La chambre de Karei Fujibayashi

==>les couloirs

Karei et Hokuto arriverent apres avoir marcher un petit moment devans la chambre de Karei.Karei serra sa valise qui commençait a lui peser lourd et ouvrit la porte passant devans pour ensuite poser ou plutot jeter la valise a coté du lit,il s'inclina doucement et fit un sourire a Hokuto.

"Alors mon petit Hokuto tu rentre?"

Il lui sourit tendrement et le regarda entrer il referma la porte apres et Karei se diriga vers sa valise apres avoir regarder rapidement la chambre.Elle était assez grande a son gout et il y avait ce qu'il fallait,il ouvrit sa valise et sortit les vetements,jean et chemise pour aller les mettre dans l'armoire puis il prit ses boxer et fit de meme,il jetait des coups d'oeil a Hokuto tout en continant a ranger

"Assis toi Hokuto sur le lit j'ai presque finit..."

***Oui sur le lit,va sur le lit...Hum...Un bon lit avec un beau mec dessus égal...Bon j'arrette d'y penser mais il est trop mignon!!***

-Je ne suis pas petit. Mais j'entre, je suis pas trop tatillon aujourd'hui...Tu te rends compte de la merveilleuse chance que tu as, j'espère.

A la demande de Karei, il s'assit, ou plutôt se laissa tomber, sur le lit.
Il le regardarda ranger ses affaires, en lui souriant à chaque fois qu'il se tournait vers lui.

*Ca sent le "hop sur le tatami" à des kilomètres...Bah, tant pis.*

Il attendit encore un peu puis se leva et arpenta la chambre, puis s'approcha de Karei par derrière et resta derrière lui jusqu'à ce qu'il en aie marre, et il retourna s'asseoir.

-Euh...Mais t'as quel âge toi en fait?.

-Ah ouais?

Il était super choqué. Et jaloux. Pourquoi est-ce que Karei avait encore un si délicieux air d'innocence sur le visage alors que lui-même, dès ses 15 ans avait eu la visage qu'il avait aujourd'hui, et qui n'avait plus rien d'enfantin? Mais le monde n'est pas juste, non, il tourne. Cette grande philosophie lui permit de reprendre ses esprits.

-19.

Il regarda le jeune graçon qui lui caressait la main. Pourquoi avait-il l'air...euh...Comment dire...sage? Non, vraiment, c'était très injuste.

-...Laisse-moi donc en paix, tu ne vois pas que moi, contrairement à toi je suis pur et innocent? Personne ne me croit, mais c'est vrai, super vrai même! Bref.

Il soupira, conscient que personne, non jamais personne ne le croirait jamais quand il dirait ça.

-Il n'y a pas un cimetière dans le coin?

-Mais non Karei, je suis vieux, vieux vieux, las las las...Et toi aussi tu es vieux. Tu ne t'en rends pas encore compte...Mais c'est la triste vérité.

Il avait adopté un ton mélodramatique. Mais il n'était pas vraiment triste d'voir déjà 19 ans, non...Mais comme pour tout à chacun, chauque année qui passait le rapprochait un peu plus du fatidique instant où il ne serait plus bon à rien...
Pur et innocent? Qui ça, lui? Ah bon, il avait dit ça? Il ne s'en souvenait plus.
Pourquoi...Il sourit.

-Ne t'inquiète pas, je n'ai rien d'un tordu dont l'un des plus grands fantasmes et me cimetière en pleine nuit, et je ne pensais pas du tout que tu collerais merveilleusement à ce genre de décor.

Quel démenti convaincant. Mais ce n'était pas le but de l'opération, en vérité.
Mais il n'avait pas envie de rster dans cette chambre, allongé sur un lit. Il se remit en position assise, et regarda Karei dans les yeux avec le plus grand sérieux qui soit.

-Ecoute, j'ai pas envie. Pas là, en fait.... On va aux sources? J'ai trop envie d'ouvrir un kimono là...Et je serais ravi que ce soit le tien...

Il se leva en souriant. En position spéciale pour se warper dans sa chambre et prendre LE vêtement aproprié.

-Mais même le cimetière est alléchant si c'est moi qui le propose...Alors...

*Le dernier arrivé est un bakabon!*

Heureusement pour son image - qui n'était pas non plus celle de quelqu'un de très sensé et intelligent, mais pas non plus d'un total bakabon - il se retint de lancer cette merveilleuse réplique.
Fidèle à lui même et à certains de ses principes, il embrassa Karei.
Puis fonça avec détermination dans la porte, convaincu jusqu'au plus profond de son être qu'elle était belle et bien grande ouverte.
Mais - Ô la maudite, la vilaine, la traitresse - elle ne l'était pas.
S'appuyant sur le front pour voir s'il enflait - ce qu'il eut la bonté de ne pas faire - il tourna la poignée, ce qui était l'acte magique qui permettait à une porte de laisser passer la personne qui était derrière.
A la vitesse de la lumière [la team rocket, plus rapide que #SBAM#] il fila dans sa chambre se vêtir selon les convenances.

---> direction les sources, mais là j'ai pas le temps de le faire T.T. La tâche d'ouvir le topic t'incombe une fois de plus >.>