chambre de daiki CHO

Il déposa le jeune garçon dans son lit et sortit tous ce dont il avait besoin pour empêcher la tête de saigner plus. Il déposa une compresse et un bandage fait maladroitement. Il mit au jeune garçon des vêtement a lui pour qu'il n'attrape pas froid. Son geste allait lui coûter cher il le savait très bien. Mais bon dieu qu'est ce que ça fait du bien! Il n'avait plus qu’à attendre que hiruka se réveille. Il en profita pour aller prend lui aussi une douche histoire de se remettre les idées en places. Une foie sortit de sous la douche il trouva des vêtements secs. Mais comme le jeune garçon ne se réveillé toujours pas il prit un livre et commença a lire, très rapidement il ferma les yeux et s'endormit sur sa chaise.

Hiruka était toujours évanouit, il était perdu dans ses rêves et n’avait pas vraiment envie de revenir à la surface, il ne sentait pas ce qui se passait, et il en avait rien à foutre. Il était bien dans ce vide total espérant mourir. Mais tout à une fin, et il finit par revenir vers le monde extérieur. Il ouvrit doucement les yeux, car sa tête lui faisait horriblement mal, il sentait qu’il était allongé et vit qu’il avait changé d’endroit quand il ouvrit les yeux. Il pensait qu’il était à l’infirmerie, car il ne l’avait jamais visité, il n’avait pas vraiment envie de bouger, car il avait l’impression que sa tête allait exploser s’il bougeait, il n’arrivait pas à parler non plus, il finit par refermer les yeux tellement la douleur était forte, attendant peut-être l’infirmière qui viendrait le soigner. Il n’avait pas comprit où il était d'ailleurs, il était en train de repenser à ce qu’il lui était arrivé, et c’est la qu’il se rendit compte qu’il y avait encore un beau trou dans sa vie, mais qu’avait-il fait pour arriver ici ? Rien ne revenait, rien du tout, il avait été se promener dans le lycée et puis quoi d’autre ? Il avait eu très chaud à un moment, mais le reste était très vague, voir disparut complètement. Il se levait brutalement du lit sans tenir compte de sa tête.

« NON »

Il hurlait juste ça, mais on y sentait toute sa douleur, cela recommençait ce n’était pas vrai, il retomba très vite sur le lit de douleur, et sans le vouloir les larmes commencèrent à couler de ses yeux, il en pouvait plus, il ne voulait plus de cette situation, il exigeait se rappeler maintenant, cela l’énervait et il s’agitait sur le lit, il en avait marre ras le bol de cette vie, il désirait savoir qu’il était, et sans passé c’était impossible, alors en plus s’il oubliait ses journées, il était dans un tel état d’énervement que son nez se mit à saigner, les larmes et le sang se mélangeait sur le visage d’Hiruka, en plus il commençait à avoir des problèmes pour respirer. Il fallait qu’il se calme, mais lui ne le ferait pas tout seul, tellement la colère en lui était forte.

Daiki qui dormait tranquillement sur sa chaise fut réveillé en panique par le nom de hiruka. Il se leva, il était impuissant devant ce qui se passait. Il fit alors les larmes coulaient des yeux du garçon. Il ne pouvait imaginer ce que hiruka ressentait, mais quand celui ci saigna du nez daiki prit les précautions appropriées pour que cela se stop. Il ne comprit pas très rapidement certes que hiruka était dans une colère inimaginable. Daiki en pouvait imaginer les raisons. Il se pencha donc au dessus de hiruka. Et passa sa main sur el visage de celui ci.

"Calme toi hiruka, calme toi. Repose toi et tu me dira tout quand tu seras plus en forme, mais pour le moment dort."

Daiki déposa ses lèvres sur celle de hiruka. Oui il en profitait un peu, et l'état de hiruka le ferait rire, il ne savait pas que c'était aussi simple de le mettre dans un tel état. Maintenant il fallait qu'il arrête de provoquer le garçon. Et donc arrêter de lui parler. En même temps daiki ne voulait pas non plus être touché par cet être si innocent.

