Abracadabra et le prince apparait [Pv]

Hiruka avait décidé de se promener dans les couloirs, il cherchait quelqu’un en faite, mais ne voulait pas le déranger, il voulait le voir de loin, et comme il était prof, il pensait pouvoir l’apercevoir dans les couloirs. Il lui manquait tellement, qu’il avait mal en lui. Mais il n’avait pas fait deux pas dans le couloir que des élèves commencèrent à l’agresser, il savait que du fait de son statut d’Isis, il devait réagir. Mais il n’en avait pas envie, il préféra s’éclipser, et c’est ainsi qu’il se retrouva encore en dehors du lycée en courant pour que personne ne vienne l’embêter. Il se retrouva près du lac, il commença à se promener autour, c’était agréable et cela le reposait. Il finit par s’asseoir sur les berges et regarder le lac. Il n’avait pas trouvé son professeur, pourtant il le désirait tant, il aurait voulut comme ça qu’il apparaisse devant lui. Il eut un petit sourire en pensant à ça. Mais cela ne faisait pas venir son prof. Alors qu’il était seul, ses pensées traversèrent ses lèvres.

« Daiki, j’ai envie de te voir, j’ai envie d’être avec toi. »

C’était de simple mot, mais c’était tout ce que ressentait Hiruka, rien de plus qu’être près de son prof.

Daiki venait de finir son cours, une de ses élèves voulait absolument des précisions sur la cour. Daiki n'était pas bête, et cet enthousiasme cachait quelque chose. Et il savait bien quoi. Mais il en dit rien, il accepta d'aller avec elle au bord du lac.

"_monsieur vous êtes très beau, il y a beaucoup de fille qui veule vous connaître. Vous êtes de qu'elle signe.
_tu t'e désigné en tant que message de l'amour ou quoi. Sache que ni toi ni tes amis vous me plaisez vous êtes tout les même, et vous finissez toujours pas crier dans mon lit.
_monsieur un peut de tenu!
_c'est bien ce que tu désire avoue le!
_..."

Daiki la plaça contre un arbre. Il n ('aimait pas ces fille mais il fallait qu'il lui donne un bonne leçon. il n'allait quand même pas se laisser tourner autour. il embrassa la jeune fille mais en même temps il eu un geste encore plus déplacé. il lui donna un coup dans le ventre. la jeune fille se laissa tomber de douleur la respiration coupé.

"_ça t'apprendra à me tourner autour.
_vous êtes complètement fou.
_oui! Sache que je hais les filles comme toi, je ne peux pas les supporter. Je ne veux que leur mal, même si je dois e faire virer a cause de ça. Mais un conseil tu dis ça a quelqu’un et je te détruit ton visage. Je croie qu’il est précieux pour toi."

Daiki avait un regard de haine, il voulait qu’elle souffre, comme toute les autres. Il n’arrivait pas a pardonner ce qui c’était passé dans son passé. Plus elle restait devant lui il voulait sa mort. Il ne pouvait plus se retenir, ses instincts était les plus fort.

Hiruka était tellement en train de rêver de son prof, qu’il finit par avoir des visions de lui. Il le voyait avec une autre personne, et il devint même agressif avec cette personne. Hiruka ne bougeait pas, il pensait qu’il était en plein rêve, il se rendit compte que son rêve était vrai quand il se rappela qu’il ne pouvait plus rêver à cause de son problème. Il se leva et alla près de son prof, il était tellement heureux de le voir. Quand il arriva près de lui, son seul geste fut de le prendre dans ses bras. Il ne fit même pas attention qu’il était en train de s’énerver après quelqu’un, son prof était là près de lui.

« Professeur, vous avez finit vos cours. C’est génial, est ce qu’on peut-être ensemble maintenant ? »

Hiruka était fou de joie, il était tout contre lui, il l’avait attendu cet instant, il en avait envie. Il avait même envie de poser ses lèvres sur celle de son prof, il regarda l’autre personne, il voulait qu’elle s’en aille et ainsi il pourrait rester avec lui seul tranquille. Il ne put s’empêcher de lui faire comprendre, et il en le dit même pas gentiment.

« Va-t’en-toi. »

Quelques mots tout simple, uniquement pour profiter de son prof chéri.

