L'arrivée du grand Eiri

Eiri n'avait pas dormi de la nuit, non pas parce qu'il était préoccupé par sa nouvelle prise de fonction mais il avait enfin fini son roman...une semaine apres la date prevue avec son edition. Il alla prendre une douche puis se prépara un café qu'il but rapidement. il se leva de sa chaise pris sa veste et partit. une fois dehors il s alluma une cigarette et monta dans sa magnifique porsche noire. Il fit son entrée dans le lycée et tous les regards se tournèrent dans sa direction.Une jeune demoiselle s'adressa à lui:
_Bonjour je peux vous aider monsieur?
_Non merci ca va aller
il n avait meme pas detourné son regard pour lui parler. Il prit donc ensuite la direction du bureau du proviseur pour lui signaler son arrivée. Aprés la breve entrevue, il décida de trouver quelqu'un pour lui faire visiter l'école...

Chijou venait de s’installer au lycée, et elle se promenait dans cet endroit pour mieux le connaître, elle regardait les gens et les trouvait plutôt bruyant et sans intérêt. Aucun n’avait l’air de pouvoir subvenir à ses envies. Chijou finit par voir quelqu’un d’intéressant, un blond avec un air plus âgé, il était très beau, et vu son air, il n’avait pas l’air pauvre.

* Hum ! Celui là, je veux bien devenir sa favorite, il a l’air d’être convenable. *

« Excusez-moi, puis-je vous renseigner ? Je suis Chijou Sayoku une membre Akito du lycée. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis à votre service. »

Chijou regarda l’homme droit dans les yeux, elle savait y fait pour charmer, car elle avait été entraîné depuis l’age de 6 ans à être une bonne geisha, alors elle savait faire craquer les hommes juste avec un seul regard. En plus, Chijou faisait plus que ses 17 ans, et aujourd’hui elle portait un tailleur noir avec une jupe à mi-genoux, et une veste droite. Cela lui donnait facilement 20 ans.

Il détourna le regard, et observa le reste de la pièce. Puis il lui jeta un coup d’œil discret à la jeune femme…Elle l'attirait certes mais ce n'était pas le genre de femme qu'il côtoyait habituellement.

*Elle paraît avoir du caractère peut être un peu trop à mon gout, mais elle peut m’être utile… On ne sait jamais nous pourrions faire un échange de bons procédés. Elle m'a l'air intelligente, voyons si c’est réellement le cas.*

Il s’approcha de la jeune femme et lorsqu’il ne fut plus qu’à quelques centimétres la regarda au fond des yeux comme s’il cherchait à sonder son âme. Cette femme l’intriguait de plus en plus..

_Oui, je viens d’arriver ici, et je ne connais personne. Peut être pourriez-vous me faire visiter ? Cela serait très aimable à vous.

Il sortit une cigarette mais se ravisa en pensant que ce n’était peut être pas conseillé dans un lycée. Il tapota son paquet avec sa cigarette puis la rangea.

_Et savez vous où je pourrai fumer ?

_Je suis Eiri Yuki…

Il avait dit cela en se penchant pour lui faire un baisemain.

*Hmm, on va jouer le modeste. Elle n’a pas l’air facile à influencer…Il n’en sera que plus intéressant de l’attirer dans les mailles de mes filets.*

Il lui fit un léger sourire et appuya encore plus son regard. Il pensait qu’il pourrait peut être s’amuser un peu, mais encore fallait il la séduire. Il était tel un chasseur observant sa proie avant de l’attraper.

_Je suis professeur de lettres et je m’essaie aussi à l’écriture…Je fumerai plus tard, je vous remercie. Bien, peut être pourrions nous commencer par les salles de classe ou les dortoirs… Je vous suivrez où que vous alliez.

Eiri lui tendit son bras pour qu’elle le saisisse. Il accompagna son geste d’un signe de tête pour l’encourager.

_Peut être pourrions-nous y aller tout de suite mademoiselle, je ne voudrais pas occuper votre temps trop longtemps.

Chijou apprécia les manières de cet homme Eiri Yuki, il était charmeur et distingué. Elle allait lui faire visiter le lycée, elle allait commencer par sa chambre, puisqu’il devait avoir envie de poser ses affaires, puis elle continuerait par la salle de classe. Il était professeur de littérature, il était donc quelqu’un de cultivé, il fallait qu’elle fasse attention, même si elle avait été éduqué sur les grands écrivains de ce monde, elle ne pouvait dire une bêtise, elle devait être parfaite.

« Je vais d’abord vous montrer votre chambre, pour que vous puissez y poser vos affaires, puis ensuite les salles de classe. »

Elle s’approcha de lui pour accepter l’invitation de son bras, tout de façon elle ne refuserait rien de cet homme, il était charmeur, et finalement il avait l’air d’avoir les moyens de l’entretenir.

[Suite dans ta chambre]