Hiruka fut surpris de voir un homme près de lui et quand il déposa ses lèvres sur les siennes, il sentit en lui le calme doucement revenir, pourtant qui était cette personne, il n’en savait rien. Par contre, il sentait déjà la fatigue de son énervement entrer en lui, il aurait voulut poser plein de question, mais il ne pouvait pas, il savait qu’il allait s’endormir sans avoir vraiment le choix, et c’est ce qu’il fit, il sombra dans ce sommeil sans rêve qu’il détestait tant. Ce sommeil représentait aussi ce qu’il l’avait perdu, le médecin lui avait dit qu’il devait se reposer, ne pas trop apprendre, il détestait cette situation, mais pour l’instant, il dormait. Au bout d’une demi-heure, il finit par se réveiller, quand il ouvrit les yeux, il se rappela tout de suite qu’il avait plein de question à poser à cet homme. Il se leva, sa tête n’était plus douloureuse, et regarda autour de lui, il repéra la personne inconnue. Pourtant, il sentait qu’il n’était pas si inconnu dans son cœur.

« Qui êtes-vous ? Où est ce que je suis ? Qu’est ce qui s’est passé ? »

Hiruka rougit de ses questions, il savait qu’il allait faire du mal à cette personne comme à ses parents si celui-ci le connaissait bien, il s’en voulait, il se rappelait de l’expression de sa mère quand il lui avait dit qu’il ne la connaissait pas. Il espérait que cet homme ne lui en voudrait pas, il aurait tellement voulu se rappeler, mais il savait que ses souvenirs était enfermé en lui et qu’il ne reviendrait pas pour l’instant.

Le garçon ne réagit pas plus que ça. Daiki le laissa se reposer, maintenant il avait comprit comme fonctionnait le cerveau de hiruka. Mais il fut quand même surprit des questions de hiruka, il ne s'attendait pas à ça. Daiki ne pouvait que lui répondre.

"Je suis ton prof de math monsieur CHO. Je t'ai aidé a te douché et tu a était quelque peu insolent alors j'ai du être violent avec toi. Et là tu es dans ma chambre."

Daiki lui annonçais la nouvelle sans plus de remords n'y d'émotion. Mais cela le gêné que el garçon est oublié ses parole ses gestes, il allait devoir tout recommencer, jusqu'a que le garçon se rappel de tout. Voila un nouveau défit à relever.

"Je dois avouer être dessus je ne pensait pas qu'on pouvait m'oublier si facilement. Que faut il faire si tu ne retiens pas mes caresses hiruka? Dois je absolument reprendre tout a zéro."

Daiki s'approcha du visage de hiruka passa une de ses mains derrière la tête du garçon et déposa ses lèvres. C’était un baisé très doux.

Hiruka regardait toujours la personne, son professeur Cho, non cela ne lui disait rien pourtant, il se sentait bien là avec lui. Par contre, il eut un peu peur quand le prof lui dit qu’il avait été violent avec lui, cela voulait dire que s’il était là, c’était à cause de lui. Finalement de l’avoir oublier n’était pas si grave. Pourquoi se sentait-il triste quand même ?

« Désolé, je ne voulais pas oublier, c’est sûrement le choc à la tête, je dois être plus sensible depuis mon accident, mais je vous ai peut-être déjà raconté. »

Le prof s’approcha d’Hiruka et recommença avec ses lèvres, il sentit une douce chaleur monter en lui, il ne savait pourquoi mais c’était agréable. Il laissait faire le prof, et puis il ne savait pas vraiment ce qu’il faisait d’ailleurs, mais il avait l’impression que ce n’était pas nouveau, il ne savait pas l’expliquer. Pourtant, un mot lui revint en tête le plaisir. Il ne savait pas trop ce que c’était, mais pourtant il en percevait un peu le sens. Alors Hiruka passa aussi sa main dans les cheveux du prof, et se laissa aller à ce baiser et à cette chaleur qui montait en lui.

