Il était déjà très tard et les couvre feu de l’école saint Antoine, n’allait pas tarder à se mettre en route. Gabriel venait de lire en un soir, trois livre qu’il avait emprunté à la bibliothèque le matin même : « les misérable » de Victor Hugo, « Lorenzaccio » et « la bête humaine » de Zola. Il devait se dépêcher de les rapporter au plus vite avant la fermeture.
Il enfila vite fait sa chemise blanche, et sortis de sa chambre avec les trois livres en main. Il longea le couloir, monta les escaliers jusqu'à l’étage suivant et il se trouvait enfin devant une porte où un écriteau indiquait en lettre d’or « Bibliothèque ».
Mais malheureusement pour lui, la dame du CDI, avait déjà fermé les portes. S’il ne rendait pas les livres maintenant, il risquerait d’avoir de gros problème. Dans la poche de son jean blanc, il sortit une petite épingle en fer, qui était très abimé. Il l’a gardait toujours avec lui, depuis que son oncle l’enfermait dans sa chambre.
Il était maintenant devenus un As des infiltrations comme des évasions a grâce a ses petite habitude.
Il entra l’épingle dans la serrure de la porte et tourna plusieurs fois. Tout en tendant l’oreille, il essaya de percevoir un petit bruit. Soudain il entendit un click suivit d’un deuxième click. Il tourna lentement la poigné et s’infiltra discrètement dans la grande pièce sombre. Dans l’excitation, il oublia de refermer la porte et se dirigea vers le fond.
Plusieurs ranger de livres étaient posé dans des étagères et ranger par ordre alphabétique et par genre. Gabriel avait déjà réussit a posé deux livre dans leur place respective et il ne manquait plus que « la bête humain ». Gabriel se souvint qu’il avait pris ce livre de la réserve. Il se dirigea péniblement dans le noir, vers les étagères consacré aux sempai, et chercha la lettre « Z » afin de posé se livre a la bonne place.
La réserve était un endroit clos, il y avait un cul de sac à sa droite, et, à sa gauche se trouvait la seule sortis d’où il était arrivé. Ayant du mal a trouver le nom « Zola » parmi tout ces auteur, Gabriel eu la fâcheuse idée d’allumer la petite lanterne qui se trouvait sur la table derrière lui. Mais grâce a cette idée, il trouva très vite l’étagère consacré à cet auteur.
Soudain il entendit la porte d’entrée se refermer et se maudit d’avoir oublié de la refermé derrière lui. Quelqu’un avait dû sûrement entré. Il s’empressa d’éteindre sa lanterne d’un coup de souffle, plaça rapidement le livre a sa bonne place, et s’apprêta à sortir de la réserve. Mais, les bruits de pas était devenu tellement proche que la meilleur solution qui s’offrait a lui, était de rester à sa place sans faire de bruit. Lorsque les pas cessèrent, il reprit un livre appelé « le fantôme du grenier » et s’installa sur la chaise afin de commencer sa lecture foudroyante.