La chambre de Ryuichi ^0^

[Eh mais... c'est de la triche cette méthode Oô ! En plus j'avais déjà la super-réponse by Ren-Chan =o= !]

Il sentit son corps se rapprocher du sien, ça devient un peu répétitif mais il n'arrivait pas à trouver un meilleurs sentiment que celui qu'il ressentait en ce moment là. Il serait bien rester un moment comme ça mais le ténébreux élève de Ryuichi savait pertinemment qu'il allait se passer quelque chose, un truc qu'il se passe toujours à ce genre de moment, l'évènement qu'on voudrait légèrement repousser pour rester un peu plus longtemps... le genre de phrase que pourrait dire un Ryu-chan adulte et qui vous coupe le morale d'un coup... quoique non. Il avait simplement énoncé le fait qu'il était plus vieux et que lui finirait par se lasser. Il se recula légèrement pour laisser paraître sa petite bouille enfantine, lui demandant avec un grand sourire s'il ne voulait pas regarder la fin de Dragon Ball Z avec lui. Hiren s’avança brusquement vers lui pour l'embrasser, tendrement, profondément, amoureusement malgré le peu de temps que dura le baiser, puis il le regarda, un fin sourire aux lèvres malgré l'expression triste qui imprégnait son visage, un petit air mélancolique résonnait sur son visage, c'est donc avec une voix douce qu'il commença à lui dire, s'adressant plus à son "autre" qu'à l'enfant devant lui...

"Pour en revenir à ce que tu as dit tout à l'heure... c'est malheureusement vrai... tout ce que tu as dit. Tu es plus vieux que moi, mais cela importe peu à mon goût. Je ne voudrais plus, oui, à un moment je ne voudrais plus... mais ce seras simplement de la solitude dont je ne voudrais plus, cette solitude que j'ai garder et entretenu des années durant pour mon propre confort, me trouvant bien dans ma situation, mais là... je n'en veux, d'ailleurs, déjà plus... je veux simplement rester près de toi... quand au happy end, il n'existe que dans les film, c'est vrai, mais la fin n'est jamais joyeuse, il est rare que les deux "partent" en même temps, il y en auras toujours un de triste, par contre... une happy life, ça j'y crois ! J'y crois dur comme fer et si un jour je me lasse, de toi, de tes baisers, de ton insouciance, de ta joie de vivre, de tout ce qui te fait... non... je ne pourrais pas... tu représente ce que je cherche, le petit bonheur qui me maintient ici malgré mes erreurs, malgré ceux que j'ai perdu, tu es mon accroche, mon seul lien assez solide avec ce monde..."

Il détourna le visage puis se leva, prêt à aller allumer la télé, tant qu'à faire, il était debout après tout non ? Il se retourna donc brusquement, le sourire à nouveau scotché au visage...

"Bon ! On va se les regarder ces Dragon Ball..."

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il tomba quasiment à la renverse sur le lit, brûlant. Il respirait fortement et assez rapidement, son souffle était chaud ainsi que tout son corps, son visage avait légèrement rougis et il tremblait de manière à peine perceptible. Il rouvrit doucement les yeux, il venait de perdre, l'espace d'une seconde, conscience. Il leva son regard fiévreux vers son petit brun préféré et tenta d'esquisser un sourire...

"Ehéh... désolé, je crois que je suis... un peu fati...gué..."

Il se hissa alors tant bien que mal sur le lit pour se glisser sous les draps, jetant sa robe de chambre au hasard, mais ce fut comme par instinct qu'il se colla à son petit professeur, tremblant de plus en plus...

[ >w< c'est ma méthode à moi que j'utilise souvent >w< *fais la conne comme Ryuichi*]

Ryuichi ne s'y attendit pas, son élève l'embrassa brusquement, laissant paraitre dans ce baiser qui pourtant ne dura quelque secondes, de multiples sensation,avant que ce dernier ne se redresse, un sourire aux lèvres mélancolique, avant de lui dire qu'il avait raison, mais qu'il ne voudrais plus de la solitude qu'il avait eu pendant ces années, qu'il ne croyait pas en le happy end, mais en le happy life oui, et aussi qu'il était le seul lien solide qui le rattachait à la vie.
Hiren se leva, pret à aller alumer la télé, un sourire aux lèvres, il dit qu'il fallait se regarder les dragon ball Z,c'est alors que son chéri tomba à la renverse sur le lit, le prof remarquant qu'il était soudainement beaucoup plus fievreux, néanmoin son amoureux se hissa seul dans le lit pour se blottir contre le ch'tit énergumène brun, qui était trés inquiet.
Le petit énergumène se dépécha de prendre les médicaments, d'en prendre un dans la bouche, d'embrasser son chéri pour lui faire avaler le truc ( la joueuse manque de vocabulaire), avant de retourner se coller à son élève, il ne savait pas quoi faire, il prit un gant frais pour lui mettre sur le front, après il ne pouvait rien faire d'autre appart rester à coté.

" Maintenant tu restes allongé et tu te reposes"

Ryu avait parlé d'un ton ferme et qui ne laissait pas à discuter, ce n'était plus le gamin encore une fois, c'était fréquent ces temps ci, enfin bref, il regardait sérieusement son élève, il resta près de lui, se blotissant.

" Tu sais Ren-chan, si je suis pessimiste, c'est parce que à chaque fois que j'avais un petit ami, il voulait toujours à un moment me forcer, me taper, ou il disait que j'étais trop insuportable, qu'il n'en pouvait plus du tout, et que j'étais destiné à rester seul toute ma vie, alors tu vois j'ai encore du mal à croire aux relations durables, mais franchement etre avec toi, c'est comme un reve"

Le petit prof fit alors un grand sourire stupide aux lèvres, oui oui encore le gosse.

" Je t'aime mon nounours!"

L'énergumène embrassa alors amoureusement son petit amoureux, avant de prendre une petite bouille kawai légèrement triste.

" Tu sais, le Ryu-chan sérieux, il m'a crée pour pouvoir continuer à essayer de vivre, mais à cause de ca y a tout le monde qui nous à rejeté, on se retrouvait tout seul, papa et maman faisait que nous critiqué et criait, parfois on se prenait de grosse gifle, moi je devais vivre dans la vie active et tout, et l'autre restait en retrait, j'ai toujours senti sa douleur, on s'est parfois trouvé des petits amis, on les aimait vraiment, mais ils finissaient toujours par partir, alors on été encore plus triste, le Ryu-chan sérieux dit toujours que l'indifférence est la pire des choses, que c'est horrible de se sentir aimé ou désiré par personne, on essayait de faire plaisir à papa et maman en essayant de se débrouiller pour pouvoir ensuite quitter la maison et les laisser respirer, mais ca a jamais marché, ils ont jamais supporter que je sois là, ils ont meme dis plusieurs fois que si on était mort ce jour là tout aurait été beaucoup mieux, mais j'ai continué à existé, malgrés que l'autre Ryu-chan souffre énormément, je l'entendais souvent pleurer, demandez de l'aide, comme on faisait que nous critiquer, tout nous reprocher, il n'arrivait pas à s'accepter, comme toujours d'ailleurs, il a plusieurs fois pensé à se suicider, mais il n'en a jamais eu le courage. Mais maintenant je suis content, tu es arrivé, et tu n'es pas comme les autres,tu nous rend heureux tous les deux, mais l'autre à toujours peur que tout ca se brise, encore plus maintenant car tu lui a montré que tu ne voulais pas le blesser ni l'obligé, tu ne t'es pas énervé pour nous frapper après, tu es tout le temps gentil et tout, on tient énormément à toi, on a l'impression d'etre dans un reve et on a tellement peur que tout ca se casse, que ca se finisse, encore plus lui que moi, alors excuse le d'etre un peu trop pessimiste."