Daiki fut surprit par cette main derrière sa tête. La dernier foi qu'il avait embrassé hiruka cela se c'était pas passé comme ça. Le garçon n'avait donc pas tout oublié. Que ce que lui avait apprit daiki était quelque par dans le cerveau de ce garçon et que celui ci s'en servait inconsciemment. Mais ce geste ne laissa pas daiki indifférence celui ci eu un frison qui parcouru tous son corps. Il recula un peut.

"Je sais que tu as oublié ton passé. J’ignore pour quel raison et je m'en fiche. Le passé n'est pas si importent que ça. Le plus par des gens ne souhaite que l'oublier."

Daiki n'avait pas envie de se laisser avoir, par la tendresse de ce garçon. Il enleva doucement la main de celui ci. Derrière la tête c'était un endroit très sensible. vraiment il n'aurait pas du ramener hiruka dans sa chambre, même si sa curiosité le forçait à aller plus loin, daiki devait faire attention. cela pouvait un jour se retourner contre lui.

[Dsl j'ai mis du temps]

Hiruka regardait toujours le prof, la chaleur se calmait doucement, il se demandait pourquoi il avait reculé, comme si quelque-chose le gênait, il avait peur d’avoir fait quelque chose de mal.

« Ca va professeur. Est-ce que j’ai fait quelque chose de mal ? Vous voulez peut-être que je retourne dans ma chambre, je ne veux pas vous déranger plus longtemps.»

Hiruka se leva du lit en poussant le prof, mais il n’eut même pas la force de rester debout puisqu’il s’écroula sur le prof.

« Euh, je suis désolé, je ne voulais pas vous tomber dessus, je vais essayer de me relever, je vais vous laisser, je n’ai rien à faire ici, je suis désolé. »

Hiruka se retourna pour essayer de se relever, il se retrouva les yeux face à ceux de son prof et il rougit, il sentit la chaleur encore monter en lui, sans le vouloir, il colla ses lèvres sur celle du prof, il en ressentait l’envie, alors il l’avait fait.

"Non ce n'est rien..."

Daiki n'eu pas le temps e répondre entièrement à ce que venait de dire hiruka. Celui ci se leva mais lui bas dessus daiki ne fit rien pour rejeter le garçon, et de toute façon celui ci était encore trop faible pour aller gambader n'importe ou. Alors qu'ils se retrouvèrent face à face daiki vit hiruka rougir, mais avant qu'il ait pu faire une remarque bien saignante, hiruka l'embrassa. Daiki ne comprenait plus le comportement de hiruka, il devait le re analyser, il risquait de perdre contrôle de la situation, cette sensation l'horrifiait.

"Pourquoi fais tu ça hiruka, qu'elle sont t'es raison pour prendre le risque de m'embrasser sens mon accord, sache que seul la personne a qui je donnerais mon coeur aura le droit de prendre les devants, mais toi tu n'es même pas un de mes amant et tu te permet de me prendre un baisé!"

Daiki à son tour posa ses lèvres et celle de hiruka. C’était un baisé très doux mais détestable car il n'y avait aucun sentiment derrière a par de la méprise

Hiruka se desserra du prof après son baiser, il sentait bien que quelque chose n’allait pas, mais il ne savait pas quoi. Il se demandait ce que c’était un amant. Il aurait voulu partir d’ici, il avait vraiment l’impression d’être de trop et cela le gênait de rester ici avec ce professeur. Mais il ne tenait pas debout et cela l’ennuyait vraiment.

« Je suis désolé, je crois que je vais devoir attendre encore un peu ici avant de pouvoir retourner dans ma chambre, je voudrais savoir ce que c’est un amant, je vous embête peut-être avec toutes mes questions. »

Hiruka restait là sans bouger, il sentait bien que tout cela le dépassait complètement, il avait envie de rentre chez lui, même s’il ne se souvenait pas de son chez lui, il s’était toujours bien sentit bien avec les deux personnes (ses parents) qui étaient là. Il avait besoin en cet instant de tendresse un câlin, il pourrait peut-être appelé grande sœur Midori quand il rentrerait dans sa chambre.

