Comment prend on une douche en 10 leçons ?

Hiruka avait voulu prendre une douche dans sa chambre, mais il n'avait pas réussit à comprendre comment les robinets marchaient et il avait finit par se brûler. Du coup, il avait décidé d'aller la prendre dans les douches communes. Il prit ses affaires de toilettes et des habits propres, et se dirigea vers celle-ci Il ne fit pas attention et rentra dans celle des filles, ce qui eu pour effet de faire hurler la gente féminine et il se prit des savons et des gels douches en pleine tête. Il sortit vite fait, cette fois-ci, il en avait marre, comment allait-il faire maintenant pour se laver. Et il se mit à réflechir à qui pourrait l'aider. Il y avait Midori grande-soeur, mais il n'avait pas prit son téléphone. Puis, il pensa à son professeur. Il lui avait dit qu'il répondrait à toutes ses questions. Ah ! Hiruka aurait bien voulu qu'il soit là pour l'aider. Il n'aurait pas du le fuir . Il sentait qu'il chauffait en lui, maintenant il savait qu'il rougissait, et il se rendit compte finalement que ce n'était pas si désagréable, seulement nouveau pour lui.

*Pourquoi je suis pas rester avec ce prof ? Il aurait pu m'aider.*

Mais pour lui, c'était trop tard et il restait là assis devant les douches, en esperant que quelqu'un vienne l'aider.

Alors que daiki avait laissé tomber ses recherches pour trouve hiruka. Il entendit des filles crier, comme si elle avait vu une montre, en tant que prof il se précipita pour voir ce qui leur prenait mais fit demi tour quand il vit marquer sur la porte douche des filles. Il avait une petite idée sur la raison de ses cris. Très surprit il vit hiruka en sortir

*et bien il a de drôle d'idée lui, il ne sais pas faire la différence entre les douche des fille et celle des garçons.*

Hiruka ne le vit pas il était trop, il était trop occupé a fuir daiki eu un petit rire. Mais il comprit que lui si était encore perdu et qu'il ne comprenait pas quelque chose. Daiki eu pitié de lui et entra dans les douches.

"Et bien je vexé que tu me sois lâché aussi violemment dans la bibliothèque. C’est dommage que tu ne veuille pas de mes bras enfin tant pis pour toi. Aller relève toi tu en va pas rester dans cet état, a ce que j'ai peu entendre tu tes trompé de douche. Viens tu va attraper froid comme ça hiruka."

daiki s'accroupie pour être à la hauteur de hiruka il lui sourit.

...vous avez dit que vous alliez m’aider, s’il vous plait. »

"Et bien ce n'est pas très difficile, regarde"

Daiki lâcha le garçon pour lui montrer comment n allumait l'eau froid et l'eau chaud, mais il oublia un détail c'est qu'il était en dessous de la touche et l'eau lui tomba dessus lui qui était tout habillé. Quand il comprit son erreur il commença a rigoler. Il sortit ensuite de sous la douche tout mouillé.

"Et bien je te garanti que l'eau et a une bonne température. Aller va sous l'eau avant d'attraper froid."

Daiki enleva son haut qui était trempé. Et il l'accrocha sur une porte manteau. Et il reprit hiruka dans ses bras. Daiki était tout mouillé, ses longs cheveux blancs lui tombaient sur le visage.

"Il ne faut pas avoir peur de moi, je t'ai promis que je ne ferais rien sans ton accord. A tu encore besoin de mon aide hiruka."

"De rien hiruka!"

Daiki remarqua que le jeune garçon ne bougeait pas, que celui ci restait dans ses bras. Et bien il était alors sur la bonne voit. Il sourit. Il leva doucement le menton de hiruka pour que celui ci le regarde.

"Et bien aurais tu changé d'avis, préfèrerais tu la chaleur que je t'apporte a celle que la douche t'apportera? Dis moi si je me trompe bien sur."

Daiki s'avait qu'il avait raison, mais pu être que le garçon n'était pas encore prêt a l'avouer. Daiki ne fit rien pour rejeter le garçon au contraire. Il lâcha le menton de hiruka pour prend sa main gauche et il a posa sur son torse.

