Chambre de Hi Haruaki (Pv)

Hiruka dormait, il ne savait pas ce qui passait autour de lui, car cette fois-ci il était vraiment passé en mode sommeil et heureusement, car il avait frôlé de s’écrouler vraiment. Il ne sentait pas qu’on l’emmenait dans sa chambre, il dormait et n’était pas près de se réveiller, il faudrait au moins une bonne nuit pour récupérer de ses bêtises. Pourtant, son professeur avait choisi de l’emmener dans sa chambre, et ainsi de le protéger. Hiruka sentait bien qu’il était enfin mis dans un lit, car c’était tout chaud, il se laissa encore plus aller à la détente et à son repos, il dormait si profondément, qu’on voyait immédiatement qu’il était épuisé. Hiruka ne savait pas que son prof resterait près de lui, mais il sentait quand même une chaleur et doucement se mit contre elle. Dans son sommeil, il avait perçut quand même son prof, et sa présence, car Hiruka était vraiment amoureux de lui. Il ne savait pas trop exprimé ses sentiments, car il ne les comprenait pas vraiment, il les ressentait simplement. Et en plus, cela devenait de plus en plus agréable pour lui, car comme dans le prince et le renard dans le prince de Saint Exupery, il commençait à apprivoiser son cœur, et c’est sûrement pour cela qu’il avait envie d’aller plus loin avec son professeur. Mais pour l’instant, il dormait et c’est tout ce qui importait.

daiki avait raccompagner hiruka a sa cambre. de toute façon celui ci ne pouvait plus rien faire. il le posa doucement sur son lit. il veilla a ce qu'il en prenne pas froid puis il alla s'a soir sur une chaise.

"fais de beau rêve!"

il allait devoir le veiller au cas ou il aurait besoin d'aide au réveille. n'osant aps faire de bruit pour ne pas lé réveiller il se sentait un peu inutile.
Daiki finit par se laisser aller et fermer les yeux. et bien sur ce qui devait arriver, arriva il tomba alors dans un profond sommeille.

*surtout ne pas dormit surtout ne pas dormir..*

Hiruka dormait tranquillement, c’était un repos dont il avait besoin, et c’est comme ça que dans sa chambre la nuit passa. Ils s’étaient tous les deux endormit, et doucement le jour revint.
Hiruka ouvrit les yeux, et perçut tout de suite son chéri endormit près de lui, il sourit. Il était heureux, son amoureux était resté près de lui. Hiruka sentait son cœur battre à toute vitesse. Il s’étira doucement dans son lit, se leva et s’approcha de son prof, il lui mit une couverture sur lui pour pas qu’il ait froid même si c’était un peu tard. Il se rassit sur son lit, il avait un peu la gorge sèche et regardait son prof. Il sentait son cœur battre de plus en plus vite rien qu’en le regardant. Il se leva et s’approcha doucement de lui pour ne pas le réveiller. Il s'avança et doucement posa ses lèvres sur celle du prof. Hiruka sentit son cœur battre encore plus fort, et son corps réagit aussi, il passa ses lèvres sur la joue du prof et doucement dans son cou, c’était doux et agréable, il aimait faire ça, il voulait continuer, mais se rendit compte qu’il allait finir par réveiller son prof chéri.

« Désolé professeur si je vous réveille, mais vous faites battre mon cœur à toute vitesse là. »

Et Hiruka recommença son manége en embrassant son prof sur les lèvres dans le cou, il trouvait ça agréable, et il savait qu’un réveil doux comme celui-ci ne pouvait être bien pour son professeur, du moins il espérait aussi lui faire plaisir.

[desole pour le retard]

Alors que daiki dormait profondément quelque chose de doux toucha ses lèvres, cela semblait si insaisissable. Seule ses yeux s'entrouvrant traitèrent le plaisir que cette sensation lui apportait. Daiki n'était pas encore conscient de ou il se trouvait et ce qu'il se passé. Mais cette sensation était si douce...

« Désolé professeur si je vous réveille, mais vous faites battre mon cœur à toute vitesse là. »

C’est bien la voie de hiruka qui le fit revenir sur terre.

"Hi..."