« Au fait professeur, est-ce que je peux vous demander de ne pas m’appeler Hiruka s’il vous plait, comme je ne me souviens pas de ce nom, je ne l’aime pas vraiment, appelez-moi Hi, je préfère, je trouve ça plus rigolo. »

"Et bien même si tu ne t'en souviens pas je t'ai dis je répondrait a toute tes questions. Un amant c'est une personne avec qui on va avoir des rapports sexuels, en gros c'est une personne avec qui on éprouve du plaisir."

Daiki poussa doucement hiruka pour qu'il se recouche.

"Tu es bien trop fatiguais pour te lever alors reste là, en plus tu protes mes vêtement alors quand tu ira mieux o ira dans ta chambre pour que tu puisse me les rendre."

La phrase de hiruka sembla bizarre a daiki. Comment pouvait ne pas aimer son prénom. Même si le prénom de daiki était écrit dans plusieurs rapports de police, il ne voudrait pas le changer.

"Je trouve ce surnom ridicule, je continuerais à t'appeler hiruka. Maintenant parlons de quelque chose bien plus amusante. Tu n'a pas répondu a ma question pourquoi m'a tu embrassé? Serez ton tombé amoureux de ma charment personnalité, sens même t'en rendre compte?"

*a tout les coups il va me demander ce que c'est d'aimer.*

daiki monta sur le lit. il se tenait juste au dessu d'hiruka. ses cheveux blancs tombaient sur son visage et arrivait presque au visage de hiruka.

Hiruka regardait le prof avec des points d’interrogation dans les yeux.

*Des rapports sexuels, il est de moins en moins compréhensif, et plaisir je suis sure d’avoir déjà entendu, mais rapports sexuels, c’est quoi ça ? *

« Je n’ai pas bien comprit votre explication sur rapport sexuel. Et j’aime vraiment pas mon prénom, parce que cela c’est mon passé, et que je n’en m’en souviens pas, c’est pour ça que j’ai changé, c’est tout. »

Hiruka regardait le prof au-dessus de lui, la dame (sa maman) lui avait plus ou moins expliqué le mot aimer, même s’il n’en avait pas comprit tout le sens, il percevait un peu ce que c’était.

* Est-ce que j’aime le prof, j’aime bien grande sœur Midori, j’aime bien être avec elle. Mais le prof, je ne sais pas, c’est plutôt autre chose que de l’amour, j’ai envie d’être avec lui c’est tout, il est gentil, je l’aime comme grande sœur Midori, mais par contre quand je suis avec lui, j’ai envie de plus.*

Hiruka réfléchissait aux paroles du prof, il ne savait pas quoi lui répondre, car il en savait pas que ce qu’il ressentait était aussi de l’amour.

« Je ne sais pas , je vous aime oui comme avec grande sœur Midori, mais j’ai l’impression de ressentir autre chose, car quand vous êtes là près de moi, mon cœur se met à battre et j’ai envie de faire comme tout à l’heure vous embrassez. »

D’ailleurs Hiruka joignit la parole aux gestes puisqu’il se releva et embrassa encore une fois son professeur, il aimait ça.

Pour hiruka ton prénom et ton seul lien avec ton passé, mais si tu le désir tellement hi, je t'appellerais ainsi. Mais je ne trouve pas ça terrible!
Daiki n'eu pas le temps de répondre a la phrase de hiruka qui l'avait flattait. Celui ci l'embrassa encore une foie. Cette foie ci ce baissé ne révolte pas daiki, étrange non?

"je ne pense pas que tu m'aime comme ta soeur. Il y a deux amour différent, celui ou tu te sens bien en sécurité, avec qui tu peu partager tes souffrances. Et l'autre ou tu fais comme pour le premier, mais tu veux plus. Quand on est amoureux de quelqu'un on a le coeur qui bat, on ne veut pas partir, quitter cette personne. Je ne pense pas que ce soit le même amour toi même tu m'a donné la différence."