Ryuichi fit un grand sourire joyeux à son amoureux, ce n'était pas vraiment de la schyzophrénie, car sinon il ne se souviendrai pas de ce qui se passe et ne conaitrait pas Hiren trés bien, donc on ne pouvait pas parler de deux personalités distinct, juste de deux facette différente, celle de l'enfant qu'il controlait parfaitement, tout en gardant sa raison d'adulte, donc ce qu'il venait de faire, c'était une facon détourné d'avouer les sentiments qu'il avait ressentit et ressentait toujours.

Il se laissait complètement aller aux mains du petit professeur, ingurgitant le médicament sans rien dire, de toute manière, il n'y avait aucune meilleur façons de donner des soins à un malade que celle qu'utilisait en ce moment son petit brun, un tout petit peu d'amour. Il le sentit se blottir un peu plus contre lui après lui avoir mis un linge humide sur le front pour faire baisser sa température. Il l'écoutait parler, se délectant de son baiser avant de s'enfoncer à nouveau dans ses mots. Il adorait vraiment sa voix, même s'il ne chantait pas, elle était si mélodieuse. Il l'écoutait, comprenait ce qu'il voulait dire, mais était complètement envoûter par sa voix, par con corps, par ses yeux, par son visage. On pourrait mettre cette réaction sous le coup de la fièvre qui ne cessait de monter, tout comme on pourrait mettre cette température en constante augmentation sous ce sentiment. Il passa l'un de ses bras autour de son cou et le rapprocha encore un peu plus de lui, l'embrassant à nouveau pour jouer quelques instants avec sa langue. Il ne se sépara de lui que pour lui sourire, légèrement fiévreux, ses deux bras désormais autour de son cou.

"T'es vraiment le professeur le plus mignon que j'ai jamais vu ^^ ! Je t'aime mon petit brun adoré et ça, rien ne pourras m'en empêcher ^^ !"

Il commençait à connaître ses réactions et s'y était habitué très vite, de toute façons il n'avait aucune raison de ne pas s'y faire. N'est-on pas capable de tout quand on est amoureux ?
Ses mains descendirent le long du corps de son petit Ryu-chan tandis qu'il se rapprochait encore un peu plus son corps brûlant. La fièvre fait légèrement perdre la raison, mais pas assez pour faire faire des folies, il arrêta donc sa descente au bas de son échine pour finalement les faire glisser sur ses hanches qui caressa doucement...

"Tu sais que t'es parfait dans ton genre ^^ !"

Bon, la fièvre l'avait légèrement atteint, mais il n'avait pas du tout perdu les pédales ! Juste que les mots qu'il pensait sortait automatiquement sans vraiment qu'il y réfléchisse. Il le fit donc basculer pour se retrouver au dessus de lui, le regardant avec un fin sourire aux lèvres, haletant. Il lui fit finalement un grand sourire avant de lui dire d'un ton enjoué...

"Tu sais que là je peux tout faire, non ?"

Il s'abaissa doucement jusqu'à ce que leurs corps entrent à nouveau en contact, déposant sa tête sur le torse fin de son amant. Ses mains, ne servant plus d'appuis, allèrent se glisser derrière sa tête pour lui masser doucement le cou. Il eut un léger rire avant d'ajouter, toujours ce même grand sourire accroché à son visage...

"Je crois que je vais dormir un peu... sur mon petit bonheur journalier..."

Il ferma doucement les yeux se laissant glisser dans les bras de Morphée, laissant aller un soupir de plaisir. Un instant de bonheur intense, le sentir contre lui, se reposer auprès de lui. Durant son sommeil il se contenta de le serrer un peu plus contre lui, sa fièvre baissait légèrement et lui profitait de ce doux instant réparateur qu'est le sommeil avec comme gardien du sommeil un petit brun au sourire des plus mignon...

[Mini-post pourris =o= ! Inspiration, reviens-moi ToT]

[ J'ai cru que t'allais violé mon lapinou de Ryuichi ==']

Ryuichi sentit le bras de son élève adoré passer autour de son cou pour le rapprocher un peu plus et jouer avec sa langue pendant un petit instant, avant de rompre le baiser et de sourire, ses deux bras autour de la nuque du petit énergumène, il lui dit qu'il était le prof le plus mignon qu'elle avait jamais vu, qu'il l'aimait et que ca rien ne pourrait l'en empecher, avant que le petit prof ne sentent les mains de son amoureux descendre le long de son corps, le faisant légèrement frissoner, alors qu'Hiren le rapprochait un peu plus de lui, les mains de ce dernier s'aretèrent au bas de l'échine du brun, pour ensuite les caresser les hanches, faisant rougir l'autre.
Ren-chan lui dit qu'il était parfait dans son genre, avant de le faire basculer, se retrouvant sur lui, disant que la il pouvait tout faire, Ryu affichant une mine intrigué et légèrement inquiète, son chéri mettant leur corps une nouvelle fois en contact, il déposa sa tete sur le torse du prof, lui massant doucement la nuque ( parce que le cou tu l'étrengle), il lui dit qu'il allait dormir un peu, qu'il était fatigué, avant de s'endormir, serrant le petit Ryu-chan, qui s'était également endormis dans les bras de son amour, bien à l'aise.
Le petit brun réva, pour une fois ce n'était pas de ce jour là de son enfance, mais un autre reve, il entendait tout ces gens le dénigrer, dire que c'était mieux si il mourait, tout ce qu'il avait pu entendre qui le blessait, lorsqu'il entendit une autre voix, familière, il ne voyait pas le visage de cette personne, mais cette dernière lui prit la main pour l'emener loin de tout ca, dans une magnifique prairie, il voulait voir qui était cette personne, alors il alla voir et à ce moment il se reveilla, voyant en face de lui son Ren-chan adorait, il le regarda quelques instant avant de l'embrasser doucement pour ne pas le reveiller.
Ensuite il se leva, manquant de tomber, mettant un calecon et un t-shirt, avant d'aller fouiller dans ses affaires histoire de trouver un truc pour jouer, mais à la place il trouva l'album photo.

" Nanoda! Ca faisait longtemps que je l'avais pas regardé!"

Ryuichi ouvrit l'album pour regarder les photographies qui étaient à l'intérieur, il s'amusait bien à les regarder, peut etre qu'Hiren voudrait aussi le voir, enfin il en savait rien, pour le moment il devait se reposer parce qu'il avait de la fièvre, alors bon, il ne pouvait pas lui demander, meme si il en crevait d'envi.

