Une douleur intense caché pendant un bon moment...

Invité

Samokë sortit des terrains de jeux en disant adieu à son amoureux, Sloth. Lorsque ce dernier partit à travers l'obscurité de la nuit, le jeune Isis toussota en se penchant, et cracha un peu de sang. Il devait vraiment aller à l'infirmerie, car d'ailleurs les soins à l'hopitâl n'étaient pas finis et il s'était enfui. Samokë cherchait au hasard dans l'établissement, traversant les couloirs, se tenant les côtes, haletant. Son hémoragie avait reprit le dessus, et la ou ses pas trainaient, quelques gouttes de sang l'accompagnaient. C'est alors qu'après une bonne heure de recherche et souffrance, Samokë trouva enfin l'infirmerie, et il frappa à la porte. Il soupira, non l'infirmière devrait être dans sa chambre. Samokë se posa contre le mur, se laissant coulisser et jusqu'à s'asseoir par terre. Il n'avait pas le courage de chercher la chambre de l'infirmière, et puis il avait trop mal pour se déplacer d'avantage. La respiration haletante, le front légèrement en sueur, le jeune homme poussait des soupires de douleur tout en serrant les dents de toutes ses forces, la douleur était intense. Il ferma les yeux, tentant de se relacer. Un léger bourdenement retentissait dans son ouie, il allait peut être encore tombé en coma, mais pour l'instant Samokë était bel et bien conscient. Endurant la souffrance, il ouvrit doucement sa chemise pour ne pas avoir trop chaud, montrant ainsi ses blessures issues de l'aggression de Tami, le chef des Isis, dans le restaurant. Ce dernier lui avait brisé quelques côtes, et donc la respiration du jeune homme était accompagné de spasmes et douleur. L'hôte ne savait pas s'il dirait ce qu'avait fait Tami, mais pour l'instant il tentait de reprendre son calme et ignorer son agonie... Il n'y avait plus qu'un facteur qui pouvait sauver Samokë, la chance...

Chi était à l’infirmerie ce soir là, car dans l’après-midi un patient était arrivé avec une forte fièvre, il avait une angine et elle était restée cette nuit pour ne pas le laisser seule, elle faisait simplement son travail. Elle était à son bureau en train d’étudier les dossiers des élèves. Elle commençait à s’endormir et ferma les yeux un instant. Ce qui la réveilla, c’est ces coups donnés à la porte, elle était sûre, elle avait entendu frapper.

« Entrez »

Mais personne ne venait, était-ce une farce comme savait si bien les faire le grand Shin. Elle voulait quand même vérifie et se leva de sa chaise pour aller ouvrir la porte, mais il n’y avait personne devant celle-ci. Chi entendit pourtant une respiration qui était très mauvaise alors elle regarda là d’où venait la respiration, et elle vit quelqu’un au sol, il avait l’air de beaucoup souffrir, et elle vit les blessures comment avait-il pu faire cela et réussir à venir jusqu’ici, Chi rentra dans l’infirmerie pour aller chercher un fauteuil, roulant, elle porta le garçon dans celui-ci et le transporta dans l’infirmerie, elle le déposa sur un lit et aller chercher son matériel. Elle commença d’abord par soigner ses blessures, les nettoyer, elle lui fit une piqûre anti-tétanos, on ne sait jamais. Elle s’afférait autour du blesser et commençait à s’épuiser. Mais bon tant que ça ne serait pas finit, elle ne prendrait pas de repos.