Il avait maintenant les yeux. Ouvert, les baisé de hiruka lui procuré beaucoup de plaisir. Il s'aperçut alors qu'il lui avait mit une couverture. Daiki se contenta de sourire.
A ce moment là il regretta d'avoir dormir sur une chaise. Il se leva donc pour s'étirer et faire passer la douleur qui c'était déclaré dans son dos.

"Aie! Je n'aurais jamais du m'endormir."

Il regarda alors hiruka. Il lui sourit et le prit dans ses bras.

"Tu es bien doux avec moi. Et si cette foie si tu partageais ton lit avec moi??"

Hiruka continuait d’embrasser son professeur, quand celui-ci se réveilla, il se releva pour se détendre. Et proposa à Hiruka devenir dans le lit. Hiruka sentit son cœur battre violemment, et surtout rougir.

« Daiki, ça va aller, je suis désolé, j’ai fait des bêtises hier soir, et à cause de moi, vous vous êtes fait du souci. »

Hiruka savait qu’il avait fait des bêtises, mais il n’avait toujours pas comprit pourquoi il s’était retrouvé dans cet état-là, il sourit à Daiki.

« Oui, je veux bien que vous veniez dans mon lit, vous allez me montrer comment je peux encore plus vous donner mon cœur. »

Hiruka était tout rouge, il rentra dans son lit, il n’osait plus regarder son chéri, tellement il était gêné. Il se sentait si bien en cet instant, plus rien ne comptait pour lui, il s’approcha de son amoureux, et recommença à poser ses lèvres sur les lèvres de Daiki. Il avait l’impression que tout son corps réagissait, et que son cœur allait exploser, il ne comprenait pas trop ce qu’il lui arrivait, c’était très fort.

« Daiki, c’est si fort, qu’est ce que c’est ? Pourquoi je ressens ça ? »

« Daiki, ça va aller, je suis désolé, j’ai fait des bêtises hier soir, et à cause de moi, vous vous êtes fait du souci. »

Il ne répondit pas a cela il estimait que cela ne valait pas la pêne de se casser la tête avec cette histoire.

« Oui, je veux bien que vous veniez dans mon lit, vous allez me montrer comment je peux encore plus vous donner mon cœur. »

Daiki ne pu empêcher un petit sourire. Daiki suivit hiruka dans son lit sans rien dire. Il se colla à lui. Hiruka l'embrassa, daiki ferma les yeux.

« Daiki, c’est si fort, qu’est ce que c’est ? Pourquoi je ressens ça ? »

"Le désir, l'envie d'aller plus loin et d'éprouver la même chose que la première foie. Je dois avouer que tu as mûris depuis la première foie, c'est bien."

Daiki commença a envers le haut de hiruka il en profita pour l'embrasser dans le cou. La chaleur entre les deux hommes commençait à se faire plus présent. Daiki désirait hiruka et il n'allait pas priver son petit ami d'un peu de tendresse charnelle.
Il passa la couverture pour qu'il ne prenne pas froid. Et il lui sauta son bas. Il fit de même pour lui. Il était allongé face à hiruka. Il laissa promenait une de ses mains sur le torse puis il descendit. Il finit par arriver à l'endroit le plus intéressant. Il commença donc à exister hiruka.

"Mais je reste quand même le dominant..."

Hiruka sentait les caresses de son chéri, il essayait tant bien que mal de l’imiter, lui aussi voulait que son prof sente son amour, il posait ses lèvres sur Daiki, là ou lui venait de les poser sur lui. Il sentait en lui monter la chaleur très forte, elle était aussi très douce, et il recommença à avoir envie de crier, sa respiration était saccadé. Puis son prof lui dit quelque-chose.

*Dominant c’est quoi ça ? qu’est ce qu’il veut dire par là ?*

Hiruka n’osait pas demander, en plus tout devenait confus en lui, les sensations se mélangeaient, il sentait son corps réagir à tout, il n’arrivait pas à apprivoiser tout ça.

« Daiki, ahhhhhhhhh, c’est fort. »

Pourtant ce n’était pas la première fois, mais tout était trop fort, c’en était tellement puissant qu’il avait arrêté de respirer. Il devenait rouge, et ne se rendait même pas compte qu’il était en apnée, il ne contrôlait plus rien, c’était trop fort pour lui.

