Quand les jours de malheurs arrivent...

"GYYYYYYYAAAAAAHHHHHHHH !!!"

C'était le cri qu'on pouvait entendre au loin. Et si on se rapprochait en essayant de pas se faire écraser, on pouvait voir des grands nuages de fumée s'élevée et s'en venir vers nous. Et si on se rapprochait un peu, on pouvait voir Shinya en train de courir a en perdre son souffle, poursuivit par des chevaux. Et oui ! Le jeune homme avait décidé de faire de l'équitation dans des plus grands espaces, et avait libéré les chevaux. Et nécessairement, ceux ci s'étaient enfuient. Et c'est pour ça qu'a cette instant, le jeune homme cours dans tout les sens au lycée Saint-Antoine. Il percuta alors quelqu'un, en essayant même pas de voir si c'était un professeur. Et il eu de la chance cette fois, puisque le coup le fit dévié de la trajectoire des chevaux. Ouf...il se releva alors d'un bond, regardant partout pour voir qui il avait frappé. Il courru vers la personne qui se trouvait par terre, et tendit sa main a l'étranger.

"Gomen, gomen, gomen !" (Bah oui ! Il parle japonais ! Pour ceux qui savent pas ce que veux dire Gomen = Pardon)

"Je m'apelle Shinya Katsura. Et vous ?"

C'était pas une question a poser dans ces temps la ! Il remarqua alors que les chevaux revenait. Il atrppa la main de l'étranger et commenca a courir en trainant l'autre derrière lui. Il s'arreta enfin de courir et se retourna pour voir si l'étranger -qui était encore très "étranger" pour lui - n'était pas mort.

L’infirmière était sortie pour prendre un peu l’air et partait tranquillement vers les écuries pour admirer les chevaux. Elle aimait les animaux.
Mais elle n’alla pas bien loin, puisqu’un garçon l’a renversa et elle tomba, il l’aida à la ramasser, se présenta en s’excusant, et puis prit sa main et se mit à courir, Chi ne comprenait pas ce qui se passait et courut avec Shinya. Mais elle se retourna et vit les chevaux leur foncer dessus, elle comprit donc qu’elle devait courir et surtout changer de direction. Ils finirent par s’arrêter en pensant être hors de danger. Et il la regarda un peu inquiet.

« Ca va pour moi et toi ? Je m’appelle Chi Iks et je suis l’infirmière du lycée. Pourquoi ses chevaux te couraient après ? »

Beaucoup de question pour Shinya, mais Chi était encore tremblante de peur.

*Que faisaient ses chevaux en liberté ? J’espère qu’il n’est pas blessé, je devrais l’examiner.*

Chi commença à toucher Shinya pour voir s’il n’avait rien de casser, elle espérait qu’il n’avait rien, il avait l’air si fragile.

Le jeune homme essaya de se calmer, fixant toujours la direction où était partit les chevaux. Ouf...il l"avait échapper bel ! Mais le malheur revint a la charge puisqu'il se rendit compte que ce n'était pas un professeur, ni un élève, mais l'infirmière du lycée. Il reprit son souffle, secouant la tête en entendant les autres applaudir parce qu'il avait été plus vite que les chevaux. Mais c'était faux. Il était parti un bon vingt minutes avant. Tsss...il fit un petit sourire lorsqu'elle lui demanda pourquoi ces chevaux lui courait après.

"Heu...enfin...j'avais décidé d'aller me promener ailleur...et j'ai libéré les chevaux..."

Imbécile ! C'est ce qu'il était ! Il secoua ses vêtement pour enlever la poussière et regarda son pantalon, qui était couvert de boue, tout comme son chandail. Grmm...a ce moment, il aurait voulu hurler, parce que ce chandail lui avait quand même couté 200 yenh ! Il tappa du pied, comme un enfant et se tourna vers -a ce qu'il avait entendu- Chi.

"Huf...ravi de vous rencontrer !"

C'est alors qu'elle commenca a l'examiner, surement pour voir si il n'était pas blessé.

"Ne vous inquieter pas, je vais bien !"

Mais a son allure, c'était pas rassurant...

[je dérange peut-être dsl]

L’infirmière vit que le jeune-homme avait fait une bêtise, c’est lui qui avait libéré les chevaux, cet incident c’était de sa faute.

*AH ! Ces jeunes ils font aussi de sacré bêtise.*

« Tu sais tu aurais pu te blesser, heureusement tu n’as rien mais avant de faire quelque chose tu devrais réfléchir. »

Chi lui fit la morale, mais comme elle avait eu peur, elle était repartit dans un monologue comme elle en avait l’habitude, et qui allait l’arrêter.

"Tu sais il faut faire attention à soit, je suis pas sure que tu ailles bien la, il va falloir aller te laver et te changer, et puis il faudra prévenir la sécurité pour ramener les chevaux libérés et ce n’est pas bien malin. Tu es comme un petit garçon que je ‘ai connu toujours à faire des bêtises. Oui avant j’étais infirmière en pédiatrie, et puis là je viens d’arriver à Saint Antoine. Oui je suis infirmière et puis je viens d’un orphelinat, mais dernièrement mon grand-père m’a retrouvé et c’est lui qui m’a fait transférer ici…"

Voilà, Chi continuait sans s’arrêter à parler, c’est comme ç a qu’elle faisait fuir les gens, en plus ce qu’elle disait était incompréhensible, puisqu’elle passait du coq à l’âne.

(Gomen pour le retard)

Donc, le jeune homme se retrouva devant l'infirmière qui ne finissait pas de lui raconter sa vie. Il enfonça alors ses mains dans ses poches, regardant Chi parler d'apeller la sécurité. Il fit alors dos a l'infimière et se diriga d'un pas lent vers le téléphone le plus proche. Et voila ! Le meilleur exemple de faignance. Il fit un sourire casis enfantin a la jeune femme et se diriga vers la porte d'entrée. Elle pouvait bien continuer a parler...

"SAYONARA !"

Il ouvrit doucement la porte et disparut une fois de plus a l'intérieur du lycée. Il allait monter dans sa chambre pour se remettre comme il faut. C'était pas comme ça qu'il allait défiler devant les gars du lycée !

Chi regarda le garçon aller téléphoner et partir, oui elle le savait elle avait trop parler. Mais elle n’apprécia pas du tout la réaction du jeune-homme, surtout pour le téléphone, il n’était pas capable d’aller voir les gardiens et aussi de s’excuser ou de les aider. Ce garçon était irresponsable. Il était parti sans rien faire . Chi était énervée.

*Celui-la, la prochaine fois que je le voie, j’aurais 2 mots à lui dire, lors de la visite médicale, je lui ferais passer le goût du pain vraiment pas être correct. Aucun respect, quel petit crétin !*

Chi partit elle aussi et se dirigea vers l’entrée du lycée.