"Veux tu qu je reste ici avec toi? Au cas ou tu es besoin de mon aide? Ou que enfin je te fasse ressentir une chaleur intense?"

Daiki lui sourit gentiment, il espérait enfin pourvoir s'amuser avec le joli corps de ce garçon. Bien sur en même temps il commerçait a si attacher, cette naïveté lui plaisait trop.

Hiruka se sentait déjà tellement chaud que quand le prof lui proposa d’avoir encore plus chaud, il ne voulut pas, il commença à desserrer l’étreinte du prof.

« Je vais aller prendre ma douche, j’aime ça, et puis la dame m’a dit de toujours me laver tous les jours. Après si vous voulez, je vous montre ma chambre. Tenez je vous donne une serviette pour vous essuyer en attendant. »

Hiruka courut sous la douche, et laissait l’eau couler sur lui. Il se sentait mieux, il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait, cette chaleur et surtout son cœur qui battait si vite.

*Je me sens si bien et si mal à la fois, quand je suis avec lui, je ne sais pas ce que je dois faire, je comprends plus rien, je devrais peut-être lui demander ce que c’est.*

Hiruka prit son gel douche et se frotta, puis il retourna sous l’eau, il réussit enfin à calmer toutes ses émotions, ses sentiments, il sortit prit son peignoir.

« Vous pouvez éteindre l’eau, je ne sais pas comment on fait ? »

*J’ai vraiment honte, comment je fais pour ne rien savoir-faire rien du tout.*

Hiruka eut l’air triste tout à coup, il voulait savoir les choses et ça lui déplaisait de ne pas comprendre ce qu’il lui arrivait et de ne rien savoir-faire. Il regarda son prof et sentit encore son cœur partir en chamade, il avait envie de retourner dans ses bras, mais n’osait pas, à chaque fois il s’en enfuyait et savait que le prof n’aimait pas ça.

« On peut aller dans ma chambre maintenant si vous voulez, ce sera mieux. »

Et il redevint rouge.

*Pourquoi j’ai dit ça ? Qu’est ce qui m’arrive ? Je n’y comprends plus rien.*

encore une foie hiruka trouva une échapatoire. daiki ne fit rien pour le stopper, mais il allait devoir être pacient ce qui n'était pas une des ses qualités première. il ne dit rien et essuya ses cheveux et son torse il n'y avait de toute façon rien a faire d'autre.

« Vous pouvez éteindre l’eau, je ne sais pas comment on fait ? »

"bien sur"

daiki ferma l'eau de la bouche en fesant cette foie attention a ne pas se re mouiller.

« On peut aller dans ma chambre maintenant si vous voulez, ce sera mieux. »

"je ne suis pas sur que cela soit une bonne idé hiruka, car même si toi tu ne compren pas tous ce que je veux te dire, moi je suis concient de mes acte et de mes sentiments. et si je vais dans ta chambre je ne pourais pas me retenir et ça ne va pas te plaire, car tu n'aime pas être dans mes bras"

[je n'est pas le temps de me relir dsl a++]

Hiruka rougit encore plus aux mots du prof.

« Je suis désolé, je ne voulais pas, j’ai encore du mal à accepter tout ce qui m’arrive, je ne comprends d’ailleurs pas tout, je n’aurais pas du vous dire tout ça, j’ai si peur de tout ça, si au moins je comprenais un peu ce qui m’arrive. »

Hiruka ne voulait pas vexer le prof, il était vraiment gêné, il pensait qu’il devait rentrer dans sa chambre maintenant, à la place de demander toujours son aide à lui et lui ne pouvait rien donner de ce que voulait le prof, parce qu’il n’arrivait pas à comprendre ce que voulait le prof. Il devait le laisser tranquille maintenant à la place de l’ennuyer.

« Je vous remercie de m’avoir aidé, mais je ne crois pas qu’il faut que vous restiez avec moi, je vous ennuie trop. »

Hiruka se sentit déchirer en lui quand il dit ça.