[post court désolé]

« Daiki, ahhhhhhhhh, c’est fort. »

Daiki se stoppa il était allait peu être un peut trop vite pour hiruka.

"On a va donc aller a ton rythme je vais tout t'apprendre. Il va falloir que tu acceptes ce que tu ressens même si tu ne le comprends pas."

Daiki fit passer hiruka au dessus de lui. Il le regardait tendrement. Il commença alors à le diriger sur son propre corps. Il prit une des min de hiruka pour la passer de ses lèvres à son torse. Des frissons lui parcouraient le corps mais cela restait discret. Pour lui montrer qu'elle effet ça faisait sur son corps, il fit exactement la même chose a hiruka. Passant ses doigts sur le torse de son amant.
Il continua en faisant descendre la main de hiruka jusqu'a son sexe, rien que le contacte entre cette main et lui le lâcher un soupire. Il re-produisit alors la même chose sur hiruka.

"Tu n'es pas le seule à ressentir... ce plaisir moi aussi je l'éprouve je sais que tu peux le supporter...."

Il embrassa alors fougueusement hiruka. Il venait de lui montrer que ce que éprouvait hiruka tout le monde aussi pouvait le ressentir. Et il lui donnait l’occasion d’apprendre à ce faire plaisir en jouant avec le corps de l‘autre. En temps normal daiki n’aurais jamais voulu qu’on joue avec son corps mais c’était celui qu’il aimait.

Hiruka avait repris sa respiration et écoutait son prof en suivant ce que le prof lui montrait. Il appréciait d’apprendre avec lui, passer sa main sur son torse à lui, il descendit sa main et caressa cet endroit, il vit que son prof aimait ça, et il sourit. Il sentit aussi la main du prof faire pareil sur lui et il remarqua que pour certains endroits c’était plus fort, ainsi les mains de Daiki le dirigeaient sur le fait de cette chaleur intense. Ensuite le prof l’embrassa, et il suivit ce baiser tout en laissant ses mains se promener sur le corps de son chéri.

« Merci d’être si attentif, je vous aime, et je veux tout vous donner de moi. »

Hiruka posa encore ses lèvres sur celle de son chéri, et la chaleur recommença à monter en lui en même temps, il continuait à promener ses mains sur Daiki, il aimait le toucher, sa peau était douce et chaude à la fois, et il sentait les frissons de son prof, comme ses frissons à lui, il commençait aussi à apprivoiser en lui l’intensité du plaisir, du coup il se laissa aller aux caresses de Daiki, et toujours en embrasant et en le caressant, il se laissait aller à ce qui déferlait en lui, même s’il était incapable de savoir ce que c’était, il ne voyait qu’une chose, c’est que c’était donné par son amoureux.

« Je vous aimeeeeeee… »

« Je vous aimeeeeeee… »

*mignon...*

Daiki avait bien décidé de suivre le rythme de son amant. Il l'admirait tout en continuant ses caresses et ne cachant pas le plaisir que lui fournissaient celle de hiruka.

"Tu comprends mieux?"

Il voulait pas brusquer hiruka, après tout ce garçon l'avait conquis il lui était dévoué et ne savait pas comment il pouvait lui montré. Enfin mieux quand cet instant. I; savait qu'il était dépendant du sexe et pourtant il avait envie de donner a hiruka les clés pour qu'il lui appartienne sur tout les domaines. Mais lui même n'était pas encore prêt à avouer, la seule façon de le rendre dépendant. Hiruka devra alors trouver tout seule. Daiki prit la main de hiruka pour la faire descendre au niveau de son sexe, il était déjà excité. Il lui montra comment le tenir et lui fit faire un mouvement de va et vien. Il se stoppa très vite car le désir avait crispé tout son corps. Il le fit à son tour à hiruka... il le fit se pencher pour lui souffler quelque mot à l'oreille.

"Si tu me veux trouve par toi même la façon de me rendre dépendant de toi... que je ne vive plus que pour toi..."