Daiki fut ramené dans la réalité quand il entendit la voie de hiruka. Il le regarda. Il se laissa enlacer par celui ci. Il n'avait rien a dire a hiruka, et donc resta muet, il attendit que la fille parte pour retrouver un petit sourire. Mais il continuait à se taire. Il s'éloigna alors de hiruka.

"Je suis ton prof, et je suis un adulte, c'est interdit, tu sais. Et donc il faut se faire discret sinon on me renverra, et on ne pourra sûrement plus se voir. C’est ce que tu veux?"

Il allât vers un coin tranquille. Il regarda alors autour d'eux. Personne il prit alors hiruka dans ses bras. Il retrouva totalement le sourire

"C’est mieux ici, personne ne nous dérangera."

Il déposa alors ses lèvres chaudes sur celle de hiruka. Puis il posa sa tête sur l'épaule du garçon. Il lui valait quand même manquait avec tout ses questions. Daiki se permit de fermer les yeux pour se calmer de ce qui c'était passé.

"Alors comme ça tu ne venus pas que je soit avec d'autre? Pourquoi as tu renvoyer balader cette fille elle ne t'avait rien fait?"

Hiruka était heureux d’être avec son prof, il comprit ce qu’il dit, il ne fallait pas que tout le monde sache, il ne comprenait pas la raison, un élève et un prof, il ne comprenait pas que c’était interdit. Mais bon il ne voulait pas que son prof qsen aille loin d’ici.

« Désolé professeur, je ne savais pas, je ne voulais pas vous embêter. »

Et il sentit les lèvres du prof contre les siennes, cela le réchauffa tout plein à l’intérieur, il savait un peu plus maintenant ce que c’était, et il se laissait aller complètement à cet instant.
Après la question de prof le prit un peu de cours, il se demandait lui aussi pourquoi cette fille l’avait énervé, il avait eut simplement l’impression de vouloir être tranquille avec son prof, simplement, mais il sentait que sa réaction avait été excessive. Cela le fit rougir

« Je ne sais pas, j’ai eu l’impression qu’elle vous embêtait et puis je voulais être avec vous. Et puis cette fille me dérangeait, mais je ne sais pas vraiment pourquoi ? »

Hiruka continuait de rougir. Il prit le prof dans ses bras, il lui avait manqué, alors il voulait rester près de lui en cet instant.

"C’est gentil de ta par hiruka. Mais tu n'as pas à t'occuper de ça."

Daiki le lâcha pour s'allonger, il était un peu fatiguais de sa journée de cour et puis de ces filles. Vraiment il aurait préféré dormir aujourd'hui, mais bon il était avec sa petite chérie.

"Viens prêt de moi hi. Tu sais hi il fat qu'on soit discret car les gens ne voit pas d'un bon oeil cet amour là. Déjà que l'amour entre garçons ça ne plait pas, alors si il n'ont pas le même âge et en plus si c'est une prof et un élève. Les gens n'accepteront jamais notre lien."

Daiki sourit, cet amour avait tout contre lui. En plus daiki n'avait jamais pu jamais vraiment aimer quelqu'un, si les gens ne veulent pas de ce lien, ils feront tout pour les séparer, daiki n'aimait vraiment pas cette idée. Il referma les yeux.

Hiruka écoutait son prof, il savait qu’il avait réagit bizarrement vis à vis de cette fille, il sentit le prof le lâcher et allait s’asseoir, il devait être fatigué. C’est vrai que lui devait travailler, Hiruka lui pouvait dormir quand il voulait et faire un peu ce qu’il désirait. Il s’assit à côté de son prof et écouta ce qu’il lui disait, leur amour devait être caché. Il comprit aussi que leur amour n’était pas bien. Pour Hiruka, ce qui n’était pas bien était mal. Et la seule référence qu’il connaissait au mal était les contes pour enfant que sa maman lui racontait. Il commença à voir les méchants de ces contes comme les sorcières. Et se demandait si vraiment, c’était pareil pour le prof et lui. Pourtant, il était si heureux d’être avec lui, il ne comprenait rien. Et forcément, il se sentit très mal, et se mit à trembler. Il avait peur de tout ça maintenant, et la peur le pénétrait, et comme à chaque fois qu’il avait des émotions trop forte, c’était son cerveau qui prenait les chocs, il y eut immédiatement une réaction d’autodéfense, c’est ce que l’on appelle l’instinct de survie. Le prof avait déjà vu cette réaction de la part d’Hiruka, mais lui ne s’en souvenait pas. Et on passa au mode autodéfense, et sa deuxième personnalité se mit en marche. Hiruka ne tremblait plus.

