Le père d’Hiruka était heureux que son fils les défende. Il prit la main de son épouse.

Papa : « bon on va vous laisser, je pense que vous avez des choses importantes, en tout cas Hiruka si on ne te l’a pas dit, c’est surtout que nous avons écouté les conseils du médecin, qu’il fallait absolument te laisser retrouver tout seul pour que tu n’es pas d’ennuie. »

Puis, les parents quittèrent la pièce. Hiruka les regardait partir, il ne dit rien, il se demandait si ses parents avaient comprit ou pas, il ne voulait pas quitter Daiki et ses parents n’avaient pas eu l’air de réagir à cette relation interdite. Hiruka était bien dans les bras de Daiki. Il ne l’avait depuis longtemps, son cœur battait si fort, il en oublia un peu qui il était. Il approchait ses lèvres de celle Daiki et l’embrassa, un baiser comme Daiki savait lui faire, il essayait de faire pareil de l’imiter. Il le tenait toujours dans ses bras, cette chlaguer était si agréable.

« Daiki, je veux profiter de toi avant de disparaître complètement. »

Hiruka avait comprit qu’il n’était pas lui et que le jour où les souvenirs reviendrait beaucoup de choses ne seraient plus ce qu’elles étaient en cet instant, c’était comme si le Hiruka de maintenant allait mourir le jour où le Hiruka d’avant reviendrait, c’était ça qui allait se passer, il allait simplement disparaître.

« Daiki, aime–moi encore un peu. »

« Daiki, aime–moi encore un peu. »

daiki avait attendu que personne ne puisse entendre ses paroles.

"hiruka tu ne m'aura alors jamais comprit, tu aura toujours fais comme tu l'entendais. tu est un enfant égoïste, qui m'a enchaîné a lui avec sa gentillesse."

daiki regarda hiruka dans les yeux.

"tu m'as rendu trop faible pur que je te quitte, notre amour m'a détruire petit a petit, je n'était plus capable de l'assumer. je ne crois pas t'aimer que toi tu m'aime, j'ignore qu'elle son les proportions de ton amour..."

daiki resserra ses liens.

"j'ai l'impression de t'aimer comme un père aime son fils, en un peut plus pervers certes, j'ai l'impression de t'avoir fait de mon mieux pour te donner une bonne partie de moi."

daiki embrassa hiruka

"tu ne disparaître jamais, ce que tu es aujourd'hui tu l'acceptera de toi même, je suis sur qu'un jour tu pourra te réconcilier avec toi même. J’aimerais pouvoir t'aider hiruka. mais je ne peux que te dire que je serais là... une amure contre ta tristesse. J’aimerais faire de mon mieux pour que tu ne souffre pas, n'y a cause de moins n'y a cause des autres..."

daiki ferma les yeux., il respirait calmement, il savait que hiruka n'allait pas tout comprendre de ce qu'il avait dit, ais il devait se soulager. il ne pouvait se résoudre a quitter cet être. il le sentait si faible qu'il voulait le protéger. il pouvait protéger cet être qu'il aimait comme si il l'avait fait, comme si il lui avait donné une partie de lui. même si il craignait un changement d'attitude, il le faisait pour le bien de hiruka. Malgré sa perversion qui l'avait poussé dans les bras d'un autre il ne pouvait l'abandonner comme ça. Car il était une partie de lui.