Hiruka sentait de plus en plus le plaisir monter, il savait ce que c’était maintenant, et il commençait vraiment à apprécier cet instant, il effectuait ce que son prof lui montrait de faire et essayait de le faire le mieux possible. Les mots soufflaient dans son oreille, le firent frissonner encore plus, même s’il n’en avait pas comprit entièrement le sens, il avait senti en lui la profondeur de ses mots. Le plaisir devenait puissant, il avait l’impression d’exploser, ce qu’il fit dans la main de son chéri. Il se coucha sur son professeur pour sentir sa chaleur, il en avait encore plus envie, il ne savait comment exprimer ses désirs, parce qu’en fait lui-même ne pouvait décrire ce qu’il voulait, car il ne connaissait pas les mots. Il voulait ne faire plus qu’un avec lui, mais comment lui dire, alors que les mots pour lui était inconnu et qu’il ne savait même pas comment faire. Une seule chose lui vint à l’esprit, et il sortirent sans qu’il ait vraiment réfléchit à tout ça, cela venait de son cœur simplement.

« Daiki, je veux votre chaleur en moi. »

Il rougit, sans savoir pourquoi, et surtout il ne comprenait pas trop ce qu’il venait de dire à son professeur, il l’avait dit simplement, pour accompagner ses paroles aux gestes, il l’embrassa en posant ses lèvres sur celle de son prof, et doucement alla chercher sa jumelle, c’était un baiser long et passionné, cela faisait encore plus d’effet à Hiruka, il le voulait il voulait son prof en lui en cet instant.

« Daiki, je veux votre chaleur en moi. »

"T’es désir son des ordres"

Alors que daiki se laissait entraîné par l'envie, il ne pouvait pensait a une chose qui le tracassait. Mais très vite elle partie comme elle fut apparut.
Daiki allait donc exhausser ce que voulait son protégé.
Il entra doucement son sexe dans le corps de hiruka, celui ci étant au dessus de daiki, il le fit monter et descendre doucement. Petit à petit hiruka alla tout seule plus vite, augmentant le plaisir de daiki et le sien. La respiration de daiki augmentait, la chaleur que produisaient les deux corps, augmentait le plaisir et le désir des deux individus.
Le plaisir en était a son paroxysme daiki laissa échapper un cri.
Il fini par basculer hiruka sur le coté pour que celui ci se repose aussi. Il l'encercla de ses bras.

"merci... je t'aime..."

Hiruka se laissa aller à ses désirs et même s’il ne comprenait pas tout ce qui ce passait, il savait une chose en lui, c’est tout ce qu’il voulait, il avait l’impression de sentir son cœur explosé, tellement tout cela était très fort pour lui. Hiruka aimait énormément ce qu’il venait de se passer. Il entendit les mots de Daiki et rougit. Il se sentait bien entouré des bras de son professeur, dans cette chaleur si douce, peu à peu il réapprenait ce qu’il avait oublié, et cet amour qu’il ressentait pour cet homme en faisait parti.

« Moi aussi, Daiki, je vous aime. »

Il se retourna et passa lui aussi ses bras autour de son professeur, il se laissa aller à cet instant, et finit par doucement s’endormir dans cette position, dans cette chaleur qui lui était si agréable. Hiruka était bien, rien ne pouvait lui arriver à cet instant, il dormait, son souffle était régulier, il commençait à rêver. Des images lui revenait, il se voyait avant, il ne comprenait pas trop c qu’il voyait, ce n’était qu’un rêve, mais ça avait l’air tellement réel. Il finit par se réveiller, il était toujours dans les bras de Daiki, il regarda ça, il se sentait pas très bien tout à coup, un profond malaise l’envahissait, sans qu’il en comprenne le sens, il se leva du lit, mais ne pus aller bien loin, puisqu’il tomba évanouit au sol, la tête fusillait par un millier d’image, simplement sa vie défilait devant ses yeux, les souvenirs revenaient très vite.

voyant son petit protégé s'endormir, daiki veilla un peut sur son sommeille, mais finit a son tour par rejoindre morphée. se fut pour lui un sommeil très agréable.
alors qu'il était entré dans un profond sommeil, un vent froid le réveilla. hiruka n'était plus a ses côtés. daiki se leva un peut assommé, et il le vit par terre. cette petite chose semblait souffrir. daiki ignorait se qui se passait, et mis du temps se lever pour lui venir en aide.
quand enfin il se leva il prit hiruka dans ses bras et le remit dans sont lit. celui ci ne semblait pas être malade. daiki le borda pour qu'il n'ai pas froid. et il se vêtit.
il était prêt a partir, mais quelque chose lui serra le coeur, il ne pouvait le laisser comme ça sans soutien alors qu'il avait perdu connaissance.
prit de remords il prit hiruka dans ses bras, il en pouvait rien faire pour lui a par attendre, attendre que hiruka se réveille. il lui murmura alors sans relâche:

"je suis là!"