[C'est Hiren, pas Kusari, ne pas confondre u_u]

Il ouvrit doucement un oeil, le refermant aussitôt devant la lumière qui l'aveuglait. Le ténébreux étudient se redresse, cachant la lumière éblouissant à l'aide d'un de ses bras, puis il balaya la pièce du regard, ne sentant pas de chaleur à ses côté. Son regard se perdit sur la petite tête brune qui observait un album. Il commença donc à se lever et prit un boxer qu'il avait prit "au cas où". Il l'enfila lentement, les mouvements trop brusques lui faisant ressurgir un mal de tête abominable. Quelqu'un toqua à la porte, il se dirigea donc vers elle et l'ouvrit pour prendre le plateau repas, l'ancien ayant été récupéré lors de son sommeil... aucune intimité dans ce lycée c'est pas croyable. Il Prit donc une soupe, mit un médicament dans la cuillère à côté et posa le tout, accompagné de la bouteille de sirop, près de son petit professeur en lui faisant un grand sourire.

"Et oui, y a encore des médicaments !"

Il s'assit, par la suite, par terre et mangea sa soupe, ingurgitant la médecine par la même occasion, puis il se releva, regarda dehors, ses yeux s'étant habitué à la luminosité un peu trop intense de la pièce au petit matin. Il faisait beau aujourd'hui, une légère brise aux vues des feuilles qui voletaient... mais une satanée maladie les clouait au lit et elle le rappela bien vite à l'ordre grâce une magnifique quinte de toux. Il prit sa robe de chambre et se dirigea à nouveau vers la porte, une fois sa main sur la poignée il se retournât lança un grand sourire à son petit amour de prof, accompagné d'une voix enrouée, mais enjouée...

"Vus que je risque pas de réintégrer ma chambre, ou du moins pas avant un moment, je vais prendre mes sacs que j'avais presque pas défait ^^ ! Ca évitera les aller-retour quotidien ^^ !"

Su ces mots il ouvrit la porte et commença sa marche dans le couloir, il avait légèrement froid mais la robe de chambre, gardant la chaleur, arrangeait un peu sur le coup, puis les médicaments commençaient à faire effet. Il rentra dans sa chambre qu'il n'avait pas vraiment eut le temps "d'utiliser", mit les quelques affaires sortit dans le seul sac ouvert, et prit le tout avant de refaire le même chemin en sens inverse, mais beaucoup plus lentement, le poids des sacs n'étant pas amoindris par la maladie on va dire (--').

"C'est moi !!"

Ca c'est les mots qu'il a crié en rentrant dans la chambre de son petit prof, se délestant de tout ses poids en les "posant" (on va dire ça oui, "posant" --'...) quelque part (ça accentue le "posant" --'), avant de s'avancer vers SON Ryu-chan. Derrière lui, il passa ses bras au dessus de ses épaules et les laissa retomber devant son torse, pour regarder, la tête, elle aussi, au dessus d'une épaule, ce que regardait son cher et tendre (wouah la phrase °0°)...

"Alors, c'est quoi que tu reg... ooooooooooooooooooh ! T'es trop adorable sur cette photo !!!!! Et comment t'est trop mignon sur celle-là !!!! Aaaaaaah ! T'as pas changé, t'est toujours aussi mignon ^^ ! Mwhahahahaha j'ai fait le bon choix ! Je t'aime mon tit chéri !"

Il l'embrassa sur la joue après cette sympathique tirade tantôt curieuse, tantôt sous le charme ou tantôt ironique. Il était complètement sous la charme du chibi-Ryu-chan... enfin... il l'était déjà du vrai donc ça change pas vraiment au final --'...

Ryuichi était en train de regarder son album photo, lorsqu’il entendit de froissement de draps derrière lui, il se retourna pour voir son amoureux d’Hiren se levait, un grand sourire aux lèvres, ce dernier enfilait un boxer, puis on toqua à la porte, c’était les plateaux repas, son amoureux alla d’ailleurs les prendre, mettant des médicaments tout prets de lui, il était pas content le petit prof en voyant les médoc.
Il prit son syrop et autre, pas heureux de les prendre, c’est alors que son chéri mit une robe de chambre, se dirigeant vers la porte, il lui dit qu’il devait aller chercher certaine affaires vu qu’il allait rester un petit moment ici, le petit énergumène aurait voulu lui proposer son aide mais il était déjà parti.
Le prof de musique l’attendit, tout en regardant son album, c’est alors que quelque minutes plus tard, son élève revint avec des bagages qu’il posa à terre, disant que c’était lui, le petit brun lui laissant un grand sourire, l’étudiant ténébreux s’aprocha de lui pour l’enserrer par derrière, ca tete au dessus de son épaule, il regarda les photo d’un air extasié avant d’embrasser le petit brun sur la joue.
Ryu-chan fut bien content, il se blottit contre son amour, avant de lui montrer plein d’autre photo pour qu’il lui sourit encore et qu’il lui fasse plein de bisous, parce qu’il aimait ca, il aimait beaucoup ca.
Ah un moment, il eu envi de faire un gros calin, alors il se retourna pour se trouver face à son amour, avant de passer ses bras autours de lui, enfouissant sa tete dans son cou, déposant ainsi son souffle, fermant les yeux, là il était bien.

« Un jour je serai le meilleur dresseur
Je me battrai sans répit
Je ferai tout pour être vainqueur
Et gagner les défis
Je parcourrai la terre entière
Traquant avec espoir
Les pokémon et leurs mystères
Le secret de leurs pouvoirs

Pokémon
Attrapez-les tous
C'est notre histoire
Ensemble pour la victoire
Pokémon
Rien ne nous arrêtera
Notre amitié triomphera

Pokémon attrapez-les tous
Même à notre âge
Un voyage d'apprentissage
Ca demande du courage

Pokémon ! »

Ryuichi releva la tete pour regarder son amour, un grand sourire stupide sur le visage, oui oui il chante pokemon, c’est ca, bref, il se releva pour commencer a danser n’importe comment, continuant de chanter sans musique, faisant n’importe quoi, une vrai pile électrique celui la.

« Dragon ball Z, le gentil Sangohan
Dragon ball Z, combat tous les méchants
Dragon ball Z, il a tous les pouvoirs
Dragon ball Z, la force et le savoir

Son père était un héros
Le grand le vaillant Sangoku
Le monde saura bientôt
Que son esprit reste avec nous

Dragon ball Z, notre héros au grand coeur
Dragon ball Z, sera toujours vainqueur
Dragon ball Z, il fera triompher
Dragon ball Z, l'amour et l'amitié

Il n'a jamais peur de rien
Il ne craint aucun adversaire
Il est rusé et malin
C'est l'homme le plus fort de la terre

Dragon ball Z, héros au coeur vaillant
Dragon ball Z, valeureux combattant
Dragon ball Z, le gentil Sangohan
Dragon Ball Z, combat tous les méchants

Dragon ball Z, il deviendra bientôt
Dragon ball Z, le plus grand des héros »

Et Ryuichi continua a chanter des bétises du genre Digimon, Bisounours, ou autre.

