Croches et anicroches [libre]

[Oui, oui ! Libre XD ! Le grand Hiren ose laisser seul son petit, mignon, adorable, attendrissant, terriblement craquant, beau à souhait, inimitable, candide, juvénile et kawai prof de musique ! On sait pas comment mais c'est fait ! Mesdames et messieurs, profiter de la... SSSSTAR B3 *piano*]

Il était encore tôt dans le lycée, les couloirs semblaient désertés tandis que le silence reprenait son règne. Des bruits de pas étouffés brisèrent le silence, ils s'arrêtèrent pour laisser place au bruit discret mais non moins strident d'une porte que l'on ouvre avec délicatesse. Il inspira profondément. Le jeune étudient e se trouvait vraiment bien que dans cette salle, sans doute la personne qui l'occupait y était-elle pour quelque chose, qu'importe. Il s'avança lentement vers l'estrade sous les lueurs orangées qu'offrait le soleil au matin, se reflétant sur sa chemise noire semi-ouverte. Il prit une craie, considérant longuement l'immense espace libre qui s'offrait à lui.
Dehors, le vent soufflait faiblement, laissant paraître, pour quiconque y porte attention, un sifflement léger. S'inspirant de la mélodie qui se portait à ses oreilles, y associant la touche personnelle de l'auteur, il écrit sur de longue portée préfaites quelques notes à la volé. Quelques noires, des blanches, des triolets, allant en complexifiant le morceau, mêlant les gammes. Là où certains travaillait, lui s'amusait. Un sourire simple et doux s'affichait sur son visage, cette instant de bonheur lui remit en mémoire son ange...

*C'est vrai qu'il y a que lui pour me mettre dans un tel état !*

Preuve en est que non, ou alors il n'avait cessé de pensé à lui durant toute la composition. Impatient, son sourire s'élargissant, l'adolescent recula de quelques pas pour apprécier sa portée. Une petite touche d'imagination, rien n'avait été essayé, écouté au préalable. L'Aiseki s'empressa donc de s'asseoir au piano et tâtonna les touches timidement avant de se laisser emporter par son propre morceau, fermant les yeux. Il l'avait, ancré en lui. Puis il s'arrêta sec, se leva et fonça vers ce qu'il avait écrit...

"Argh ! J'ai raté des trucs ! Dommage... ça m'aurait bien plus de réussir un truc bien du premier coup >< !"

Il effaça quelques notes, les modifiants, allant jusqu'à ajouter des contre-temps, il lui fallait essayer. Il n'osait pas fermer les yeux, dès qu'il le faisait, il le voyait et sentait l'irrésistible envie d'aller le voir, mais il se sentait également l'obligation de terminer ce qu'il avait commencé. Peut-être était-ce lui qui lui avait donné cette envolée musical, ces notes qui germaient avec une facilité à toute épreuve.
Il retourna au piano et recommença à jouer.
Il continua son manège de longues minutes ou de longues heures, il ne savait plus. Tout ce qui était sûr c'est que le silence continuait de résonner dans le couloir non loin et que ses seuls compagnons de jeu étaient ses pensées. Le temps passe mais rien ne s'efface, ou alors... il faut tout recommencer... qui m'avait dis ça ?

"J'abandonne..."

Il venait de s'écrouler à genoux devant le tableau noir, la tête baissée, les paupières fermé. L'étudient aux yeux rouge laissa glisser la craie de ses mains, s'en suivit un bruit sourd lorsqu'elle percuta le sol de bois creux. Il regarda ses mains de courtes secondes avant d'y enfoncer son visage au bord des larmes...

"Ce... ce n'est rien... juste une partition mais... j'... j'aimerais tellement la réussir. La lui offrir..."

D'une voix sanglotante il articula les quelques mots. Ce n'était vraiment pas grand chose, juste quelques traits blanc sur un fond noir, des bouts assemblé qui formait une "chose"... mais cette "chose" il voulait la donner en cadeau, et qui souhaiterait offrir un cadeau raté ?

*Il a sut me redonner la joie de vivre... il a sut me redonner goût à l'amour... il me donne ses sourires comme de vulgaire pierre... nan... je sais qu'à tout moment il peut venir, je dois finir... je dois le terminer...*

Il se releva, les quelques traces de larmes encore visible sur son visage dont la détermination avait retrouvée refuge. Un visage souriant, un rire remplis de joie, tout cela gravé en mémoire, revenant tel une mélodie lancinante et mélodieuse...

*Requiem di gioia*

Une inspiration soudaine, de nouvelles notes, de nouvelles idées, de nouvelles envies... de bons accords tout simplement. Non pas que les autres étaient mauvais, mais ils restaient plat, aucun sentiments ne se dégageait de leur présence. Il continua ses écrit dans cette langue à part entière qu'est la musique, mêlant double-croche aux accords de 7ème sensible, jouant sur les deux portées, entre-croisant la clé de Fa et la clé de Sol, s'amusant à les opposés, à les mélanger, à les retarder...
Fier de lui, fatigué, il se laissa tomber en arrière pour admirer son travail. Son s'élargit d'autant plus en relisant le titre qui lui rappelait encore plus son petit monstre préféré...