« Comment tu t’appelles que j’aille voir ton dossier médical, je pense qu’il va falloir que l’appelle l’hôpital pour t’y faire transporter, je n’ai pas tout pour te soigner dans de bonne condition. »

Invité

Samokë ne sentait presque plus rien, il avait du mal à respirer. Bientôt, il perdit conscience, voyons plus rien, il sentait juste une force le soulever, et il se retrouva assis sur une chaise, qui roulait. Le jeune Isis entrouvrit les yeux, mais sa tête tomba sur le côté, tellement il était fatigué. Ensuite, il fut allongé sur un lit, finalement l'infirmière était là, quelle chance. Samokë eut un minuscule sourire et tenta de respirer. Il sentit des pressions sur ses blessures et une picure, mais de toutes façons il avait endurer pire à l'hopital. L'hôte entendit alors la voix de l'employée résonner dans son ouie. Il aurait voulu répondre, mais il n'avait pas la force, mais lorsque l'infirmière parla de l'hopital, Samokë poussa un petit cri étouffé. Tout sauf ça, il ne voulait pas revoir Tami dans ce bâtiment, il était hors de question qu'il croise son aggresseur de nouveau. Samokë se précipita alors pour grommeler quelques paroles.

-"Non.. non pas l'hopitâl, s'il-vous-plaît... D'ailleurs, j'y reviens, je me suis échappé... et ils m'ont opérés, le plus dur est fait... je pense.. que je ne dois seulement me reposer et stopper l'hémoragie..."

Il disait vrai, mais il insistait. Samokë n'avait pas vu le visage de l'infirmière, sa vue était toujours floue et confuse. Le jeune homme poussa un long soupir, en plus, le lendemain il devait partir en ville, et c'était urgent. La lumière de la chambre de l'infirmerie l'aveuglait encore plus, l'empechant de distinguer les traits des alentours. Samokë se mit alors à penser à son amoureux, la seule personne qui lui donait encore envie de vivre. Un sourire se dessina sur ses lèvres et il ferma les yeux, pensant à sa présence, son odeur, ses lèvres... Mais le jeune Isis fut sortit brutalement de ses pensées par les paroles de l'infirmière...

Chi regarda le jeun-homme quand il lui refus d’aller à l’hôpital, bon elle allait faire avec, quelque chose avait l’air de lui faire peur à l’hôpital. Par contre, elle ne connaissait toujours pas le nom du jeune-homme et elle ne savait pas trop si elle pouvait lui faire n’importe quel traitement, ce n’était pas le moment d’utiliser le mauvais produit et que celui-ci fasse une allergie, car cette fois-ci, il n’y aurait pas beaucoup de chance de le sauver vu son état. Elle allait encore devoir jouer le rôle du médecin (demande une augmentation à saint Antoine, boum un lingot d’or sur la tête de l’auteur).

« Bon, ok pas l’hôpital, mais dites-moi au moins votre prénom que je puisse prendre votre dossier et vous soignez correctement, autre chose vous en avez pour quelques jours ici, alors je vais me présenter, je suis Chi Iks l’infirmière. »

Chi continua les soins dont l’enfant avait besoin, et elle espérait que celui-ci allait vite dormir maintenant.

Invité

Samokë posa son regard sur l'infirmière, impressioné par sa beauté, il resta silencieux et pensif un instant, se perdant à nouveaux dans ses pensées. Puis après un moment d'inconscience, il haussa les sourcils puis se rappella de la question de l'employée, qui avait accepté qu'il ne retourne pas à l'hôpital. Le jeune homme sourit et répondit donc à Chi Iks.

-"Samokë Takuzaki, membre des hôtes Isis..."

Samokë s'empressa de refermer les yeux et se reposer, tout en respirant profondément, ignorant la quelque douleur qui restait en lui. Le silence était omniprésent, à part lorsqu'une des deux voix retentissait. Après un léger moment, il s'endormit lentement, mais c'était un sommeil léger qui pouvait être brisé facilement.

Chi réussit à traiter le jeune homme sans encombre grâce à son nom qui correspondait à un dossier médical, tiens-lui aussi faisait parti d’un des clubs de l’école, elle avait déjà rencontré une fille Midori qui était une Akito, elle avait été super sympa avec elle et là elle rencontrait un Isis. D’ailleurs l’Isis était dans un très mauvais état.