« Je croyais avoir été clair la dernière fois, il va falloir être plus gentil avec lui, arrêtez de réagir comme-ça et ne lui faites pas peur, j’en ai marre d’être obligé de prendre le relais, tout ça pour le protéger. »

Hiruka parlait méchamment, c’était lui, mais aussi quelqu’un d’autre, et dans cet état, il n’était pas quelqu’un de vraiment très gentil.

"Ce n'est pas mon problème je me retiens bien assez. Alors dégât toi tu ne m’intéresses pas. Tu devrais avoir que j'apprécie hiruka parce que ça naïveté m'empêche d'être totalement moi même. Mais je l'ai eu c'est donc une grand satisfaction personnel, même si il est nul. C’est bon tu en assez entendu tu peut partir maintenant."

Daiki cherchait la bagarre. En même temps il n'était pas d'humeur à ce type de réflexion.

"Si tu tiens vraiment a le garder en bonne santé, éloigne le de moi. Je te promet je ne ferais rien pour le retenir."

Et encore un provocation, incorrigible. En même temps le faite que toute ses filles lui tourne autour, ça le rendait nerveux et donc agressif. Daiki gardait les yeux fermait, faisait mine de ne pas porte attention a hiruka. Enfin l'autre. Il ne savait d'ailleurs pas bine qui c'était.

"En faite pourquoi j'ai l'impression que tu es bien différent du hiruka de d'habitude?"

daiki avait quand même le droit de savoir ce qui se passé dans la tête de ce gamin

Hiruka sentit que le prof voulait la bagarre, il aurait put simplement partir et laisser l’autre, mais il avait une forte envie d’en découdre avec lui, il était énervé par les paroles de ce crétin de prof. Mais même s’il en avait envie, il ressentait aussi des sentiments pour lui, et cela l’agaçait. Quand le prof lui demanda qui il était, il se rendit compte qu’il n’était rien à part une défense pour ne pas perdre Hiruka définitivement. Depuis, l’accident, Hiruka avait des problèmes de santé et cela touchait particulièrement son cerveau et dans un instinct de survie, Hiruka avait crée plein de moyen de défense en particulier lui. Il regarda le prof.

« Je suis lui, mais une des simples défenses qu’il a mises en place pour vivre. D’ailleurs, il serait temps qu’il retrouve sa mémoire, car ce cirque ne pourra pas durer encore très longtemps et Hiruka risque vraiment de finir dans le coma. L’accident l’a pas mal amoché dans la tête, mais son instinct de survie est si fort qu’il fait tout pour se protéger en ce moment. Bon essayez de ne plus l’affoler, et je ne reviendrais plus, c’est seulement quand Hiruka a peur que je viens, pour limiter ses angoisses. »

L’autre s’en alla et Hiruka revint, il sourit à son prof, pour lui tomber dans les bras évanouit de fatigue, combien de temps Hiruka allait encore tenir ? A ce rythme, il finirait par plus se réveiller et dormir d’un sommeil sans fin. Là, il allait simplement dormir trente minutes, le temps de récupérer, mais tant que la mémoire ne reviendrait pas, Hiruka aurait un vrai problème de saturation.

Daiki avait entendu ce que lui disait hiruka, mais même en lui daiki hésitait, il ne savait plus ou il en était. Mais il ne voulait pas prendre du recule. Il savait bien que hiruka, risquait sa vie à chaque foie. C’est pour ça que daiki ne savait pas si il devait montrer son attachement et l'oublier. Mais son coeur refuser, cette décision. Il c'était lui même enfermé dans ce problème. Il n'aurait jamais du approcher un garçon aussi dangereux que hiruka. Daiki accentuelle hiruka dans ses bras.