"Alala... tu peux vraiment pas imaginer comme je t'aime mon ptit Ryu-chan ^^ !"

Il se releva et alla s'installer devant le piano, posant ses doigts sur les premières notes sans les jouer. Il fixa une dernière fois la portée, regarda la porte devant lui et ferma les yeux...

[Ca faisait longtemps ^^]

Ses doigts glissaient sur les touches, allant de notes en notes avec virtuosité. Accentuant les sons avec les pédales durant les instant tragique, jouant en piano les mélodrames. De multiples thèmes se retrouvaient dans sa partition, il en était fier, un sourire victorieux apparut de façons discrète au coin de son visage. Mais qu'importe les instant fragiles, toutes les paraboles sonore qu'il faisait, il en revenait toujours à un air gai, joyeux, envoutant, prêtant au chant, à la danse.
Il avait crut entendre, lorsque le morceau commença, le fin grincement de la porte, mais n'y prêta pas attention. Il se devait de continuer à jouer, pour lui, pour son possible spectateur ainsi que pour la musique.
Plusieurs minutes plus tard il s'arrêta enfin, laissant retomber sa tête vers l'avant, ses doigts posé sur les touches blanches et noires sans pression. La musique repassait dans sa tête, elle s'y était ancrée d'elle-même.
Il se leva, doucement, ouvrant légèrement les yeux pour apercevoir la lumière que le soleil donnait. L'adolescent s'avança vers le tableau, à nouveau, le considérant avec un sourire amusé. Il se rapprocha de plus en plus, attrapa une craie et tenta de s'agrandir lui-même pour écrire au dessus de sa partition. Quelques lettres... pour qu'elle ai un nom... elle.

"Requiem di gioia"

Il lâcha la craie et son sourire s'élargit encore plus, une joie enfantine pouvait se lire sur son visage. Il remarqua du coin de l'œil que son intuition d'origine était la bonne, une silhouette se dessinait aux côtés de la porte. Il se tourna vers elle pour pouvoir lui donner un nom si possible...

"Sloth ?!"

Le nom, il l'avait. Il ne pensait pas le revoir de ci-tôt mais le voilà, un bandage sur les yeux, qui l'écoutait jouer de bon matin. Il se dirigea d'un pas lent et hésitant vers sa ténébreuse connaissance, tendant son bras vers lui. Lorsqu'il fut assez proche, il glissa sa main dans ses cheveux ébène, les caressant...

"Pourquoi ce bandage ? Qu'est-ce qu'il t'es arrivé ?"

L'étudiant le contourna et alla s'asseoir sur une table non-loin de lui, l'observant. Ce bandage l'intriguait fortement. Etait-il aveugle ? Si oui, pourquoi ? Ne trouvant de réponse à ses questions sans son aide, il les laissa de côté, revenant à la raison qui l'avait amené ici. Il regarda à nouveau sa partition et crut voir, en transparence, son cher professeur de musique lui souriant. Sa joie ainsi que son sourire n'en furent que plus grand tandis qu'il se repassait encore la mélodie, remarquant la possible répétition de la partition.
Il posa sa main sur l'épaule de Sloth et s'approcha doucement de lui, murmurant à son oreille...

"Alors ? Comment l'as-tu trouvé ? Le Requiem di gioia ?"

[ Oui c'est vrai ^^ ]

Sloth dans l'ombre de la pièce se laissait bercer par la mélodie qu'avait composé Hiren . Les mots ne pouvait décrire l'émotion qui se dégageait de la création de cette partition car elle était aussi insaisissable que l'eau coulant entre les doigts . Cependant les accents permettaient de remarquer pour tout musicien qui se respecte une pointe de mélodrame entouré par la joiela gaiété et autres du morceau fabuleux . On se serrait cru au paradis , la musique d'Hiren n'avait rien a envier a celle de Sloth car elle était aussi belle lui serapprochant plus pour le dessin des émotions , alors que celle de Sloth était surtout bsée sur le fantastique , l'imaginaire et le merveilleux .

Cependant , chaque chose à une fin et malgrés le fait que son ami eu terminé son morceau sur le piano la mélodie vibrait encore dans la tête de Sloth qui fut sortit de sa torpeur avec l'intervention de la voix d'Hiren l'appellant

"Sloth ?!"

Sloth remarqua alors que lui aussi avait laissé une trace en la personne d'Hiren , il l'entendit approché d'un pas let et sentit son parfum lorsqu'il lui caressa les cheveux , il semblait ne pas avoir changer , il était même cependant plus heureux sans doute parce qu'il avait trouvé l'amour et Sloth s'en réjouissait pour lui . Un petit silence se créa etre les deux personnes mais fut immédiatement coupé par la voix d'Hiren une nouvelle fois

"Pourquoi ce bandage ? Qu'est-ce qu'il t'es arrivé ?"