*Comment avait-il pus se mettre dans cet état ? On voyait bien qu’il avait été agressé. Je suis inquiète. J’espères que sur le lycée, il n’y pas quelqu’un de violent à ce point, sinon il faudra que je fasse intervenir la police.*

Chi n’aimait pas qu’un enfant soit blessé, cela l’énervait, on ne devait pas faire de mal aux enfants encore plus si on était un adulte. Enfin, il s’endormit, c’était un sommeil léger, Chi se mit dans le fauteuil à coté pour surveiller son sommeil et ses besoins dans la nuit, de là, elle voyait aussi son autre malade qui lui dormait profondément ce qui était normal vu la grippe qu’il avait. Chi était tranquillement installé dans son fauteuil, elle sentait aussi les effets de la fatigue sur elle. Avant de sombrer dans le sommeil, elle se rappela qu’elle était là pour ses patients et qu’elle devait faire très attention avec celui qui venait d’arriver. La nuit pour lui serait assez douloureuse vue ses blessures.

Invité

Samokë eut un cauchemar affreux, il venait de perdre l'être qui lui le plus cher au monde, sur un terrain de bataille, armé d'une épée étrange. Un rêve idiot, mais qui pourtant était plus que tragique, et fit réveiller en sursaut le jeune homme, qui ouvrit soudainement les yeux. La douleur était intense. Samokë eut alors une idée, il bougea discrètement sa main droite pour chercher dans sa poche la seringue qu'il gardait furtivement depuis l'hôpital. Il retira délicatement la protection de l'aiguille, tout en faisant de son mieux pour que l'infirmière ne le voit pas. Il s'enfoça doucement l'aiguille dans le bras gauche, dans une veine à peine visible. Samokë était en train de s'injecter de la morphine, une drogue privant toutes les cellules de son corps de n'impore quel sensation, pendant un temps donné. Cette substance avait été refusé pour l'usage médical, car elle était trop intense, et pouvait privé le sens du tact à la personne injectée. Mais le jeune homme se fichait bien des effets possibles, il voulait juste calmer la douleur, et il savait que la morphine était extremement efficace contre ça. D'ailleurs, il commença à perdre la vue, et ne plus rien sentir, il ne savait plus s'il dormait ou pas, mais en tout cas il n'avait plus mal...
Au réveil, Samokë se leva doucement, heureusement, il sentait un peu la douleur, au moins la drogue n'avait pas fait de lui des conséquences graves. Le jeune homme se frotta doucement les yeux et regarda sa montre puis il s'addressa à l'infirmière lorsque celle-ci vint auprès de lui.

-"Je dois y aller, si je vais mal pendant la journée, je reviendrai vous voir, ne vous inquietez pas..."

Samokë esquissa un sourire de remerciemment et posa sa veste sur ses épaule avant de sortir en marchant très lentement.

[merci =) Et au faite, c'est vrai, tu devrais avoir une augmentation! XD]

Chi regarda Samokë se lever, près à partir, elle n’était pas d’accord avec cela, mais tout de façon, elle savait qu’il ne lui laisserait pas le choix.

« Bon tu t’en vas et je n’ai pas le choix, mais je te préviens, essaie de ne pas te battre et surtout pas de folie, cet après-midi, je veux te voir pour changer les pansements et adapter tes médicaments. Si tu ne respectes pas ses règles, je t’envoie à l’hôpital cette fois-ci. "

A peine Chi avait dit tout cela que Samokë était partit, elle n’avait même pas eu le temps de discuter un peu avec.

*Ah ! ces jeunes toujours pressé, je me demande bien où il va là, en tout cas, cela a l’air très important pour lui. J’espères que tout va bien se passer pour lui.*

Chi rangea l’infirmerie et partit vers sa chambre pour se laver et se reposer un peu, ses nuits à l’infirmerie avec des malades étaient souvent les plus dure.

[oui je vais y penser pour l’augmentation, j’ai été contente de faire ce post avec toi, peut-être un peu déçu qu’il se finisse aussi vite.]

» Absence pendant un p'tit moment
» un moment en plein air (pv)
» Moment de repos [libre]