Mais hiruka restait dans son sommeille. Pourquoi c’était il soudainement endormit ? Pour daiki ne pouvait rien faire. Le silence devenait dur pour lui. Mais que faire pour changer ça. Daiki avait envie de le laisser tomber pour de préserver. Mais il n’en avait pas la force.

« Reviens moi ! »

Hiruka restait évanouit assaillit par des millions d’images, c’était une torture, quand il entendit une voix, une voix qui l’appelait, cela lui permit de se détendre. Il n’avait pas comprit ce qu’elle lui avait dit, mais rien que son timbre avait été doux. Il se calmait et laissait doucement le flot des images l’assaillirent. Elle passait si vite dans sa tête qu’il ne put en retenir aucune. Puis tout se termina dans le noir, il n’avait pu retenir aucune image. Rien le vide, c’est tout ce qu’il y avait en lui, aucun souvenir n’était resté. Il sentait la présence, et finit par entendre ce qu’on lui disait.
Il ouvrit doucement les yeux à cet appel, il avait toujours mal à la tête, il avait l’impression qu’on lui écrasait avec un étau. Il regardait autour de lui et vit Daiki, il se raccrocha à lui.

« J’ai vu des images, des images de moi, mais maintenant c’est tout vide, je ne vois plus rien, je ne me rappelle plus de rien, je…je.. »

Les mots restèrent accrochés dans sa bouche, il avait envie de pleurer et retenait simplement ses larmes, parce qu’il ne voulait pas qu’elle coule devant quelqu’un, même si c’était la personne qu’il aimait, il ne voulait pas lui montrer ses larmes, même à lui.

« Professeur, vous devriez aller à vos cours, je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps. »

Sans vraiment le faire exprès, Hiruka avait remis une certaine distance antre eux, pour ne pas lui montrer ses larmes, pour se calmer et pour cacher ce qu’il ressentait en cet instant, même si lui-même aurait eu du mal à le comprendre.

(je fais mon retour)

« J’ai vu des images, des images de moi, mais maintenant c’est tout vide, je ne vois plus rien, je ne me rappelle plus de rien, je…je.. »

daiki avait comprit ce qu'il se passait, mais que pouvait il y faire,c e garçon devait retrouver son passé, c'était mieux pour lui. même si daiki savait que le passait allait sûrement les éloigner il ne pouvait rien y faire.

« Professeur, vous devriez aller à vos cours, je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps. »

bon là s'en était trop pour lui. il devait agir. et la seul chose qu'il trouva c'est envoyer une baffe dans le visage de hiruka.

"il va falloir que tu te reprenne toute suite! je ne suis pas rester à ton chevé pour des prunes! tu sais pourquoi je suis resté? tu sais pourquoi même maintenant je ne par pas? je sais que tu es incapable de tout comprendre, mais il va falloir faire effort car moi! moi je suis a bout!"

soit il continuait cette relation qui le dévorait, soit il laissé tout tomber et partait en déprime. hiruka n'avait rien fait de spécial, c'était juste la goûte d'eau qui faisait déborder le fasse.

"je suppose que tu ne peux pas comprendre la raison pour la quel je ne peut te confier totalement mon coeur? mais je ne peux pas accepter que tu me cache se que tu ressent! je ne suis pas bête!"

daiki le serra dans ses bras.

"je ne peux plus partir hi! je ne le peux plus!"

Hiruka regardait Daiki, il était surpris par la claque, mais surtout par ses paroles, il n’avait jamais bien compris le concept d’amour et de relations, mais pour une fois, il venait de comprendre certaines choses. L’amour, c’était être deux, cela le surprenait et l’effrayait un peu, il avait déjà refusé ses parents dans sa vie, car il ne se rappelait pas d’eux, il se demandait s’il pouvait accepter Daiki dans sa vie. Pour l’instant, celui-ci avait toujours été là pour lui, et ça ne l’avait dérange, au contraire, il était heureux de l’avoir.
Hiruka venait de comprendre ce qu’était d’avoir un petit ami, il comprenait aussi que l’on partage avec lui les choses, même les larmes. Et c’est ce qui se passa, Hiruka laissa doucement ses larmes couler.