Sloth toucha machinaleent son bandage qu'il mettait le soir pour reposer ses yeux , lentement il commenca à le défaire et tou en fesant se geste il lui répondit

" Je suis contnt que tu te souviennes de moi Hiren , mais ne t'inquiète pas mon petit ange déchu au cheveux violet si je peux encore t'appelle ainsi maintenant que tu vis l'Amour . Il m'est arrivé un accident dans cette salle peut de temps aprés notre rencontre , je discutait avec un ami lorsquepris d'une vertige je suis part en arrière mais fut récuperé dans ls bras de l'autre . Quand je me suis réveillé à l'infirmerie tout était floue et en définitif ... "

Sloth avait complètement détachait son bandage , levant la tête, un rayon de soleil éclaira alors a ce moment les yeux de Sloth qui avaient pris ne couleur rose , les ouvrant , il chercha la direction pouressayer de senti la présence d'Hiren , et affichait le sourire qui avait plut à Hiren le jour de leur rencontre car il voulait le rassuer ...

" Je suis aveugle , mais rassure toi, je commence à me débrouiller avec ma cécité , et peut être qu'un jour je pourrais de nouveau revoir et poser mes yeux sur tes cheveux ^^ , qui sait , laissons faire le temps .... Mis pour ne pas effrayer certaines personnes je ferme les yeux car on a souvent peur de ce qu'on ne connait pas , ce bandage , je ne le met que pour la nuit ..."

Sloth était parfaitement calme , il était posé et content , aprés tot cela aurait pu être pire . Il sentit une nouvelle fois Hiren s'approcher de lui et lui dire quelques mots à l'oreille

"Alors ? Comment l'as-tu trouvé ? Le Requiem di gioia ?"

Toujours souriant il répond de sa voix toujours auss douce et calme

" Ton Requiem était de toute beauté ,il te représente parfaitement , c'est ta marque , ton style . La personne qui le recevra n'en sera que plus heureuse car je ressent en toi une joie infinit pour cett créature qui a su trouver ton coeur ^^ . Mais les mots je peuvent décrire réellement ton travail , il faudrait que le coeur et l'âme sache parler pour avoir une véritable réponse , mais je sais que si sa avait été pour moi , j'en aurais les larmes au yeux tellement c'est beau ..."

"Merci..."

Ce fut le seul mot qu'il fut capable de trouver pour le remercier de ce qu'il venait de dire. Il s'enferma à nouveau dans ses pensées, revenant à tout ce qui s'était passé depuis sa rencontre avec Sloth, voir quoi dire, de quoi se servir pour effacer le vide sonore qui resplendissait dans la pièce. Sa seul certitude était qu'il ne reviendrait pas sur le problème qu'il venait de subir. Il leva la tête vers la fenêtre, observant de son regard sang l'oiseau qui veniat de se poser sur la branche. Poussant de légers cris aigue se mêlant en un chant mélodieux. Un fin sourire naquit sur son visage au vues de cet animal simple et si vivant.
Il se dirigea vers l'une des tables et s'assit à nouveau, mais sur une chaise cette fois-ci. Laissant aller un rire étouffé...

*Dois-je lui raconter ?*

Ses yeux se déportèrent à nouveau vers l'extérieur que le soleil maculait de sa lumière forte et chaude. Le vent glissait dans les feuilles, rafraîchissant l'air...

"Je te plains... ne plus pouvoir admirer le ciel, les oiseaux, la vie dans son plus pure appareil..."

*Dois-je ? Qu'est-ce que ça peux m'apporter ? Ca n'a rien d'intéressant pour lui et puis... pourquoi m'écouterait-t-il raconter mon histoire...*

Il basculait sur sa chaise, paisiblement, dans le lourd silence qui pesait sur la pièce. Inexpressif, comme dans l'attente de quelque chose... puis, d'une voix impassible, comme l'on demanderait le pain, dans un souffle presque étouffé...

"J'ai faillis mourir..."

Il se releva silencieusement, incapable de tenir en place. Se rapprochant silencieusement de lui, le détaillant. Il n'avait vraiment pas changé, mis à part "ça". Une fois à ses côtés, l'étudiant passa délicatement sa main dans les cheveux de son camarade, se rapprochant de lui encore un peu plus. Humant son odeur, fermant les yeux pour mieux l'apprécier. Il posa ses lèvres dans son cou, délicatement, le goûtant, avant de remonter le long de son visage, susurrant à son oreille...

"Non..."

Il recula d'un pas, ouvrant de nouveau les yeux pour le contempler quelques secondes. Il se le prouvait à lui-même, une chose dont il voulait la certitude...

"Merci... j'avais besoin de savoir. J'adore toujours autant tes cheveux, ta peau, tout ton corps, mais... qu'importe ce que je fasse, tout revient toujours sur lui dès l'instant que je ferme les yeux. Je ne le vois plus que lui, même si la personne que j'ai en face de moi m'a, auparavant, fortement attiré... désolé de m'être servit de toi comme cobaye, sumimasen ^^'."