*Non je ne peux pas partir comme ça, je ne peux pas.*

Hiruka regardait le prof et commençait à se préparer à partir. Pour lui, c’est ce qu’il y avait de mieux à faire. Tout à coup, il ne contrôla plus rien et sans comprendre quoi que ce soit, il prit le prof dans ses bras, il ressentit encore cette chaleur si intense et cette fois-ci son cœur aussi, mais tout cela lui parut moins désagréable, il aimait même la sensation.

« Vous voulez mon corps prenez le même si je comprends pas, vous m’avez aidé et vous l’aviez dit, que si vous m’aidiez, je devais vous donner mon corps. »

Hiruka se sentit encore plus chaud, les paroles étaient sortit tout seul, mais il avait décidé que cette fois-ci, il ne reculerait plus, il ne voulait plus reculer, il voulait sentir cette chaleur intense dont le prof lui avait parlé.

« Je vous remercie de m’avoir aidé, mais je ne crois pas qu’il faut que vous restiez avec moi, je vous ennuie trop. »

Daiki le regarda alors, il sourit. Il était vraiment mignon et il ne marchait pas dans le jeux de daiki il courait.

"Non hiruka tu ne m'ennui pas."

Il n'eu pas le temps de comprend ce qui lui arrivait hiruka le prit dans se bras. Daiki referma sur ses bras dans le dos de hiruka.

« Vous voulez mon corps prenez le même si je comprends pas, vous m’avez aidé et vous l’aviez dit, que si vous m’aidiez, je devais vous donner mon corps. »

"Merci hiruka, ne t'inquiète pas je t’expliquerais tous ce que tu me demande, et n'est pas peur de le faire."

Daiki lui sourit il dépassa ses lèvre sur celle de hiruka, c'était un baisé très doux, il en profita pour le coller doucement contre un mur. Il passa une main devant pour caresser le torse de hiruka. Il ne fallait pas trop le brusquer sinon il allait vouloir qu'il arrête.

"Que ce passe t'il ici quand je fais ça?"

Daiki désigna l'endroit où se trouvait le coeur de hiruka. Il continuait ses douces caresses. Daiki redéposa ses lèvre su celle de hiruka.

Hiruka se laissait embrasser, il se sentait tellement chaud qu’il avait l’impression qu’il allait exploser. Il ne voulait pas arrêter mais tremblait. Pourtant le prof lui demandait ce qu’il lui arrivait, il ne savait pas, son cœur lui faisait mal et il avait vraiment très chaud.

« J’ai très chaud et mal au cœur, j’ai l’impression d’exploser, je ne me sens pas bien. »

C’était pas vraiment qu’il ne se sentait pas bien, c’était surtout qu’il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait. Et le prof continuait de l’embrasser, il sentait aussi les caresses, il était contre le mur se sentant sans défense.

« Professeur, j’ai peur. »

Il n’arrivait pas à comprendre ce qui lui arrivait, tout tournait autour de lui. Pourtant il continuait à se laisser faire, il l’avait dit, il ne devait pas fuir.

[desole post dourt et pourrit]

« Professeur, j’ai peur. »

Daiki se stoppa il commença a souffler des explications dans l'oreille de hiruka.

"Tu confonds la douleur et l'amour, si peu dire ça comme ça. Si tu ne sais pas ce qu'es l'amour c'est se que tu es entrain de ressentir, dans ton coeur. Ce qui te pousse à me laisser continuer. C’est normal que tu ne te sentes pas bien, c'est nouveaux comme sensation, mais se serais trop bête de s'arrêter là."

Daiki recommença ses caresses et d'une main il détacha le peignoir de hiruka. Puis il dénuda un de ses épaules pour pouvoir l'embrasse. Puis daiki colla son propre corps a celui d'hiruka. Il fit descendre une de ses mains le long de la colonne du garçon, pour arriver à un endroit fort intéressant. Il ne demanda pas l'avis de hiruka, car cela aller être trop longtemps à lui expliquer. Daiki lui mit donc et doigt puis deux, il ne voulait pas lui faire mal.