"Je ne sais pas si un jour je pourrais entièrement te montrer combien je t'aime, je te tuerais et mon coeur avec? Je suis désolé mon égoïsme, me fera toutefois défaut."

Daiki installa confortablement hiruka, et il ferma les yeux. Ça allait trop vite pour lui, jamais il n'avait réellement exposé son coeur. Tellement il haïssait les autres. Il sentait qu'il s'éloignait de sa ligne de conduite habituelle. Mais comment lutter contre ça. Il ne voulait pas abandonner sa haine, au profit de l'amour. Comme hiruka était trop naïf, il ne pouvait pas garder daiki en son entier possession. Daiki le savait.

*peut on en même temps aimer, et apprécier la beauté d'un corps masculin?*

Hiruka dormait profondément au chaud près de son prof. Son corps s’étant reposer, il finit par se réveiller, il ouvrit les yeux et se sentit bien dans les bras de son prof, cette chaleur l’envahissait, et il eut des pensées très bizarres, des envies aussi et il sentit cette chaleur venir de plus en plus forte. Il se releva doucement, il regarda son prof dans les yeux, il se mit à bouillir en lui.

« Daiki, j’ai très chaud, j’en ai des frissons, Pourquoi ça me fait ça ? Et puis, j’ai des images dans ma tête que je trouve très bizarre. »

Hiruka était vraiment naïf, il aurait simplement dit au prof j’ai envie de toi, cela aurait été plus facile de compréhension, mais là il partait dans un chemin bien bizarre, puisqu’il était bien incapable d’exprimer ce genre d’envie qu’il ne comprenait pas encore, même s’il savait que c’était agréable, il ne comprenait pas.

« Professeur, apprenez-moi tout ça, je veux savoir ce qui m’arrive et je veux savoir comment faire. »

Hiruka remettait les pieds dans le plat là, il venait simplement de demander à son prof de lui apprendre à faire l’amour, mais bien sur il était d’une telle innocence qu’il ne voyait pas ce qu’il ne saisissait pas ses paroles.

Daiki senti hiruka bouger au bout d'un moment, il ouvrit donc les yeux il regardait son amant. Il sourit. Mais il eu un aire surprit, quand hiruka s'exprima. Il en dit rien, il préférait voir si il avait bien comprit, ce message plutôt mal dit. Puis hiruka précisa. Daiki se leva doucement le faisant basculer hiruka sous lui.

"Et bien, je n'aurais jamais pensé avoir une tel discutions avec toi. Mais comme je t'ai promis. Je ne peux hélas pas te dire grande chose, ce que tu ressens c'est du désir. Je ne peux hélas pas t'apprendre comment faire, car c'est quelque chose de naturel, ça vient comme ça vien. Il n'y a pas de règle. La seule chose c'est de se faire plaisir et de faire plaisir à l'autre. Par exemple."

Daiki embrassa hiruka dans le cou, il accompagna cela de quelques caresses et il se remit à parler.

"La plus par du temps les gestes qui te donnent du plaisir en donne à ton partenaire. Ce que je viens de te faire tous les hommes ressentirons comme toi a ce moment là."

Hiruka écoutait attentivement ce que lui racontait son prof, il était en admiration devant tout ce qu’il lui disait. Quand il se retrouva en dessous de lui, il sentit encore cette agréable sensation. Le prof le touchait et il aimait cela, il lui avait dit de faire la même chose, alors Hiruka imita maladroitement ce que le prof lui avait dit en caressant le torse de son prof, et en posant se lèvres dans son cou, il aimait faire cela, car c’était doux, aussi doux qu’un câlin. Hiruka commençait à sentir que c’était plus fort qu’un câlin, et cela faisait monter sa chaleur, Il se demandait si son prof aimait cela aussi.

« Professeur, dites-moi si je fais bien, et j’aime vraiment apprendre tout avec vous, mon cœur bat si fort quand vous êtes là. »

Hiruka rougit encore plus, il sentait encore un peu de gêne à tout ça. Pourtant il mit ses mains autour de son prof et le serra fort contre lui, il avait envie d’être contre lui, il ne voulait plus le quitter.