Il expira, exaspéré par sa propre réaction, passant sa main dans ses cheveux pour les renvoyer en arrière dans un rire gêné...

"Tu as raison... j'ai réussi à la trouver. L'Amour. Celui qui peut vous changer du tout au tout. Chaque fois que je le vois sourire j'ai l'impression que c'est le soleil qui vient m'entourer de ses bras. Son sourire, il faudrait vraiment que tu le vois... il est adorable, magnifique ! Je l'aime et sans lui je ne serais plus là... lâche comme je suis... Mais passons. Ce Requiem a été écrit pour lui et ta réaction me fait plaisir, je te remercie encore d'être sincère avec moi... car au niveau musique il s'y connaît..."

Il laissa planer un léger silence, un sourire ironique imprimé sur le visage...

"C'est notre professeur de musique..."

*Bon... j'arrête avec ma vie...*

"Je vais arrêter de t'embêter avec mes histoire, je pense que ça ne t'intéresse pas ^^ ! D'autant qu'un amour de plus ou de moins... une vie en plus ou en moins ^^ ! On est plus à ça prêt sur terre ^^ ! Bon, tu veux que je te joue quelque chose ?"

Il le prit par le bras et l'emmena prêt du piano, attendant sa réponse. Plus tôt, il avait, en quelque sorte, essayer de fuir... avait-il encore honte de ce qu'il avait fait ?

[C'est quoi cette fin en question Oô ? Je suis vraiment trop habitué aux fics moi -_-'...]

[Imagine ! Tu m'as fait ressortir un vieux cahier car j'étais certains de l'avoir déjà joué ce morceau XD ! Je certifie, "Danses Plovtsiennes" existe ! D'ailleurs c'est vachement connu =3]

Il se fit prendre de court lorsque son ami s'assit à sa place sur le tabouret et se mit à jouer. Il se fit littéralement hypnotisé par ses doigts dansant sur les touches. La musique l'envoûta, il se laissa bercer un court instant par les variations sonores. Tout s'arrêta, laissant résonner les dernières notes dans l'immense salle vide. Il resta, de longues minutes, silencieux, repensant à ce que Sloth venait de jouer mais surtout, l'écoutant parler. Des larmes perlèrent aux coins de ses yeux à la simple remémoration de son passé, de tout ce qu'il avait vécu. Prenant son visage dans ses mains il s'effondra à genoux, se repliant sur lui-même.
Comme une lame planté en plein cœur, une blessure profonde que l'on réouvre en un instant. Tremblant, presque effondré il les revoyait, tous, leurs sourires, leurs joies, leurs vies. Sa sœur, lui criant que tout s'oubliait... son père, imprimé sur des feuilles de papiers comme un animal en cage... sa mère... et son sourire qu'il ne reverra plus. Cette seule pensée suffit à le rendre fou. Se redressant, les larmes coulant le long de ses joues, l'une de ses mains s'appuyant sur le sol, l'autre... il essuya ses larmes d'un revers de manche, restant immobile... puis il revoyait son visage, son sourire à "lui", puis cette fenêtre si proche, si simple. Sans comprendre il frappa le sol avec rage, une fois, puis deux, répétant sans cesse jusqu'à ce que son poing saigne. Il ne cesse ses coups contre le vide, l'image ancré dans sa tête, jusqu'à ce qu'une main l'arrête, lui attrapant le poignet.
Il se leva, la main ensanglanté, ses pleurs ne cessant. Se défaisant de la prise que son ami avait sur lui, sans un mot, il s'assit sur le tabouret, posant ses doigts sur les touches blanches et noires. Rejetant son visage en arrière, se dessinant un faux sourire, il commence à jouer. Malgré l'ai enjoué que laisse paraître le morceau, on ne peux s'empêcher de ressentir une tristesse au fond de ses notes qui s'enchaînent, se déchaînent dans l'air, se percutant, se glissant les unes après les autres, un morceau simple mais beau... dont un cœur en ressort de la tristesse.
Il l'a finit, mais pourtant... restant sur la note final, il reprend, enchaînant sur une mélodie lente, calme, dans laquelle ressort d'autant plus ce qu'il ressent...

"Danses Polovtsiennes..."

Ce sont les seuls mots qu'il entre ses sanglots qui n'ont de cesse de redoubler. Alors qu'il joue, ne se souciant plus de ses doigts, des notes qui se pose d'elles-mêmes, il se tourne vers son camarade, son ami, posant ses lèvres sur l'un de ses yeux aveugle, laissant aller un rire étouffé mêler de larmes...

"Il y a des chose qu'il vaut mieux ne pas voir... je ne sais pas si je peux... du moins je vais te répondre. Tes yeux se sont ternis, ils ont rosés..."

Il arrêta de jouer et se contenta d'un court silence avant de reprendre d'une voix qu'il forçait, ses sanglots la lui brisant...

"S'il te plaît... si je peux te demander quelque chose... si je suis seul, si il n'est pas là, comme à l'instant, est-ce que je peux compter sur toi ? Car il ne sera pas toujours présent... je le sais... est-ce que je pourrais t'écouter ? Rien que ta voix me suffira... j'ai tellement besoin de parler..."