[ Post pourris gomen XD]

[Y en a eut du mouvement depuis que je suis partit ^^]

Il le sentit se coller à lui. Sentir sa peau contre la sienne, un délice dont il ne saurait se passer. Sentir son souffle glisser au creux de son cou. Il ferma les yeux quelques secondes pour profiter de ce petit instant de bonheur qui… fut très vite coupé un immense élan de joie du côté de Ryuichi. Ce dernier commença à entonner la chanson du générique de Pokemon à voix mi-basse puis se détacha de son amant pour se mettre à danser comme un fou. Hiren le regardait, au premiers abords, surpris, mais par la suite, la mâchoire tremblante, il se retenait doucement de rire en le voyant sauter dans tout les sens. Alors que son professeur d’amour (j’ai hésité avec « humour » quand même) venait d’enchaîner avec enthousiasme sur Dragon ball Z, Hiren s’écroula par terre. Il n’arrivait plus à se retenir de rire, se tenant les côtes, complètement mort de rire (mdr comme qui dirait l’autre ^^).
Le temps que la chanson finisse et il se releva, sans réussir à s’arrêter totalement de rire. Il s’avança, tremblant, vers Ryuichi, posa ses mains sur ses épaules, puis s’appuya sur lui pour retomber dans un fou rire impossible, sous le poids Ryuichi bascula en arrière et Hiren, tapant contre le sol, des larmes de joie perlant au coin de ses yeux, continuait à rire sans pouvoir s’arrêter.
Cinq bonne minutes s’écoulèrent avant qu’il ne reprenne constance et se relève, remettant sur pieds son charmant petit brun d’une simple poignée de main. Il s’accroupis légèrement pour se mettre à son niveau et lui souris joyeusement, glissant sa main derrière sa nuque. Il rapprocha doucement leurs visages, frôlant une première fois ses lèvres avant de s’en emparer, les scellant quelques instant avant de plonger à nouveau son regard dans le sien, un grand sourire niais sur le visage…

« Tu es vraiment A-DO-RA-BLE ! »

Il se redressa, lui tourna le dos en levant les bras vers le ciel…

« Je suis de bonne humeur pour la journée moi !! »

Toujours dos à Ryuichi et dans un magnifique boxer moulant délicatement ses formes mettant en valeur s… (je pars où là ?) ahem… donc, dos à Ryuichi, il commença à s’étirer brièvement pour finalement se retourner et s’avancer calmement vers la fenêtre, s’accoudant au rebord.

*Je pourrais croire à un rêve mais non… il est belle est bien là ! Et en plus il est encore plus mignon que ce que je pensais !! Mwhahahahahaha !! Par contre… je promet pas de pas avoir un malheureux regard baladeur durant les cours de musique… ahem… c’est pas le moment de penser à ça…*

Levant doucement la tête vers le soleil, il ferma à demi ses paupières et profita de sa chaleur bienfaitrice, un léger sourire sur le visage. Il n’aurait jamais pensé devenir comme ça, accroché à quelqu’un, qui plus ai qui avec qui il n’a pas couché, et surtout… être heureux avec. Son sourire s’élargit alors qu’il se retournait pour observer son petit don du ciel, quelques rayons l’enveloppant d’une auréole dorée. Toujours accoudé au rebord mais dos au vide, il l’observait, le contemplait…

*Le soleil, lorsqu’il t’illumine, choisit ses plus beau rayon pour t’auréoler de sa douceur et de sa chaleur… je me demande si je mérite vraiment un tel cadeau…*

[Voilà… pas super long et pas super bien mais c’est pour me remettre en jambes !]

[ Aprés plus d'1 mois d'absence, Ryu-chan revient en force!!]

Notre petit prof taré et adorable national était en train de chanter le générique de Dragon ball Z tout en sautant de partout, faisant tomber quelques objets en meme temps, bah oui quand on imite un kangourou forcément on fait casse des trucs, lorsqu'il entendit son Hiren adoré s'écrouler par terre pour éclater de rire.
Ryuichi continua la chanson en essayant de ne pas se marer également en voyant la réaction de son chéri. Il le regarda se relever pour s'avancer vers lui pendant qu'il finissait sa chanson, sans pour autant s'areter de rire, le laissant poser ses mains sur ses épaules et s'appuyer sur lui, lorsqu'il le vit pris d'un soudain fou rire et sous le poid tomba en arrière, son élève sur lui, en train de pleurer de rire.
Bien sur le pitit Ryu-chan ne put s'empecher de rire également lorsqu'il voyait son petit ami dans cette état, et cinq minutes plus tards, ils étaient tous les deux calmé, Ren-chan remettant sur pied l'énergumène brun qui souriait bêtement.
Il regarda son interlocuteur s'accroupir pour se mettre à sa taille, il le sentit passer sa main derrière sa nuque, le laissant rapprocher leur deux visages, avant que ses lèves entre en contact avec celle de son petit ami, faisant battre son coeur à la chamade, comme à chaque fois qu'il embrassait Hiren.
Le baiser se rompit et Ryuichi, ayant quelques rougeurs sur les joues qui le rendait encore plus adorable, regardait son compagnon de son air joyeux et adorable, l'écoutant parler.

"Naaaaaan ze suis pas adorable d'abord! C'est toi qui est adorable! Nanoda!"

Le prof de musique souriait tout en regardant son petit ami se retourner et annoncer qu'il était de bonne humeur pour la journée.

"Moi aussi j'suis de bonne humeur!! Parce que je suis avec twaaaa"

Le sourire du p'tit énergumène brun s'élargit et il oserva Hiren s'accouder à la fenetre, le regardant avec une mine interrogatrice adorable sur le visage, il alla prendre sa peluche lapin rose, Kumagoro, le serrant contre lui et vit que son n'amour se retourna pour le regarder, il lui adressa alors un sourire heureux et vraiment trop mignon >w<, avant de mettre le haut d'un pyjama sur lui et d'aller s'accouder à la fenetre a coté de son chéri, tenant toujours sa peluche sous le bras.

" Ne ne nounours ren-chan, tu pensais à quoi?"

Le prof de musique regardait vers le bas, se penchant un peu sur la pointe des pieds pour regarder, et là, c'est le drame, Kumagoro tomba dans le vide.

"KUMAGOROOO!!"

Ryuichi sauta de la fenetre pour ratraper sa peluche, tombant lui meme dans le vide, mais par chance son haut de pyjama s'accrocha à une gouttière, pendant que l'énergumène serrer contre lui sa peluche qu'il avait ratrapé, il regarda alors le sol et palit, étant soudain effrayé. Sentant que son haut allé pas tenir longtemps, il eu le reflexe de s'accrocher entièrement a la gouttière pour avoir une meilleure prise mais ne bougea pas d'un pouce, les yeux fermés et tremblant, serrant fort contre lui sa peluche et s'accrochant comme il pouvait.

"HIREEEEEEEN!!! "

Il avait hurlait le nom de son chéri d'une voix désespéré, plaintive et effrayé.Il avait tellement peur qu'il pleurait, et aussi il avait froid, on est en hiver aprés tout, et lui il est juste avec un haut de pyjama et un boxer, si il restait comme ca ses muscles allaient s'angourdir et il finirait par tomber.
Le petit brun regarda dans la direction de son Hiren adoré, l'apelant a l'aide du regard.