Daiki ferma quelque instant les yeux, même si il sentait bien que hiruka n'était pas encore très alaise dans ce type de mouvement, cela lui fit du bien. Il re-ouvrit les yeux pour regarder hiruka. Daiki n'eu pas le temps de répondre, hiruka l'enlaça.

"C’est très bien ce que tu fais. Tout est très bien, parce que ça vient de toi."

Daiki ferma les yeux, il luttait contre sa fatigue pour profiter de la douceur de son amant. Il finit par se remettre sur le dos épuisé. Il invita hiruka à poser sa tête sur son torse.

"Je dois t'avouer que je suis épuisé, mon travail, est plus fatigant que je ne l'avait imaginé. Je suis désolé, je ne pourrais m'occuper de toi, dans le sens ou je n’arriverais pas avec cette fatigue à te donner autant de plaisir que tu sembles en vouloir. "

Il lui caressa doucement le visage. Il ferma les yeux. Il avait aujourd'hui est manque d'originalité, mais bon ça arrive a tout le monde. Mais ce n'est pas pour autant qu'il voulait que hiruka parte, ça présence et sa douceur lui réchauffé son coeur.

Hiruka était désolé, il n’avait pas pensé un instant que son prof pouvait être fatigué, vu que lui venait de dormir, il était en pleine forme. Mais il ne devait pas abuser, il le savait.

« Ça va aller professeur, si vous voulez, je peux vous servir d’oreiller, ça ne me gêne pas du tout. »

Hiruka prit son prof et le coucha sur lui pour le laisser se reposer et lui transmettre sa chaleur. Il était bien la près de lui tout contre lui. Doucement, il passait sa main dans les cheveux du prof, il avait envie de tout lui donner, tout de lui, il savait maintenant ce qu’il ressentait pour lui. Et à tout jamais il aurait voulut rester près de lui. Puis, il entendit une voix qu’il reconnut et qu’il n’aimait pas du tout, il espérait que son prof dormait et n’entendrait pas.

Fille : « Alors Hiruka, on prend du bon temps. »

Elle s’assit à côté de lui et lui sourit.

« Chut, ne fais pas de bruit, il dort, ne le réveille pas. »

Fille : « Hum ! Oui, mais j’y mets une condition, c’est que tu t’occupes de moi maintenant. »

Hiruka tremblait, il n’avait pas envie de la voir elle, il ne l’aimait pas, et maintenant pour qu’elle ne réveille pas son prof, il fallait qu’il s’occupe d’elle, il s’énervait, cette fille, il avait envie de l’étrangler. Il passait toujours sa main dans les cheveux de son prof, mais celle-là se crispait. Non, il fallait rester calme. Il ne voulait pas le réveiller, il voulait prendre soin de lui. Il le regardait, si l’autre n’avait pas été là, il l’aurait embrassé.

Fille : « Alors occupes toi de moi maintenant. »

Et elle se colla à Hiruka.

Daiki sentait la main de hiruka dans ses cheveux il se laissa donc importer serin dans le royaume des rêves. La seul chose qui le maintenait dans la réalité c'était la mainte de hiruka. Il ne rêvé pas mais pouvait enfin se reposer. Mais mouvement de ma main de hiruka le fit sursauter. Mais il resta les yeux fermer. Il sentait la maison de hiruka crispé dans ses cheveux. Il prêta alors attention a ce qui ce passé, ce tirant peu a peut de son sommeil.

Il reconnu la voie, il commença a bouillir de l'intérieur, il avait envie de se lever et de la casser en 2. Mais la Flem de se lever l'empêchait de bouger.

*comment ça s'occuper de elle, il est n'est qu'a moi!*

Daiki n'en pouvais plus ouvrit les yeux et se leva doucement. Il regarda d’une aire sévère la jeune fille.

"Éloigne toi toute suite de lui!"

*non mais depuis quand elle ets aussi intime avec lui. je ne peu pas permetre ça. il est a moi maintenant?*

Hiruka n’avait pas pu repousser la fille car il ne voulait pas déranger son prof. Mais quand il vit son prof aussi en colère, il se demandait ce qui se passait, il vit le sourire de la fille. Et cela lui fit peur, elle n’avait pas l’air d’avoir de très bonnes intentions. Elle se leva et regarda le prof.