Il baissa la tête, fermant les yeux, ses larmes ne cessant de couler. D'une voix faible et éteinte, presque inaudible il ajouta...

"... et d'en parler..."

[ Ok ^^]

Le son de larme coulant le long d'une joue fît disparaîtrele sourire de Sloth , Hiren pleurait ,accroupi sur le sol il pleurait , Sloth compris que part accident il avait ramené des fantômes du pasé de son ami , il s'en mordit légèrement les lèvres car il sait que certains souvenir ne sont pas bon à ressortir . que pvait il faire , or l'entendre taper son poing sur le sol donnait à Sloth l'impression que chaquecoup porté lui martelait le coeur ...

Lorsque tout a coup , il seit une odeur de sang se repedre dans la pièce indétectble pur un nez ordianire mis pour lui ses sens c'étnt développé il l'avait tout de suite sentit , se levant alors du tabouret il cria

" Arrête "

Sa main prit le poignet d'Hiren le stoppant dans son élans . Puis comme pour esayé d'aténuer la douleur , Sloth posa ses lèvres vermeil sur la blessure d'ou coulait un sang du même rouge que celui de ses lèvres , il aurait préférer souffrir à la place d'Hiren et se disait ue c'était lui qui arat du saigner pas son ami .
Puis tout sa passa rapidement , il entendit son interlocuteur s'asseoir sr le tabouret et commencer à jouer une mélodie qui chatouillait les oreilles et atteignait directement le coeur de ceux qui savait écouter . C'éait de toute beauté , vraiment Hiren avait un don pour faire rêver les gens grâce à la musique même si à certains instants on pouvait réellement sentir la tristesse des notes cela brisait le coer de Sloth qui ne disait rien et écoutait ...

Soudain , il sentit sur l'un de ses yeux se poser une nouvelles fois quelquechose de froid , les lèvres d'Hiren qi lui dit arés un rire mélé de larmes

"Il y a des chose qu'il vaut mieux ne pas voir... je ne sais pas si je peux... du moins je vais te répondre. Tes yeux se sont ternis, ils ont rosés..."

Sloth parut tres supris non pas par rapporta la couleur de ses yeux mais par l début de la phrase d'Hien , alors timidement il lui dit

" Hiren tu parles par énigme ? Je n'ais pas compris ce qui tu voulais dire que vex tu dire par des hoses qu'il vaut mieux ne pas voir ? Explique moi s'il te plaît car la seule choe que jai réellement compris c'est que mes yeux étaient maintenant rosée , terni et donc douloureux à regarder pour les autres .... "

Sloth entendit alors la mélodie s'arrêter et Hire lui dire

"S'il te plaît... si je peux te demander quelque chose... si je suis seul, si il n'est pas là, comme à l'instant, est-ce que je peux compter sur toi ? Car il ne sera pas toujours présent... je le sais... est-ce que je pourrais t'écouter ? Rien que ta voix me suffira... j'ai tellement besoin de parler... et d'en parler..."

Les sanglots et les larmes avaient accompagné cette phrase , Sloth le prenantalorsdans ses bras pour le consoler et le calmer lui dit d'unevoix douce et appaisante

" Hiren tu pourras toujours compter sur moi dans les bons et mauvais moment , je serais à la fois ton ombre , ton ami et ton confident , si ma voix te permet d'aller mieux alors je me ferais un plaisir de te la faire entendre qi c'est pour te sentir le sourire se dessiner sur ton visage . Je serais là pour toi , une part de moi est en toi et vis versa , moi je le sents mais toi ? Pleure fait du bien à l'âme et au corps , alors n'est pas peur et pleur tant que tu le souhaites si cela te permet de t'exprimer , mon petit démon aux cheveux violet "

Tout en disat cela , Sloth passait sa main dans les cheveux d'Hiren et gardait ce dernier presde lui pour qu'il sete qu'il 'était pas seul ...

[Je précise avant... et pourtant Hiren est l'aînée XD]

" Hiren tu pourras toujours compter sur moi dans les bons et mauvais moment , je serais à la fois ton ombre , ton ami et ton confident , si ma voix te permet d'aller mieux alors je me ferais un plaisir de te la faire entendre qi c'est pour te sentir le sourire se dessiner sur ton visage . Je serais là pour toi, une part de moi est en toi et vis versa, moi je le sent mais toi ? Pleure fait du bien à l'âme et au corps, alors n'est pas peur et pleur tant que tu le souhaites si cela te permet de t’exprimer, mon petit démon aux cheveux violet "

Il sentit sa main dans ses cheveux, sa présence. Devait-il lui dire, tout lui dire ? De son passé à son présent ? Il ne l'avait pas vu souvent... mais en même temps, ne s'était-il pas assez rapprocher à l'instant ? Tant de question mais qu'une réponse à cet instant précis... des larmes. Des larmes qu'il n'arrivait pas à sécher. Sans vraiment comprendre pourquoi, presque instinctivement, il se jeta sur Sloth, le serrant contre lui, enfouissant sa tête contre son torse, comme pour se rassurer, s'assurer de sa présence.
Les yeux fermés, renvoyé à ses cauchemars, à ses images qu'il chasse sans cesse. Il tremble, de peur ? Lui-même ne le sait pas, mais tout revoir...