« Je suis désolé, je croyais que la mémoire revenait, et en fait c’est déjà partit, le vide, et je voudrais tellement savoir qui je suis vraiment. »

Il se rapprocha doucement de Daiki en hésitant, et se serra contre lui dans ses bras.

« Je ne savais pas que c’était si important, je ne savais pas. »

Et doucement, il rapprocha ses lèvres de celle de Daiki pour se faire pardonner et surtout sentir le doux contact de l’être aimé.

(post trop court, la honte)

« Je suis désolé, je croyais que la mémoire revenait, et en fait c’est déjà partit, le vide, et je voudrais tellement savoir qui je suis vraiment. »
« Je ne savais pas que c’était si important, je ne savais pas. »

daiki accepta le baisé de hiruka. celui ci posa son front contre celui de hiruka.

"hi, tu es déjà quelqu'un. Hi j'ignore qui tu étais avant, mais si tu te redécouvre je risque de te perdre... je t'aiderais a retrouver ta mémoire si tu a l'impression de ne pas pouvoir vivre sans. mais il faut aussi que tu sache que tu perdra autant que tu gagnera en retrouvant ton passé..."

daiki regarda hiruka dans les yeux.

"je veux que tu vois t'es parents! je crois que tant que tu ne sera pas tout je devrais me préoccuper de ta santé. et on en m'a jamais apprit a prendre soin de quelqu'un."

daiki avait déjà aperçu le hiruka d'avant. il allait sûrement le perdre, même si il ne le voulait pas.
daiki redonna un baisé a hiruka.

"habille toi et donne moi le numéro de chez toi!"

ça n'allait sûrement pas être une partie de plaisir. daiki se leva et il sorti des vêtements qu'il lui plaisait pour hiruka. il lui donna.

Hiruka regardait ébahit Daiki, voir ses parents, il n’aimait pas cette idée. Il aurait voulut refuser, mais il voyait bien que Daiki ne lui laissait pas le choix. Il finit par donner quand même leur numéro de téléphone à Daiki, en lui donnant son portable. Il prirent rendez-vous avec ceux-ci. Il se verrait une semaine plus tard dans l’enceinte du lycée au salon. L’idée ne plaisait pas du tout à Hiruka.

« Je ne trouve pas que ça soit une bonne idée, je…ces gens je ne les connais pas. »

Il aurait voulait ne pas les voir, mais il savait que Daiki avait raison, il devait voir ses parents, cela lui donnerait peut-être une chance de récupérer ses souvenirs. Il s’habilla tranquillement, tout de façon, le rendez-vous était pour dans une semaine, il pourrait réfléchir un peu à ce qu’il dirait à ses deux étrangers. Daiki était partit , il avait l’air ailleurs, il était sûrement comme lui, il n’avait pas envie de croiser ses parents. Mais bon si c’était la seule solution pour se rappeler qui il était.

[suite une semaine après au salon]

[nouveau post]

Hiruka était retourné dans sa chambre avec son bouquet, il avait essayé de trouver Daiki, mais ne l’avait pas vu, il était énervé, mais bon il savait qu’il devait se clamer. Du coup, il s’était simplement coucher pour essayer de dormir, c’était bien la première fois que coucher, il ne s’endormait pas directement, il tournait dans son lit. Il n’arrivait pas à oublier tout ce qu’il avait apprit sur lui-même. Si ses souvenirs revenaient redeviendrait-il cette personne qu’il n’aimait pas vraiment. Et il entendit quelqu’un frapper à sa porte, il n’avait pas vraiment pas envie de se lever pour ouvrir, ça l’énervait. Il savait que cela ne sa faisat pas, alor sil fit quand même l’effort d’ouvrir, il regarda qui c’était. C’était le garçon du livre Ray. Il était devant lui en petite serviette, Hiruka se demanda s’il était comme lui pour s’habiller, bon pour lui ça allait mieux, mais il avait encore du mal avec certains habits. Il lui sourit bêtement.