Fille : « Bon je vais m’en aller maintenant, je ne voudrai pas vous déranger plus tous les deux. »

Elle souriait toujours et se baissa près de Hiruka pour lui chuchoter.

Fille : « si tu ne veux pas d’ennuie, tu ferais bien de me suivre, car ton cher prof ne sera bientôt plus prof. »

Après ses paroles, Hiruka tremblait, il n’avait pas tout comprit, comme par exemple la suivre, il ne savait pas ce que cela voulait dire, mais il la regardait partir, et il se sentait si mal, elle lui avait dit que son prof ne le serait plus, elle était méchante, mais Hiruka ne savait ce qu’elle pouvait faire. Il n’avait toujours pas comprit que leur relation était interdite. Il restait assis sans bien comprendre ce qu’il pouvait faire regardant la fille partir puis son prof qui avait vraiment l’air en colère. Il tremblait, il ne voulait pas qu’il arrive du mal à son prof, mais il ne savait pas ce qu’était suivre, alors bien naïvement il demanda à son prof.

« Euh ! Professeur, cela veut dire quoi suivre ? »

Daiki ne fit rien quand la jeune fille parla, il savait que trop bien qu'elle avait raison et qu'il allait sûrement devoir quitter hiruka dans la douleur à cause d'elle. Il ne pensait maintenant qu'a la façon de tuer cette fille avant qu'elle ne parle. C’est la voie de hiruka qui le ramena à cette réalité.

"Elle te demande de partir avec elle et de ma laisser, sinon tu aura de gros ennui. Et elle a raison notre amour est... est interdit. Si le directeur l'apprend je serais viré et tes parent me feront un procès que je perdrait sans trop de mal, et là... il m'interdiront de te voir, te t'approcher a moins de 4km. "

Daiki alla enlacer hiruka. Dans sa tête il tentait de se répéter que c'était pour la dernière foie. Mais comment lacé cet être avec qui il se sentait si bien?

"Elle a raison hi. Nous devrions plus nous voir. Finir cette relation qui nous mène dans une impasse."

Cette fille lui avait vraiment mis le moral a zéro.

"Je préfère pouvoir t'approcher que ne plus jamais te voir."

Hiruka écoutait et paniquait encore plus, ne plus le voir déjà qu’il avait du mal quand il n’était pas près de lui, mais ne plus le voir, pour lui c’était hors de question. Ses parents ne feraient jamais ça, il respecterait son choix, mais le directeur du lycée, c’était moins sur. Il ne laisserait sûrement pas passer cela. Il commençait vraiment à s’inquiéter et de voir que le prof le prenait dans ses bras et ses derniers mots lui firent si mal qu’il eut l’impression qu’on lui arrachait son cœur. Il ne pouvait rester là, cette fille allait payer très cher la douleur qu’il ressentait. Il se leva regarda son prof.

« Oui, je comprends, bon ben je vais la suivre alors, mais je vais lui dire non elle appartient à un passé dont je ne me souviens plus comme tous les autres, si un jour je retrouve mon passé, elle aura peut-être une place, mais en cet instant, je ne veux pas d’elle. Pour moi, il n’y a que vous, et je ne veux pas non plus vous quitter. »

Hiruka se leva et suivit cette fille. Quand il la rejoint, elle eut un magnifique sourire.

Fille : « Je vois que tu comprends où est ton intérêt Hiruka. »

« Ne m’appelle pas comme ça, je déteste ce prénom, il appartient au passé comme toi d’ailleurs, tu pourrais faire l'effort de comprendre, je ne me souviens plus de tout cela, et je veux me tourner vers l’avenir avec quelqu’un d’autre. »

La fille se retourna et regarda Hiruka, son regard était noir, son sourire c’était transformé et on aurait dit une folle.

Fille : « Hiruka, je et préviens, on était ensemble avant et je ferai tout pour te garder, j’ai tout perdu pour être avec toi, et tout ça c’était de ta faute, tu n’aurais pas tout fait pour m’avoir. »

Et elle continua son chemin. Hiruka se sentait vraiment très mal à l’aise, il ne sentait pas cette fille, il ne l’aimait pas, il avait envie de partir, rentre au lycée ou alors retourner près de son prof, même s’il ne comprenait pas tout, il se sentait en danger avec elle. Il s’arrêta de marcher, il voulait s’enfuir et commença à regarder où il pouvait partir. La fille se retourna.