[ Ryuichi, roi des conneries et des catastrophe =o=, post pourris mais je me remet en route]

Accoudé, immobile, le vent se glissant dans ses cheveux, son regard perdu dans les nuages, dans le ciel qui inonde de sa splendeur et de sa grandeur les cœurs emprisonnés. Son sourire faible mais présent, fier de ce qu'il avait vécu, fier de son passé, fier de ses souffrances. Ils ne sont pas morts pour rien, voilà la seule vérité qu'il avait sût découvrir de sa vie. Tournant lentement la tête, posant ses yeux rouge sur la petite tête brune, se surélevant pour voir plus loin, pour voir ce qu'il voyait, essayer de comprendre. Son cœur se serra à cette instant, son sourire... il revoyait son père, sa joie, sa mère, sa gaité. Il avait replongé en lui ses souvenirs. Son sourire faiblit légèrement, ses yeux aux bords des larmes.
Le jour était levé, le soleil illuminait le paysage de sa chaleur à peine perceptible dans cet enfer de froid qu'est l'hiver. Puis un bruit, un cri, un bouleversement. Son regard sang toujours plongé sur la sphère de lumière qui brillait au loin. Tout se passa si vite. Il n'eut pas le temps de regarder ce qui s'était passé, apercevant du coin de l'œil une chevelure brune passé de l'autre coté, disparaissant dans le vide. A nouveau un cri tandis qui baissait la tête, voyant Ryuichi suspendu dans le vide, accroché par un bout de son haut, sur le point de lâcher à tout moment, lui, serrant sa peluche, criant son nom.

*Tout bascule un instant, du calme à la tempête...*

Il s'éloigna de la fenêtre, se dirigeant vers le lit pour en arracher les draps. Les attachant les un aux autres, priant pour qu'ils soutiennent son poids et celui de son amant en même temps. Fouillant la pièce du regard, il ne trouva que la poignée de la porte. Cherchant la sécurité, il l'ouvrit, attacha fermement le bout du dernier drap à la poignée puis ferma la porte du mieux qu'il le puisse. Il courut vers la fenêtre ouverte d'où venait les cris et les pleurs. l ne le supporter pas, le voir pleurer, entendre ses sanglots. Tout cela brisait son cœur, voir la seule personne à qui il s'est accroché souffrir était comme une lame en plein cœur, une porte ouverte sur sa propre souffrance.
Serrant les dents, retenant ses larmes, s'attachant avec le drap, il se prépara à passer par la fenêtre mais...

*Trop court ?*

Il avait beau tirer sur le drap, rien, trop court. En état de panique il défit le nœud, se contentant de l'entourer autour de sa main gauche alors qu'il descendait le long du mur, tremblant de froid. Mais qu'importe. Il tendait le plus loin possible le bras, le ramenant près de lui. Il essaya de le décoincer pour pouvoir le remonter, mais impossible. Ce qui lui avait sauvé la vie les mettaient désormais en danger. Laissant Ryuichi s'attacher à lui, il se démena sur le bout de tissu, ne se retenant plus qu'à un bras. Ses membres le tiraient sous l'influence du froid et de l'effort. Ne fermant qu'un œil sous la douleur, se forçant à garder l'autre ouvert pour voir, toujours voir...

*Ne jamais fermer les yeux... ne plus voir c'est abandonner...*

Serrant les dents sur l'autre partie du haut de son petit ami, s'assurant ainsi, même si cela ne changerais rien, qu'il le tenait. La réalité, il serrait les dents par peur, peur de ne pas pouvoir le tirer là, peur et souffrance. Lui ? Qu'importe... il n'était rien... c'était lui qui comptait et personne d'autre. Dans un sursaut de force, plus dût à sa fatigue qu'à son assurance, il finit par réussir à déchirer le tissu. Appuyant ses jambes contre le mur, tuirant sur son bras gauche endoloris, il remontait doucement, les larmes de douleur, de crainte, perlant à ses yeux. Les draps frottant contre sa paume gelée le faisait souffrir, brûlant la peau, les laissant se coloré d'une couleur pourpre. Son bras droit, pendant dans le vide, incapable de le bouger.
Enfin, la fenêtre. Posant sa main gauche sur le rebord, étouffant un cri de douleur dans le pyjama sur lequel roulaient ses larmes. Les dents serré à en saigné, il força une dernière fois, se surélevant, posant son coude droit sur le rebord. Il déposa Ryuichi sur le rebord en avant son buste sur lequel il s'était accroché et le poussa à l'aide de son coude, ne tenant plus que de sa main gauche. Il le regarda chuté en arrière dans la pièce, un léger sourire sur ses lèvres ensanglanté, ayant lâché son haut pour pouvoir le pousser. Reprenant appuis sur son coude, tirant sur les draps de sa main enlié. Posant son regard sur les draps.

*Non... Non !*

Revoyant l'instant où il avait tiré dessus pour s'assurer qu'il était obligé de se détaché, il observait, apeuré, surpris, non... aucune émotion ne pouvait décrire son regard. Les yeux écarquillés à regarder le nœud se défaire, sans pouvoir rien n'y faire. Une nouvelle larme, non plus de souffrance, mais de tristesse, naquit au coin de son œil, tandis que de sa voix étouffé...

"Nan..."

Les draps se dénouèrent, il bascula lentement en arrière. D'un simple instinct, comme un réflexe, il bascula vers l'avant. Ses yeux ne voyaient déjà plus dans la pièce, il tendit son bras gauche le plus haut qu'il le puisse, s'accrochant au rebord, frappant violement sur sa blessure, ressuscitant sa douleur, réveillant sa voix dans un cri de douleur à en percer le ciel, un hurlement à en faire pleurer les anges… une larme coule…

[*tape Ryuichi* TU VOIS OU CA MENE TES CONNERIES ?!!]

Cela devait être une journée normal et tranquille, si seulement il n’était pas passé par la fenetre, tentant de rattraper un objet sans vie, qui ne risquait pas de mourir ni de le tirer de là, alors que lui, humain, dont la vie ne tenait qu’à un fil, se mettant en danger pour un ami qui n’était qu’une chose inerte, incapable de le sortir de ce mauvais pas. Il était tellement paniqué, pleurant à cause de la peur qui se trouvait en lui, criant le nom de l’être qu’il chérissait le plus au monde, étant certain qu’il allait venir le sauver. Il regardait dans sa direction, le voyant s’éloigner de la fenètre, se demandant pourquoi il partait, lorsqu’il le vit revenir, s’attachant à un drap, il comprit ce que son amant essayait de faire. Il le vit passer de l’autre coté, ne se tenant qu’au drap, lui tendant la main, le ramenant près de lui, le professeur passant ses bras autour du cou de son sauveur pour s’accrocher à lui, pleurant toujours de frayeur, le sentant essayer frénétiquement de décrocher le tissu de la gouttière, ses dents serraient sur le haut du morceaux de tissus. Son petit ami déchira ce qui les retenaient de remonter, avant de commencer une ascension vers la fenetre, le petit brun s’accrochant encore plus à lui. Il reussit à revenir au rebord de la fenètre, posant Ryuichi dessus, se mettant sur terre, tombant à genou à cause de la peur qu’il venait de ressentir. Il ne vit pas le drap se défaire, mais il entendit son élève, une angoisse immense monta alors en lui, il se retourna pour le voir tomber, se retenant gràce à sa main gauche endoloris au rebord de la fenetre.

" HIREN!!! "

L’énergumène se précipita vers son amour, lui attrapant le bras d’une main, l’autre s’accrochant aux rideaux comme il le pouvait, il serra les dents, sa deuxième main alla finalement rejoindre la première qui retenait Hiren de tomber, il glissait un peu mais tira en arrière pour remonter un peu son ange, il met un pied contre le mur pour s’y appuyer, et le tira encore une fois en arrière, le faisant tomber sur lui en revenant dans la pièce. Ryuichi serra fort contre lui son petit ami, tremblant, pleurant encore, il avait tellement eu peur, au début de mourir, à la fin, de le perdre. Et son nounours Ren-chan était blessé à cause de lui, il se traitait mentalement de tous les noms à cause de sa bétise.