"Je peux continuer?"

Daiki déposa un baisé dans le cou du garçon.

Hiruka ne comprit la douleur et l’amour.

*C’est quoi l’amour ? Ce que je ressens, cette chaleur et mon cœur, c’est l’amour.*

Hiruka tremblait dans les bras du prof, il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait, alors que le prof avait l’air de tout savoir, il se sentait impuissant complètement devant tout cela, il aurait voulu que le prof arrête, mais il ne pouvait pas l’arrêter, il l’avait dit lui-même et il ne voulait pas fuir. Hiruka sentait la main de son prof qui allait sur lui et qui enlevait son peignoir, la chaleur s’intensifiait en lui et surtout n’en pouvant plus un cri sortit de sa bouche, il était gêné, qu’est ce qui lui arrivait. Il ne savait plus où il en était, ses jambes finirent par nn plus le porter tellement c’était fort et il tomba contre le mur. Le prof lui parla, mais Hiruka n’entendit pas, il n’entendait plus rien, ne voyait plus rien, il se sentait si mal et si bien, sa respiration se faisait plus forte.

« Non, arrêtez, je ne me sens pas bien, arrêtez. »

Daiki laissa le jeune garçon tomber au sol. Il s'assit sur les genoux. Doucement il ouvri les jambe du garçon comme si il allait se stopper maintenant.

"Arrêter, mais je en peu plus maintenant, te laisser comme cela ce serait un crime de ma par."

*même si il ne comprend pas il faut bien que je fasse quelque chose.*

Daiki se baissa alors et commença un travail très intéressant, il mit alors le membre de hiruka dans sa bouche et commença un mouvement de va et viens, il allait de plus en plus vite. Il savait bien que maintenant, hiruka ne pouvait plus le stopper. En quelque sorte il avait eu ce qu'il voulait et il était très content de lui .maintenant le sexe de hiruka était tout dur.

"Cela te fait il toujours aussi mal, ou serais tu prêt a avouer que cela te plait finalement?"

« Oui, oui, ce n’est pas désagréable, mais je ne sais toujours pas ce que c’est. »

"Et seul mot: plaisir, c'est une notion trop vague pour la définir, tu n'a pas besoin de tout connaître seulement que ça ne peu que te faire tu bien. J’arrête la je pense que ça ne servirait a rien d'aller plus loin avec toi."

Daiki colla son visage a celui de hiruka. Et lui re-souffla quelque chose dans l'oreille. Pour tout a cou cette envie de blesser le garçon, pour le faire réagir ou garde le dessus sur ses sentiment, prendre soin de ne pas se brûler?

"Je crois qu'il faut que j'arrête d'être avec toi, je suis allé trop loin. Même si tu ne peux pas comprendre ce que je dis... je voulais que tu sache que se que je te fais ressentir jamais tu me le fera ressentir. Car tu es trop naïf. Et tu ne comprend pas encore que l'amour ou le plaisir c'est a deux qu'on l'ai ressent."

En fin de compte daiki s'y était trop vite attaché par peur de se brûler il fuyait a son tour, car la douleur lui sera sûrement insupportable.

Hiruka écoutait toujours son professeur, jusqu’à maintenant tout ce qu’il lui avait dit était vrai. Il le trouvait gentil, il l’aimait bien un peu comme grande-sœur Midori, mais il se demandait si on faisait ce qu’il avait fait avec lui avec tout le monde.

« Le plaisir, je crois avoir un peu comprit. »

Hiruka était heureux il avait réussit à donner ce que le prof voulait de lui, par contre il ne comprit pas ce qui lui chuchotait à l’oreille, il se sentit mal, il lui avait pourtant dit que s’il se donnait, il répondrait à toutes ses questions.

*Oui, je suis naïf, oui je ne sais rien, mais il y a quelque-chose que j’ai comprit et je ne te laisserai pas partir.*

Est-ce parce qu’il commençait à comprendre le monde où il vivait ou alors simplement que ses anciens souvenirs revenaient, mais il sut quoi faire à cet instant, il eut un regard froid et distant, son cœur se relâcha, sa respiration se fit nette, et il prit le prof dans ses bras pour aussi lui chuchoter ce qu’il avait à lui dire.