Fille : « je t’ai dit de me suivre Hiruka, n’oublie pas que tu es à moi. »

« Non, je préfère rentrer au lycée, tu me fais peur et en plus je commence à être fatigué. »

Hiruka n’était pas fatigué puisqu’il venait de dormir dans les bras du prof, c’était simplement une excuse pour rentrer, pour être en sécurité. La fille le regarda avec un tel regard qu’il se sentait vraiment très mal.

Fille : « Tu vas me suivre sinon je te jure que cette fois-ci je ne te louperais pas. »

Hiruka ne comprenait pas ces dernières paroles, il la regardait effrayé.

« Qu’est ce que ça veut dire je ne te louperais pas, je comprends rien de ce que tu dis et ne plus tu me fais trop peur, je veux rentrer au lycée. "

Daiki laissa hiruka partir, il ne disait plus rie, il regardait devant lui il finit pas allumer une cigarette. Il la regardait peu à peu se consommer. Sans vraiment la fumer. Il ne suivait même pas hiruka du regard. Il était plongé dans ses propres pensés, il avait cédé à un amour impossible, c'est aussi peu être a cause de ça qu'il était si intense.

*je suis qu'un imbécile, je dois fermer mon coeur avait qu'il en soit encore temps. Mais je ne peux pas le laisser dans les bras de cette fille. Alalalala, je ne suis vraiment pas doué pour e genre de chose!*

Daiki finit pas se lever il prit un nouvelle cigarette et all vers les deux il entendit distinctement ce qu'elle dit il garda sa colère a l'intérieure de lui. Enfin presque. Il s'avança prêt de la fille

"Tu as intégré à parler!"

Il avait vraiment un visage commode. Il lui tenta le bras très fermement.

"Répond toute suite je ne suis pas d'humeur!"

Hiruka fut surpris que son prof soit là, par contre la fille le regardait aussi vraiment très méchamment.

Fille : « Tu devrais dégager cette fois-ci le prof, sinon tu vas tout perdre, je ne te laisserai pas Hiruka, il est à moi. »

Hiruka la regardait, elle avait l’air de devenir de plus en plus folle, il avait vraiment peur.

« Tu devrais te calmer. »

Hiruka lui avait dit gentimment pour qu'elle se détende, mais cela eut l'effet inverse sur cette fille.

Fille : « tu lui as expliqué à ton cher prof qui tu étais avant, tu lui as dit que tu t’amusais avec les gens. »

Hiruka ne savait plus quoi dire, elle racontait n’importe quoi, elle essayait de lui faire du mal.

« Non, tu dis n’importe quoi, je suis quelqu’un de gentil. »

Fille : « on va y croire, tu sais toi le prof, tu devrais pas te frotter à lui, il n’est rien qu’une saloperie, il draguait et puis quand il avait gagner il jetait. Il trichait avec les sentiments des gens, un jeu pour lui, voilà ce qu’il m’a dit après avoir détruit mon bonheur. »

Hiruka la regardait, il s’écroula au sol, ce qu’elle disait n’était pas vrai.

« Non, ce que tu dis n’est pas vrai, c’est pas vrai. »

Hiruka ne voulait pas entendre ça, il ne voulait pas que son prof entende ça, il ne voulait pas le perdre, et pensait que cela suffirait pour que le prof se détourne de lui.

Daiki entendit que cette fille est finit pour parler après tout elle devait au moins se soulager un peut. Puit il la lâcha. Mais i en profita pour lui écrase sa cigarette sur le bras.

"Et bien qu'est ce que ça peu me faire franchement? Je suis pareil. Il t'a fais souffrir tant mieux, mais tu es vraiment trop nul pour vouloir te venger ainsi. Je ne peut pas dire que c'est coup bas car il a bien du te faire quelque chose dans le genre, mais je m'en fou et un chose que je déteste le plus au monde c'est bien des filles comme toi."

Daiki alla alors prendre hiruka dans se bras.