" Gomen Hiren, gomen, j’aurai pas du sautez de la fenetre pour rattraper Kuma-chan "

Il serra encore plus son amour contre lui, culpabilisant, il l’embrassa sur le front plusieurs fois, avant de déposez doucement ses lèvres contre les siennes.

" Faut que t’aille à l’infirmerie, et que tu te reposes ! J’vais appeler l’infirmière pour qu’elle vienne ! D’accord mon Ren-chan ? "

Ryuichi regardait son petit ami, inquiet, c’était vraiment le roi des catastrophes, ils auraient pu y laisser leurs vies à tous les deux, encore si il avait été seul ca ne l’aurai pas dérangé de mourir, mais il en était hors de question, parce que ca ferait du mal à Hiren, et parce que il voulait le protéger comme il le pouvait, et quand on voulait protéger quelqu’un, pour cela il fallait vivre. Quant à son amour, il était hors de question qu’il meurt avant d’avoir au moins 100ans.Il le fit se relever en l'aidant et alla le faire s'allonger sur le lit pour qu'il se repose, l'embrassant de nouveau sur le front, puis sur la joue et sur les lèvres, avant de le regarder dans les yeux.

"Hey! J'espère que t'as pas pensé que c'était pas grave si tu mourrais en me sauvant! T'as pas interet à mourir si tu veux me protéger! Parce que pour protéger quelqu'un faut etre vivant! Et si tu meurts eh bah je te bouderai et je tarderai pas à te rejoindre! Alors si t'as pas envi d'avoir un mort sur la conscience et que tu veux me protéger, tu meurt pas avant au moins être agé de 100ans!!"




[ post pourris =_____=]

[*Câlin à Ryu-chaaaan !!!* Mon pauvre ! Elle est méchante avec toi ]

Sa vue se troublait, il sentait ses paupières lourdes se fermer doucement. Ses doigts dénouaient lentement leurs prises, incapable de supporter une secondes de plus ce qu'il subissait. La douleur, la peur, qu'importe... il était sain et sauf, rein n'importait de plus. Il se laissait glisser dans le monde des songes, sont corps pesant tel le plomb, l'attirant vers le sol, toutes forces s'évaporant sous la chaleur illusoire du soleil. La souffrance disparaissait tandis qu'il avançait lentement vers le sol... non... pas tout de suite. Un cri, son nom. Une main l'attrape, puis deux, tentant tant bien que mal de le ramener à l'intérieur. Il risque de glisser, de le suivre dans sa chute, il ne veut pas. Soulevant ses paupières difficilement, son regard troublé, son cœur, enfin, apaisé... il est sauf. Mais le savoir là, à essayer de le ramener, pourquoi ?
Son corps se soulève, un choc, des mots qu'il met de longues minutes à rassembler. Il bascule sur le côté, se retrouvant allongé sur le dos. Sa vue reprend lentement ses repaires, son visage, attristé, effrayé. Tandis qu'il parle, l'étudiant se contente de lever la main, lui caressant doucement la joue, un fin sourire aux lèvres. Lui aussi ne souhaite pas le voir mourir, il le savait, mais... désormais... c'est ancré au plus profond de lui, dans cette pièce que personne n'a jamais vu.
Cherchant à se faire pardonner, c'est déjà fait. Cherchant des secours, tant qu'il est là, sa vie ne seras pas coupé en son cours. Il sent ses baisers, ses pleurs, ses larmes qui percutent sa peau, son corps tremblant sous le poids de la conscience. Sa main se glisse dans ses cheveux tandis qu'il pose ses lèvres sur les siennes, bien avant que l'histoire de secours ne soit évoquée, mais rien ne lui est parvenu avant. Il ferme les paupières, s'enfermant dans le noir tandis que les mots passent, restant impassible devant ses peurs. Sa main gauche, douloureuse, caressant à son tour son visage si attendrissant avant de rejoindre la main de son énergumène, enlaçant ses doigts aux siens. Un fin sourire narquois naissant sur son visage, ses cheveux retombant sous lui. Sa main, caressant toujours ses cheveux, pousse son visage près du sien, reprenant leur baiser, sellant leurs lèvres... il les sent, ces douceurs qui lui donnait raison de se sacrifier, pour ne pas les faire disparaître. Il retrouve goût et plaisir, relâchant sa pression tandis que cette même main glisse sur son visage, allant mêler ses doigts à l'autre main de Ryuichi. Son sourire s'attendrit...

"Je ne vivrais pas cent ans... je ne vivrais pas cinquante ans... je vivrais simplement... jusqu'à ce que ma raison de vivre s'en aille..."

Son sourire s'élargit encore un peu, les yeux désormais mi-clos. La lumière l'aveugle, mais il peu contempler son visage, si beau. De sa voix ironique, comme pour détourner le côté dramatique de la scène...

"Je... je crois que je vais me reposer..."

Il rit quelques courtes secondes avant de se sentir lourd, de ne pas réussir à regarder devant lui. Ses yeux rouge se ferment à nouveau, sa tête bascule sur le côté... il sommeil... un sourire heureux gravé sur ses lèvres...

[ tu veux que je te le confisque le Ryu-chan?]

Ryuichi avait donc reussi a remonter son petit ami dans la chambre, utilisant toutes ses forces pour y parvenir. Il serrait fort contre lui son ange, l'embrassant, pleurant à cause de sa bétise,tremblant, culpabilisant énormément. Il l'installa sur le lit, laissant Hiren le caresser avant de l'embrasser. Le professeur parlait à son élève, tandis que ce dernier avait entrelacé leur doigts, il le regarda et l'écouta répondre, ayant des rougeurs qui teintèrent légèrement ses joues en l'entendant, touché par ce qu'il venait de lui dire.

"Alors je vais vivre trééééés longtemps pour que tu vives toi aussi, aussi longtemps que moi!"

L'énergumène brun sourit en regardant son petit ami, qui souriait à son tour, il l'écouta une nouvelle fois parler et le laissa tomber dans les bras de Morphée, avant de l'embrasser sur le front, et de réfléchir à haute voix, chuchotant pour ne pas réveiller son chéri.

"L'a plus besoin de se reposer que d'une infirmière....mais faut quand meme le soigner et vérifier qu'il a rien de grave...mais j'ai pas envi de le laisser tout seul pendant qu'il dort...J'sais!! C'est moi qui vais le soignez!! Infirmière Ryuichi prend du service!!"

Le prof de musique se changea en quelques instants et se trouva habillé d'une tenue d'infirmière, non pas une tenue pour homme, mais une tenue pour femme, n'essayez pas de chercher pourquoi,c'est Ryuichi >>''. Bref, il alla prendre sa trousse de secour (il se blesse tout le temps alors il en a forcément une >>''.), avant d'aller s'asseoir à coté de son chéri adoré et de commencer à le soigner, sérieux dans son travail, se concentrant pour ne pas faire de bétise. Une fois qu'il eu terminé, il posa la trousse de secour et regarda son petit ami en souriant, avant de l'embrasser sur le front.

" L'es toujours tout mignon mon Ren-chan, vraiment adorable"

Ryu-chan déposa doucement ses lèvres sur celle de son élève, avant de se redresser et de le regarder à nouveau, un sourire tendre au lèvre.

"Vais faire dodo avec lui!"