"Pourquoi... pourquoi elle..."

Articule-t-il entre deux sanglots. Tous ces flashs qui lui reviennent comme des éclairs. Il se blottit un peu plus contre Sloth. Hanté par ses anciens fantômes, il revoit, le jardin, le journal, toutes ses conquêtes autour desquelles ne tournaient qu'un mot : crainte. Et cette fenêtre, ce vide, ses derniers mots... il est mort une fois, mais il est revenu. Pourtant... le revoilà, se hanter lui-même. Essuyant ses larmes, d'une voix brisée, au creux de la chaleur de son ami...

"Tu as raison... je parle par énigmes. Mais j'ai peur... je n'arrive pas à le dire."

Il resserra la poigne qu'il avait sur le haut de son ami...

"Je... Je n'ai pas failli mourir... pour... pour être plus précis... j'ai faillis me suicider. Avant que tu en dises quoi que ce soit... j'aimerais pouvoir m'expliquer. Je me suis, depuis "ce jour", toujours contenter de fuir, séduisant à tour de bras, me réfugiant chez les autres... mais... le jour où j'ai fait souffrir quelqu'un... Ryuichi... m'avançant un peu trop... je me suis sentit si coupable... tellement coupable... comme pour ma mère !!!"

Il pleurait de plus en plus, se blottissant un peu plus contre lui.

"... je... si seulement j'étais rentré plus tôt... peut-être... juste un peu... et puis lui... lui ! LUI !"

Il se remit à frapper le sol vigoureusement, il avait l'impression de le voir imprimé sur le sol. Une expression de démense se lisait sur son visage, chose que ne pouvait pas voir son compagnon. Il était proche de la folie, simplement y repenser...

[mini-post mais à la fin j'y arrivais pas >< ! Sumimasen >< !]

" Je vais te raconter une histoire , qui est arrivé il n'y a pas longtemps . Un jour une femme mis au monde un enfant qu'elle repoussa dès sa naissance car il lui semblait différent, il ne lui ressemblait pas et pourtant c'étaitbien son bébé , elle auraitvoulu une fille et elle eu un garçon . Elle le fit enfermé dans une partie de leur demeure avec comme vision de l'extérieur une petite fenêtre pas plus grande qu'un petit cahier de classe , bien qu'étant complètement rejetté il fut éduqué et élevé par les domestiques . En grandissant , il prit des traits doux et affinés , refusant de se faire couper es cheveux il avaient également poussé et son teint de peau n'ayant jamais été dorée par le chaleur du soleil était d'une blancheur extraordinaire . Sa mère voulu le voir une fois pour savoir ce que son immonde rejettons comme elle l'appellait était devenu . Lorsqu'on lui présenta , elle cru a une plaisanterie car devant elle se trouvait une jeune filledont l'éclat surpasait celui de la femme qui était pourtant la plus belle femme de la région . Cependant aprés diverse éxplication et un pendantif que l'enfant portait au cou , la femme du admettre qu'il s'agissait ben de son fils , mais au lieux de se calmé , elle pris des ciseaux a coudre qui se trouvait prés d'elle et elle les lanca vers l'enfant , un majordome voyant l'action se précipita sur l'enfant et se pris le ciseau dans le dos .
La mère devenu pratiquement folle tenta aprés cela de tuer encore et encore son fils seulement sous le pretexte qu'il était plus beau qu'elle et qu'elle ne pouvait surporter d'une part que quelqu'un soit plus agréable a regarder qu'elle et qu'en plus se soit un garçon ...
Certe mon histoire peut faire pensr a un conte pour enfant , mais dit toi que lui aussi a plusieur reprise c'est dit que si il n'existait pas , si il métait fin a ses jours sa mère serait satisfaite et heureuse , que pour le bonheur de sa mère , il était prés a sesacrifier par le suicide ... "

[Waaah ! Comment tricher !!XD]

Il écouta son récit et, au fur et à mesure que celui-ci avançait, il faisait de plus en plu le rapprochement avec le conteur. C'était son histoire.
Il se redressa légèrement et maladroitement, tombant à la renverse sur Sloth. Il tenta de se relever et, en appuis sur ses avant-bras, ses yeux plongés dans les siens, mort. Une larme tomba s'écrasant sur sa joue pâle. Il l'essuya d'un mouvement de doigt et esquissa un fin sourire, son regard encore embrumé de sanglots. Sa voix était plus clair, moins saccadée...