Daiki déposa un baisé dans le coup de hiruka. Il prit une des mains de hiruka et la posa sur sa joue. Même si il était incapable d'aimer quelqu'un les sentiments de hiruka lui faisait plaisir, même si rien n'était sur, puis ce que celui ci ignorait tout.

"puis ce que tu aimes tant m'embrasser voilà"

Il déposa ses lèvres sur celle de hiruka.

Hiruka se laissait embrasser par le professeur, donc il existait plusieurs amours différents, c’est peut-être pour ça qu’il avait son cœur qui battait si vite quand le prof l’embrassait et qu’une forte chaleur l’envahissait. Il commençait à apprivoiser tout cela et ça lui faisait moins peur. Il sentait aussi qu’il allait bientôt pouvoir retourner dans sa chambre, il se sentait mieux, tout de façon, il ne quitterait pas le prof puisque celui-ci avait dit qu’il l’accompagnerait, il faudrait aussi qu’il passe à l’infirmerie, il irait demain, il avait juste une petite bosse, ce n’était rien.

« Professeur, je crois que je vais pouvoir retourner à ma chambre, je me sens mieux, et puis c’est l’heure pour moi d’aller dormir, il faut absolument que je me repose beaucoup depuis mon accident. Si vous voulez, vous n’êtes pas obligé de venir, je ne veux pas vous déranger, je vous rendrai vos habits demain. »

Doucement, Hiruka se leva, il eut quelques vertiges, mais ça allait il tenait debout, il se retourna sur son prof et lui sourit.

« Vous voyez, ça va aller. Ne vous inquiétez pas pour moi, je peux rentrer tout seul. »

"Je ne m'inquiète jamais pour quelqu'un. Je suis rassuré de savoir que je n'aurais pas à te ramener. Ça me fait une corvée en moins."

Daiki ne fit rien pour retenir le garçon il s'allongea sur sont lit en ferma les yeux. Il allait pouvoir se reposer, mais l'avenir il allait devoir faire plus attention as ce qu'il fait, la prochaine foie il devra préparer son coup à l'avance. Daiki se laissa aller à ses pensées. Il se sentait bien il n'avait pas beaucoup dormit avant de rentrer dans cet établissement. A cause d'une jeune garçon rencontré dans la rue. D’ailleurs il devenait quoi?

* quel journée. Je n'aurais jamais cru faire autant de chose, e suis crevé et j'ai encore un cours a préparer, tant pis pour mes élèves intero surprise. On verra leur niveau comme ça.*

il avait un petit sourir dans le coin quand il pensa à ça. il ne savait même pas si hiruka était déja partit, il était déja passé a autre chose. ça prochaine victime peut être.

Hiruka commença à partir tranquillement, il y allait doucement, car il avait encore des vertiges, il se retourna et vit que le prof s’était couché, celui-ci avait l’air fatigué. C’est vrai qu’il avait du l’ennuyer avec tous ses problèmes. Hiruka se demanda s’il reverrait son prof, il en avait envie à la fois, et d’un autre côté préférait ne plus avoir à le rencontrer. Il ne savait pas comment décrire tous ses sentiments, il se trouvait bizarre. Puis, il se décida à partir tranquillement. Il ouvrit la porte discrètement, et fit de même pour la refermer. Il n’avait même pas réfléchit qu’il serait obligé de le revoir pour lui rendre ses vêtements. Il retourna tranquillement à sa chambre. Il se sentait pas si bien que cela finalement, mais il ferait avec. Il avait été blessé à la tête et le prof aurait quand même mieux fait de ne pas le laisser tout seul, mais c’était pas grave, Hiruka voulait paraître fort. Il ne voulait pas être un enfant même s’il ne connaissait plus rien.

[chambre de Hiruka]

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