« Si c’est pour me demande de choisir pour tes habits je ne sais plus faire non plus, j’ai du mal y’en tellement. »

Au moins, comme ça il allait pouvoir retourner dormir.

Ray se sentait vraiment mal à l’aise dans cette situation. En plus il ne savait pas sur qui il allait tomber derrière cette porte. Il trouvait le temps très long. La personne n’était peut-être pas la. La porte s’ouvrit enfin, c’était Hiruka. Quelle chance, il avait très peur de tomber sur un inconnu. Il se sentait quand même mal à l’aise devant Hiruka. Il le regarda lui sourit et écouta. Hiruka croyait qu’il avait besoin d’aide pour ses vêtements.

‘’Non ce n’est pas pour mes vêtements… Est-ce que je peux entrer pour t’expliquer?’’

Ray essayait se cacher un peu car il y avait des filles qui passait en arrière de lui. Il regarda Hiruka et lui fit un petit sourire coquin.

Hiruka se poussa et laissa entrer Ray. Il ferma la porte derrière lui, il n’avait même pas comprit le sourire coquin de l’autre sinon, il lui aurait fermé la porte au nez et ne l’aurait jamais laissé entrer. Il n’avait pas l’intention de faire mal à son chéri, il n’était pas comme ça, du moins pour l’instant il ne l’était plus.

« Tu veux quoi alors, t’es pas habillé, c’est donc que tu as besoin d’être habillé, c’est la première chose qu’on m’a réapprit, il fallait que je m’habille, j’ai eu du mal au début, mais bon maintenant ca va a peu près. »

Hiruka le regardait, il se demandait bien pourquoi il était ici, il était curieux de nature, mais venir frapper à sa porte pour des vêtements, c’était bizarre.

Hiruka lavait fait entrer. C’était déjà sa. Il rit à la question d’Hiruka. Il était fixé de plein fouet par le regard de Hiruka. Maintenant il avait de bonne raison de se sentir observer.

‘’Non ce n’est pas pour des vêtements, je vais t’expliquer. J’avais en tête de prendre ma douche. Je suis sorti avec seulement comme vêtement une serviette comme tu peux le remarquer. Je me suis rendu compte après avoir barré ma porte a clé que j’avais oublié mon nécessaire de toilette et ma clé. Alors j’ai cogné à la porte la plus proche et je suis tombé sur la tienne. J’aimerais savoir si je peux utiliser ta fenêtre pour entrer dans ma chambre, car je sais que ma fenêtre est ouverte?’’

Ray se sentait extrêmement mal dans cette situation mais l’important était de prendre une douche et d’’avoir d’autre vêtements.

Hiruka regarda le Ray dans sa serviette.

« Euh avant de passer par la fenêtre, il vaut mieux que tu t’habilles. »

Hiruka partit dans son armoire lui chercher quelque-chose, il regardait dans son placard, il avait l’avantage que tout était bien rangé, et trouva facilement un tee-shirt, un pantalon, et aussi un slip. Il le donna à Ray.

« Voilà des habits, par contre, je en sais pas si c’est une bonne idée de passer par la fenêtre, je pense que cela peut-être dangereux, je crois qu’il y a déjà des accidents. »

Hiruka n’était pas très rassuré à la drôle d’idée de Ray, il se demandait s’il n’y avait pas, mais au vu du peu qu’il savait, il n e trouvait rien dans sa petite tête bien vide.

Hiruka lui avait des vêtements. Ray accepta le fait de s’habiller. Ray enleva sa serviette devant Hiruka et mit juste le pantalon qu’il lui avait donné. Il écouta les conseils d’Hiruka mais il essaya quand même. Il s’avança vers la fenêtre, mit un pied sur le rebord s’agrippa après la pole du plafond. Il n’était pas vraiment sure de vouloir le faire. Il redescendit et retourna au près d’Hiruka.

‘’Je n’est pas le courage de le faire. Crois tu que le concierge aurait le double de ma clé?’’

Ray s’assit sur le lit d’Hiruka. Il le trouvait très confortable. Il ferma les yeux deux petites seconde et s’endormi. Cela faisait au moins 4 ans qu’il n’avait pas dormie sur un lit aussi confortable.

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