"Non... moi, personne ne m'a détesté, mis à part moi-même. C'est juste qu'un jour, en rentrant de l'école, j'étais encore tout petit, j'ai vu quelque chose que je n’aurais jamais souhaité voir. C'est dans ces moments là qu'on bénirait Dieu si l'on avait perdu la vue auparavant. Ma mère, morte, égorgée... je ne peux vraiment pas dire ce que j'ai ressentis. Une sorte de mélange entre le dégoût, l'horreur, la peine et le déchirement. Tandis que ma sœur s'en est remis après plusieurs mois, je n'ai réussis qu'à enfouir ça au fond de moi... il en était de même pour mon père qui ne cessait de rentrer toujours plus tard. Mais, savoir que j'ai vécu comme à mon habitude alors qu'elle était à côté, morte. Cette rage de savoir que, si j'étais arrivé plus tôt, j'aurais peut-être pus l'arrêter "lui" !"

Il frappa un bon cou sur le sol, prenant soin de ne pas toucher son camarade aveugle, puis reprit...

"Tout reprit son court normalement, jusqu'au jour où même mon père ne rentra pas à la maison. Nous l'avons attendu des jours et des jours, puis, en rentrant de l'école, à croire que ça me porte la poisse, je suis tombé sur un morceau de journal qui traînait par terre. Dessus... une photo de mon père, accusé du meurtre d'une personne en rapport avec l'affaire non-élucidé qui n'était autre que celle de ma mère... de fil en aiguille ils ont découvert que la personne tuer était l'assassin et on donc conclut, pour mon père, à une simple affaire de vengeance...
J'ai donc dût me débrouiller avec ma sœur. On a finit chez notre tante qui a finit par m'envoyer ici, tandis qu'elle est je ne sais plus où. Donc, lorsque j'ai commis l'erreur qu'il ne fallait pas avec Ryuichi... je me suis sentit coupable, à nouveau... je ne veux pas faire de mal à quelqu'un, je ne veux pas..."

Alors qu'il avait retenu quelques larmes durant son histoire, il éclata en pleurs lors des dernières phrases, se laissant tomber dans ses bras...

"Si tu savais... si tu savais comme j'ai eu peur de le perdre lui aussi après... ici-même... j'ai eu si peur..."

*Mais tout cela est finit...*

" On vafinir par croire que cette salle est maudite , mais regarde pour toi tout est bien qui fini bien , vou vous êtes réconscilié et pour ma part j'ai recu un frèe adoptif car je ne te les pas dit mais je un grad frère maintenant , il s'appelle Lucie Kido ... "

Il eut un fin sourire mêler à un rire léger qui disparurent aussi vite qu’ils étaient venu lorsque le nom prononcer revint plus distinctement dans sa tête. Il se rappela l'épisode de la bibliothèque...

"Euuuuh... alors je sais pas comment tu as fait, à moins que, quand je l'ai rencontré, il soit dans ses mauvais jours, moi il était plutôt associable... après, je ne l'ai pas vu longtemps donc je peux pas vraiment en parler uhu ^^ ! Mais vu comment tu en parles avec enthousiasme il m'a l'air très gentil... une fois qu'on a réussit à le cerner ^^ !"

Quelques larmes perlaient encore aux coins de ses yeux, mais l'évocation de cette rapide connaissance lui avais fait oublier son chagrin. Il se releva doucement puis aida Sloth à se relever en lui attrapant la main et en le tirant vers lui, le rattrapant pour par qu'ils se retrouvent tout les deux à nouveau par terre.

"Désolé mais on continuera les câlin plus tard ^^ ! Ah ! Et,oui je sais, tu aurais pus te relever tout seul ! Uhu !"

Il avait retrouvé son ton enjoué et sa bonne humeur, un bon point pour son ténébreux ami. Il alla s'assoir à nouveau devant le piano et tâtonna les touches rapidement avant de se retourner vers lui, l'invitant à s'assoir à côté de lui en tapotant sur le siège. Il avait entendu dire que toute personne perdant un sens voyait tout ses autres sens surdéveloppé. Il devait en être de même pour lui, donc son invitation avait dût être entendus.

"On va jouer un morceau à quatre mains ^^, on doit bien en avoir un en commun uhu ^^ !"

[Court mais... que dire =D ?]

Il le regarda s'assoir à ses côtés, faisant glisser ses doigts sur les touches. Hiren était impressionné par l'aisance avec laquelle il se déplaçait, jouait, vivait malgré son handicap. Il s'y était vraiment fait et adapté...

" Alors que connais tu comme morceau ? "

A cette phrase il leva les yeux au ciel, observant longuement le vide du plafond, cherchant les morceaux qu'il connaissait. Non, les morceaux, il les avait en mémoire, il lui suffisait d'en choisir un, un seul. Il tapa l'une de ses main dans l'autre, un grand sourire sur le visage. Posant ses doigts sur les notes, il commença rapidement la mélodie avant de se retourner vers Sloh en lui disant, d'une voix calme et sereine...

" « La lettre à Elise », c'est pas un morceau à quatre mains à l'origine mais je pense que mêlé le grave et l'aigue ne devrait pas poser de problème, puis au pire, jouer deux ou trois octaves de différences en canon ça devrait bien rendre ^^ ! Mais... tu connais les notes ? Au pire on choisira un morceau de ton choix, j'ai prit celui-ci mais après..."