Le petit brun resta habillé de sa tenue non commune pour un homme, et alla s'allonger à coté de son Hiren adoré, le regardant toujours, lui caressant la joue, avant de fermer les yeux.

*Quand il ira beaucoup mieux, j'lui demanderai de venir avec moi pour conduire, vu que faut que je m'entraine pour passer le permis*

Eh oui il n'avait pas encore son permis de conduire, et pourquoi cela? Bah tout simplement parce que à chaque fois qu'il avait essayé de l'avoir, y avait eu plein de monde à l'hopital, des lampadaires pétés ainsi que des murs, etc etc. Bref, Ryuichi s'endormit doucement, à coté de son nounours Ren-chan, blottit contre ce dernier.

[ J'ai hate de voir la tete d'Hiren au reveil XXD]

La dernière chose qu'il avait vu c'était son visage, cela lui suffisait. Dans ses songes, tout recommençait sans cess, l'accident, les draps, le sauvetage, la chute... mais ce n'était jamais lui qui tombait, quoiqu'il fasse. Lorsqu'il se retrouva dans la situation final, ne tenant qu'à un bras, douloureusement, le rebord de la fenêtre, il sentit comme une douceur apaisante faire disparaître sa douleur puis, comme un rien, une bandage se mit à se faire de lui même, ne prêtant attention à la matière de la fenêtre qu'il traversait. Il ressentit cette sensation de multiples, ses douleurs disparaissant peu à peu sans pour autant être inexistante. Il se suréleva à l'aide de son bras désormais guéri, tenant par son autre, son amant, son amour. Une fois que ce dernier se retrouva dans la pièce, il y pénétra également, puis, le cauchemar terminé, il s'éveilla lentement. Son regard s'ouvrit sur la forte lumière extérieure qui l'obligea à les refermer aussitôt. Il recommença de multiples tentatives pour finalement réussir à les garder ouvert. L'étudiant contempla le visage endormit de son petit professeur, un sourire satisfait aux lèvres, mais quelque chose l'intrigua. Il commença à détailler le visage... rien. Il baissa lentement les yeux, les écarquillant au fur et à mesure... de légères rougeurs apparurent sur ses joues lorsqu'il eut fait le tour complet de la tenue d'un simple regard...

*Mais qu'est-ce qui lui prend de s'habiller comme ça ? Il veut me faire faire une crise cardiaque ?*

Se retournant, surpris, l'adolescent préféra se contenter du mur en face de lui avant de faire quelque chose qu'il regretterait sans doute toute sa vie. Après de longues minutes d'attentes, ne voulant pas réveillé celui qui lui avait sans doute fait ses bandages, il se redressa, se retrouvant assis sur le lit, les jambes ballantes dans l'air. Il ferma les yeux, fredonnant un air, quelques paroles incompréhensibles en musique. Douce et apaisante mélodie qui résonnait dans la pièce tandis qu'il s'imprégnait des paroles dans son rêve éveillé. Il repensa à ce qui s'était passé il y a de cela un temps indéfinis. Une larme coula innocemment le long de son visage avant de s'écraser contre le sol tandis qu'il n’arrivait pas à s'imaginer. A se voir le perdre. Plus cette idée revenait, moins il pouvait s'imaginer rester sans rien faire. Sans doute préfèrerait-il mettre fin aux longs tourments qui le détruiraient. Ce qu'il avait dit avant de s'évanouir, dans un état de quasi-inconscience, tout était sortit sans qu'il y ai réfléchit, si simple, si normal à ses yeux... et d'y repenser les embrumait de larmes.
Ouvrant lentement les yeux, s’habituant à nouveau à la lumière agressante de l’astre solaire, il essuya d’un simple mouvement de bras les larmes qui perlaient aux coins de ses yeux. S'allongeant à nouveau, se blottissant contre son aimé, le serrant contre lui comme l'on serre sa peluche les nuit de peur... ou plutôt, comme l'on sert sa mère les jours de chagrins, les nuits de détresse, serrer pour sentir sa présence, être rassurer de la savoir la pour nous protéger, mais aussi de se savoir là, encore vivant, pour la protéger. Espérant ne pas le réveiller, il glissa sa tête sous la sienne, déposant un baiser léger dans son cou, murmurant...

"Je ne sais pas si tu m'entends... mais si un jour tu me fait la blague d'en finir... je viendrais te voir volontairement pour t'en collé une !"

Humour ou pas, une chose était sur, la mort ne l'empêcherais pas de... non, la mort n'empêcherait rien, tout simplement...

Il sentit des lèvres se poser sur les siennes, ne résistant pas à l'approche, il savoura les quelques secondes qui lui étaient offerte. Puis il lui mordilla légèrement l'oreille, arrachant à l'adolescent aux yeux écarlate un soupir des plus complaisants. Les joues légèrement rougis, il vit les yeux mi-clos de son chéri posé sur les lui, esquissant un sourire qu'il lui rendit aussitôt. Sans vraiment avoir el temps de comprendre il reçut un baiser sur le front, suivit d'une tirade à laquelle il se retint de rire, sachant que tout cela c'était passé réellement.
Il se fit à nouveau embrassé sur le front avant de sceller ses lèvres avec les siennes dans un baiser langoureux, le sentant se rapprocher de lui, glisser ses jambes autour de sa taille. L'étudiant aux cheveux violet, les yeux fermé, profitant de l'instant de calme et de bonheur d'après-réveil, fit glisser sa main dans le dos de son professeur, l'autre main caressant doucement ses cheveux. Le sentir près de lui, contre lui, l'embrasser, le caresser. Autant de petite chose qui lui faisait oublier l'instant presque cauchemardesque qu'ils avaient vécu plus tôt. Relevant lentement les paupières, ses yeux se posèrent sur la jupe inhabituellement présente, remarquant un léger détail de rose qui dépassait. Détail qu'il eut bien vite remplacé par ce qu'il était vraiment. Rougissant de plus belle, ne rompant pas le baiser pour autant, il détourna le regard, le refermant à nouveau pou retourné dans le monde du plaisir simple...

*N'y pense pas, ne rougis pas, ne réagis pas... du calme... du caaaaalme...*

A l'opposé de ses pensées un tant soit peu sérieuse, sa main gauche se glissa sous son haut, lui caressant sensuellement le dos, le massant légèrement de ses doigts fins avant de descendre petit à petit le long de son échine, s'arrêtant à la base de la jupe des plus courte, il faut l'avouer. Il rompit le baiser, reprenant calmement son souffle. Il déposa un léger baiser dans son cou, puis à la base de ce même cou, descendant ainsi le long de son corps, ne s'arrêtant qu'au milieu de son torse. Il releva la tête, esquissant un fin sourire. Il se redressa et scella ses lèvres aux siennes, immisçant sa langue à la rencontre de sa sœur...

*Ne fait rien... ne fait rien...*

Sa main gauche se faufila sous le bout de tissu, le caressant tendrement. Il avait de plus en plus chaud, ce qu'il ressentait vibrait dans tout son corps, Une sensation de plaisir montant en lui, une envie de la partager mais il savait qu'il ne pouvait pas, qu'il ne devait pas. Son cher amour n'avait pas eut une vie simple et il se devait d'attendre, attendre jusqu'à ce que ce soit bon. Qu'il se soit enfin remit de "ça". Il continua donc ses caresse insistante sans pour autant aller plus loin, restant simple dans ses geste avant de retirer lentement ses mains tandis qu'il séparait ses lèvres de celle de son énergumène brune personnelle...