« Oui je ne comprends pas tout, mais vous vous oubliez facilement ce que vous avez dit, par contre moi je n’ai pas oublié, je vous ai donné mon corps, c’est ce que vous aviez demandé, vous n’avez à aucun moment parler d’amour dans votre marché, seulement mon corps et vous seriez mon toutou. Je ne veux pas que vous soyez vraiment mon toutou, mais par contre je veux que vous m’aidiez à comprendre, et là vous n’avez pas vraiment le choix. Vous l’avez dit. Et je n’oublie pas ce qu’on me dit. »

Hiruka desserra son étreinte assez forte du prof et il fit comme le prof avait fait auparavant, il posa ses lèvres sur les siennes, puis il le relâcha complètement, et lui jeta un regard très froid, il se releva nu referma son peignoir. Debout devant lui, il ne cessait de le regarder, on aurait dit une autre personne tout à coup, plus l’enfant qui ne savait plus rien, il imposait une telle force que s’en était effrayant.

« Mon corps vous appartient, mais vous vous êtes à moi. »

Le ton sur lequel Hiruka prononça cette phrase ne laissait aucune échappatoire au prof, et si celui-ci essayait de s’échapper, il est plus que possible que Hiruka deviendrait violent. Puis, la pression se calma et avec un grand sourire, il prit la main de son professeur.

« Venez, je vais vous emmener dans ma chambre, je veux vous montrer où elle est. »

Dans ses paroles, on en sentait plus que sa gentillesse et sa naïveté, Hiruka souffrait-il d’une deuxième personnalité ou alors, les souvenirs commençaient à revenir, en tout cas quoi qu’il arrive le prof s’était mis dans un sacré pétrin.

Daiki ne comprit pas ce qu'il se passé. Le garçon le prit dans les bras. Et commença à lui parler. Daiki avait plein de chose a lui envoyer plein à la figure mais hiruka l'embrassa. Daiki était au sol alors que le garçon le dominait.

*il se prend pour qui*

"Je croie qu'il faut je met les chose au point. Ton corps ne m'intéresse plus, et croie tu vraiment que je vais t'aider, même ci tu prend de l'assurance tu ai fait avoir, j'ai eu se que je voulais, maintenant tu n'es plus intéressant. Ton changement de comportement me satisfait, je n'ai plus besoin de quelqu'un comme toi."

Hiruka dit une phrase qui lui sera fatale, daiki n'appartenait a personne, personne ne pouvait lui parler sur ce ton. Il voulait bien être tolérant, mais quand ses joujoux se rebellaient il fallait qui réagisse. Il écarta la main de hiruka et il se leva. Il prit le garçon par le col du peignoir et lui envoya de toutes des forces sa main dans la figure de hiruka.

"Je hais les gamins comme toi tu étais amusant, mais maintenant on ne joue plus. Alors va faire mumuse avec les gamins de ton âge et je croie qu'il ne son pas dans cette établissement."

Daiki tenta de se calmer, il avait quand même levé la main sur un élève il risquait gros! Et puis sute. Daiki poussa hiruka contre le mure violemment.

Daiki regarda le garçon tomber sans réagir, c'est quand il vu le sens qu'il commença un débat intérieur. Les paroles que celui ci venait de dire, ne le firent pas réagir plus que ça. Il avait tous simplement eu ce qu'il voulait.

*je l'aide ou pas.*

Bonne de toute façon même si il n'aimé pas ces gosses il ne pouvait pas le laisser comme cela. En plus il ne savait pas ou se trouvait l'infirmerie, se balader avec un gamin assommé dans les bras, ces mal vue. Bon daiki prit le garçon dans les bras. Il prit bien soin que celui ci soit couvert pour ne pas qu'il attrape froid. Daiki ne voyait qu'un seul endroit ou aller, sa chambre il avait toujours de quoi faire les première soin après il cherchera l'infirmière. Don en se dépêchant il alla dans sa chambre.