Il n'ajouta rien, laissant glisser ses doigts sur les touches blanches et noires dans une mélodie envoûtante composé il y a des années. Fermant les yeux, se mettant dans les mêmes conditions que son ami, profitant de ce qu'il jouait, puis s'arrêta et ajouta d'une voix douce...

"Je vais jouer les yeux fermer, voir un peu ce que ça fait de se contenter des mélodies... bien que je le fasse tout le temps quand j'aime ce que je joue, là je vais vraiment me concentrer sur ça haha ^^ !"

Il l'écouta parler. C'est vrai que sa voix était sincère. Il se rappelait leur première rencontre, où la séduction passait avant tout. Un léger sourire de nostalgie vint se montrer tandis qu'il posait ses doigts sur les touches, lentement.
La mélodie commença doucement, les notes se suivait, presque toutes pointés, comme si quelqu'un marchait, discrètement, feignant de ne pas être vu. Puis ils accélérèrent au fur et à mesure, liant les notes, y ajoutant une résonnance à l'aide des pédales. Chacun y mettant son corps, son âme. La mélodie s'envolait dans la pièce, virevoltant tel un oiseau s'échappant de sa branche. On pouvait reconnaître leur façons de jouer, distinct mais, malgré cela, elles se complétaient. L'un jouant sur les sentiments, ses sentiments qu'il retranscrivait dans la partition, qui pouvait s'entendre si l'on portait un peu attention à la mélodie. L'autre, ses doigts glissant sur les notes, laissant s'envoler la mélodie, y donnant vie, redonnant, un instant, une réalité au morceau.
Leur chant se mêlant d'une atmosphère de tristesse révolue, de bonheur commun su une musique connus de tous. Un léger sourire sur les lèvres... il était heureux d'être ici avec lui. Il avait pus se confier à quelqu'un d'autre, allégeant à nouveau le poids qui pesait sur son cœur.
Lorsque la dernière note résonna dans la pièce, laissant peu à peu place au silence qui les avait dominés avant, un sentiment de manque naquit, comme une envie irrésistible de continuer...

*Une mélodie si belle que le simple fait de l'arrêter nous donne envie de l'entendre...*

Il se leva doucement et se retourna pour faire face aux fenêtres et au paysage, ouvrant à nouveau les yeux, portant loin son regard, cherchant à voir le lointain, l'impossible, profitant de ce qui l'entourait.

"Ce que la nature est belle au matin..."

Il l'observa, naître de la nuit, revivre aux premières lueurs, repensant tragiquement à ce que subissait son compagnon de piano, son ami, son... confident. Lui qui ne pourrait plus profiter de ces instants merveilleux, si simple, où la nature nous offre ce qu'elle a de plus beau à nous qui la détruisons.
Laissant échapper un soupir lasse, il retourna près du piano et resta derrière Sloth, posant délicatement ses mains sur ses épaules dans un léger rire. Le massant tranquillement, un sourire aux lèvres, il approcha silencieusement ses lèvres de son oreille, lui murmurant dans un souffle...

"Que veux-tu faire ? Je te laisse choisir..."

Hiren l’écouta lui répondre par une question, le regardant de longues secondes avant de se lever, passant sa main dans ses cheveux. Son regard se posa sur la porte puis, après avoir pesé le pour et le contre, il se retourna vers son compagnon et, d’une voix clair et joviale, lui répondit…

« Je pense que je vais m’en aller errer dans les couloirs ^^ ! J’ai été heureux de te revoir, mais il ne vaut mieux pas que je reste trop longtemps loin d’un certains monstre ^^ ! Il risquerait de faire une crise de jalousie de me voir avec quelqu’un d’autre. Donc sur ce, je te laisse. »

Il Commença à avancer dans la salle en direction de la porte. Au milieu de la salle il se retourna et regarda en direction des immenses fenêtres de la salle de musique, dehors le soleil avait eut le temps d’escalader le ciel depuis son arrivé, s’avançant prestigieusement vers sa place divine. Le sourire de l’adolescent s’élargit alors qu’il reprenait sa marche vers la séparation. Posant sa main sur la poignée d’or, il tourna la tête, une dernière fois, vers son ténébreux confident et, d’une voix imprégnée de joie, il lui dit, presque cria…

« Quant à mon sourire, tu le reverras ^^ ! Ne t’inquiète pas ! »

Ouvrant doucement la porte dans son antique grincement, écoutant une dernière fois les résonnances presque mélodique de la pièce. Entendant à nouveau les quelques mélodie qui ornaient les murs de cette pièce, ces murs gorgé de musique. Son regard se posa sur le « Requiem di gioia » qu’il avait mémorisé, posé dans un coin de sa tête, préparé méticuleusement pour pouvoir lui plaire à « lui ». La porte se referme dans un bruit aigue, ses pas s’éloignent lentement dans les couloirs assombris par les ombres nés de la lumière. Il doit être dix heure…

[Et oui, fin du post pour moi u_u...]