"Sumimasen Ryu-chan >< ! J'ai pas pu résister >< !"

[Bon, post court mais je vois vraiment pas quoi mettre ><]

Alors qu’il lui souriait, ce dernier répondit qu’il le laissait faire, confiant. Il écouta quelques secondes son rire adorable avant de l’embrasser sur le front sans qu’il n’en remarque rien, trop préoccupé par ses paroles, parlant de photos. C’est vrai qu’ils n’avaient aucun souvenirs physique de leur couple, aucune trace, ni écrite, ni imagée. Il hocha la tête positivement tout en le laissant continuer, arrivant sur un problème : où ? Son petit professeur afficha une mine adorable en réfléchissant à l’endroit où, justement, ils pourraient en faire. En quelques secondes il le submergea de lieux tous plus diversifié les uns que les autres, puis l’affubla d’un beau compliment, rougissant légèrement, gardant son sourire. Il rougit de plus belle, déstabilisé, lorsque son petit Ryu-chan lui fit un sourire adorable. Tentant un temps soit peu de se calmer, il écouta son chéri, rouge, un grand sourire aux lèvres, ses pensées se bousculant légèrement. Comme quoi, un simple sourire peu faire chavirer le cœur du plus grand séducteur (de quoi j’exagère ?). L’écoutant sans un mot, le regardant se lever pour commencer à se changer en se plaignant qu’ils ne puissent pas vivre ensemble. C’est vrai que leur situation était délicate, mais l’étudiant ne s’en rendait pas bien compte en temps normal, il fallait que quelque chose comme ça le lui rappel. Ryuichi commença réellement et, arrêtant son geste, il le regarda en lui proposant de finir leur « tournée photo » par les sources chaudes, lieux qui ne déplaisait pas au jeune Aiseki car c’était l’un des premiers lieux qu’il avait profité pour visiter une fois ici. Lorsqu’il vit se dernier partir, sans doute commencer à se laver, il sortit de la chambre d’un pas pressé, retournant dans la sienne pour prendre quelques affaires. Torse nue dans les couloirs ? Tant pis, nue aurait déjà été un tout autre problème. Bref, le voilà qui entre dans sa chambre, prenant rapidement quelques affaires avant de retourner vivement dans la chambre de son aimé. Il y jeta un regard furtif, s’assurant que ce dernier ne s’y trouvait pas encore puis reprit sa marche en direction des douches dans lesquels il devait aller. Ne s’y attardant pas…

*Photooooos ^^ !*

Ahem… donc, une fois lavé, « préparé », il rentra dans la chambre vêtu d’une légère serviette attaché autour de sa taille. Il s’apprêtait à commencer de s’habiller lorsqu’il vit débarquer un énergumène brun… nue. Il rougit légèrement en el voyant arriver comme ça. Il est vrai que ça devrait pas lui poser de problème, mais, quand on entends la voix de quelqu’un, qu’on se retourne, on n’est pas forcément préparé à la voir nue. Il est vrai aussi qu’ils avaient déjà prit une douche, catastrophique certes, ensembles. Ce dernier ne prêtait presque aucune attention à Hiren, plus préoccupé par ses affaires sur l’instant venu, ce qui fit également son élève amoureux. Très vite prêt, habillé simplement d’un jean et d’un pull aux couleurs sombres. Son pendentif pendant autour de son cou, il se mit une écharpe d’un noir profond et finis par se vêtir d’un blouson aux couleurs, à nouveau, sombre, laissant ressortir l’écharpe par la légère ouverture qu’il laissait au niveau de son cou. Deux gants blancs, lui collant à la peau, suffiraient amplement pour cacher la froideur qui régnait dehors à ses mains.
Il tourna légèrement la tête et s’assit sur le lit, l’observant terminer de s’habiller. Plus il le regardait, moins il pouvait détacher son regard de lui. Hypnotisé, véritablement aimanté. Son petit prof le regarda avec un sourire doux et adorable, si sincère, ces sourires dont seul quelqu’un comme lui, profondément vrai, pouvait les faire. Hiren s’approcha de lui, doucement, un léger sourire sur le visage. Il s’accroupis pour se mettre à son niveau et, en quelques secondes… lui entoura le cou d’une écharpe et lui mit un blouson par-dessus…

« Tu vas attraper froid sinon uhu ^^ ! »

N’attendant même pas que ce denier ai terminé de réajuster le manteau, que l’étudiant aux yeux rouge avait gentiment prit directement dans son armoire, pour être sur qu’il soit à sa taille, et posa délicatement ses lèvres sur son front, puis l’embrassant sur le bout du nez, un léger rire accompagnant le geste, terminant par sceller leurs lèvres un très court instant. Il se leva et se dirigea vers la porte, le regardant joyeusement…

« Et si on se contentait du parc d’attraction ! Y a de tout là-bas, puis on pourra en faire des très bien ! On en profitera pour manger des pommes d’amour ! »

Il termina sa phrase sur un clin d’œil, tirant légèrement la langue en même temps. Il s’avança, ébouriffa légèrement les cheveux de son chéri, puis fit de même avec Kumagoro…

« Toi, tu gâches pas la journée aujourd’hui ^^ ! Et fait pas ton jaloux ^^ ! »

Puis, glissant l’un de ses bras sous ses genoux et l’autre derrière son dos, il le souleva. Portant ainsi son fardeau tant aimé, il ouvrit la porte et sortit en direction…

[Tu me dis où on va en premier et qui commence le post ^^ ? J’éditerais après ^^]

[ direction le parc d'attractioooon!!! èwé PIKA PIKA HIREEEN!!! *porte*]

Ryuichi finissait donc de s'habiller, laissant son petit ami le regardais, lui adressant par la suite un sourire adorable tel qu'il savait si bien les faire. Il le regarda se lever et s'accroupir devant lui pour se mettre à sa taille, lorsqu'il le sentit lui enfiler une écharpe et un blouson, son chéri lui disant que sinon il attraperait froid. L'énergumène ne put s'empecher d'esquisser à nouveau un de ces sourires si beau (j'exagère? z'etes sur?), avant d'embrasser sur la joue son Hiren adoré et dire:

"Merci mon Ren-chan adoooooré"

Le petit brun sentit alors les lèvres de son amour sur son front, puis sur le bout du nez pour terminé par arriver sur ses lèvres quelques instant. Par la suite il le regarda se lever et aller vers la porte, il affichait un air joyeux. Il l'écouta et hocha positivement la tete, tout sourire.

" Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!! le parc d'attraction!! avec les pommes d'amour, la grande roue, le grand huit et...le manège fantome!!! ON VA POUVOIR COMBATTRE LES FANTOMES!!! èwé"

Ryuichi eu un petit rire, regardant son nounours mister Aiseki s'avancer, le laissant l'ébouriffer et faire de meme avec Kumagoro, l'écoutant, il sourit encore:

" J'vais le surveiller t'inquiètes pas!! Et Kumagoro il est pas jaloux, il est content que j'ai trouvé cette personne rien qu'à moi que tu es"

Il sentit alors Hiren le soulever, affichant un petit air surpris au début, avant de retrouver rapidement le sourire, s'accrochant et se lovant contre son petit ami, l'embrassant sur la joue, ils se dirigèrent ainsi vers le parc d'attraction.