"Hi on s'en fiche de ce que tu as fais avant que je t'ai rencontré. Hiruka dis lui pardon au moins. Je sais que aujourd'hui tu n'aurais jamais fais ça. A moins que tu joues parfaitement la comédie."

Daiki lui sourit pour le mettre en confiance.

Hiruka était toujours au sol quand il entendit son prof dire que cela ne l’intéressait pas, il eut l’impression qu’on lui enlevait un poids du cœur, il n’allait pas le detester. Par contre, la fille tenait son bras dut à la brûlure et surtout ne savait plus quoi dire. Hiruka sentit les bras de son prof autour de lui, il allait mieux, oui il fallait qu’il s’excuse, même s’il ne s’en souvenait plus.

« Je suis désolé pour ce que je t’ai fait, même si cela c’est mon passé. »

La fille le regardait, elle avait l’air de se calmer.

Fille : « Pour l’instant, je vais en rester là, mais jamais je ne te pardonnerai et je te le dis maintenant, je sais que la prochaine fois je ne te louperai pas, je peux te le jurer. »

Et elle partit. Hiruka se serra dans les bras de son prof, il n’avait toujours pas comprit ce qu’elle voulait dire par ne pas te louper.

« Professeur, qu’est ce qu’elle voulait dire par je ne te louperai pas, qu’est ce que ça veut dire ? »

Hiruka ne pouvait plus trop bouger, il avait vraiment eu peur, mais surtout son cœur était encore douloureux et toutes ses émotions l’avaient épuisé, il recommença à bailler, il savait qu’il faudrait qu’il aille se coucher, il avait pourtant dormit, mais là il avait abusé de ses forces, il savait qu’il devrait aller dormir, mais il n’en avait pas envie, il ne voulait pas bouger et rester près de son prof, il ne se sentait pas la force de le quitter, il voulait être totalement à lui.

Daiki ne savait plus comment réagir, il venait d’entrer dans une dispute de gamins. Ça lui apprendra à les choisir jeune, mais que faire maintenant. Rien de très réjouissant en perceptive.

"Rien hi elle te cherchait. Ne l'écoute pas!"

Elle allait sûrement revenir à la charge. Daiki commençais a ce lasser de cette situation, c'est sûrement des actions de ce type qui ferons mourir son amour. Il le savait se connaissant mieux que personne. Il remarqua que hiruka était fatigué.

"Je pense que tu devrais aller dormir, tue s fatiguais et moi j'ai des cour a préparer. Je pense que pour aujourd'hui nous devrions rentrer chacun de notre côté. Contrairement a ce que tu pense je ne suis pas indestructible j'ai aussi besoin de me reposer. Toute cette histoire m'a fait tourner la tête, ça faisait longtemps que je n'avais pas ressenti ça et je ne le supporte pas."

*j'ai vraiment fais une erreur!*

Hiruka regarda son prof, il avait l’impression qu’il s’éloignait de lui tout à coups, il lui devenait inaccessible, mais il ne savait pas comment faire pour l’exprimer. Il se leva doucement, il avait la tête qui tournait, mais il ne voulait pas le déranger, ce qui venait de se passer était suffisant il n’était pas bien que le prof soit embêté par tout ça.

« Oui, je vais aller me reposer, je suis désole, je ferai mieux de ne plus vous voir du tout, je ne veux plus vous attirer des ennuis, je vais rentrer au lycée maintenant, merci d’avoir été là pour moi Daiki. »

Hiruka se retourna, il sétait si mal, il avait envie de vomir, il s’en allait doucement, cette relation était interdite, et même si cela lui faisait mal, il ne devait plus jamais voir son prof, en plus il lui avait attiré assez d’ennui comme-cela, et les menaces de cette fille ne devaient pas être prises à la légère, elle reviendrait sûrement pour se venger, ce n’était pas la peine que le prof soit là. Il rentrait tranquillement dans sa chambre avec toute cette douleur en lui, il se sentait si mal, mais il savait aussi en cet instant que personne ne pourrait l’aider, il sentait un vide en lui, si seul, il aurait voulu savoir qui il était ainsi il n’aurait peut-être pas perdu la personne qu’il aimait, car avec les mots que son prof lui avait dit et sa réaction, c’était sur plus jamais celui-ci voudrait le voir.